Par Jennifer Rainsford
J’ai demandé à la femme la plus âgée de mon entourage de revêtir sa plus belle robe. Je l’ai interrogée et filmée au sujet de ses fantasmes. Toutes les deux, nous nous sommes égarées dans son passé, où la frontière entre vieux souvenirs, réalité et fantasmes devenait floue. En sont sortis trois hommes en perruque.
L’un d’eux était une sorte de prostitué d’ascenseur, que les gens utilisaient pour assouvir leur frustration. Son sexe était dur en permanence. Sa perruque était rousse. Elle était venue le voir une ou deux fois dans son ascenseur. Ils ne firent toutefois que discuter : « Il bande toujours » répète-t-elle d’une voix claire.
Le deuxième était vêtu de collants bleus, d’un manteau de fourrure et d’une perruque jaune. C’était le masturbateur le plus effréné, mais cependant le moins néfaste des trois. L’observer était magnifique ; comme regarder quelqu’un de très habile travailler.
Le dernier des trois était blond, nerveux, et son âme fragile semblait loin de tout rationalisme. La vieille dame le préférait aux deux autres pour ses mouvements spasmodiques et sa respiration ardente.
L’un d’eux était une sorte de prostitué d’ascenseur, que les gens utilisaient pour assouvir leur frustration. Son sexe était dur en permanence. Sa perruque était rousse. Elle était venue le voir une ou deux fois dans son ascenseur. Ils ne firent toutefois que discuter : « Il bande toujours » répète-t-elle d’une voix claire.
Le deuxième était vêtu de collants bleus, d’un manteau de fourrure et d’une perruque jaune. C’était le masturbateur le plus effréné, mais cependant le moins néfaste des trois. L’observer était magnifique ; comme regarder quelqu’un de très habile travailler.
Le dernier des trois était blond, nerveux, et son âme fragile semblait loin de tout rationalisme. La vieille dame le préférait aux deux autres pour ses mouvements spasmodiques et sa respiration ardente.
