De plus en plus de voyageurs choisissent leur destination de voyage en fonction d’un centre d’intérêt bien particulier.
Pour certains, c’est la cuisine. Pour d’autres, la randonnée, la plongée ou l’art. Et pour une communauté grandissante -et notamment chez les seniors-, c’est le golf.
Car au-delà de la pratique sportive, le golf est devenu un véritable levier de voyage. Un lien entre exploration, plaisir et exigence. Pratiquement, un art de vivre.
Le golf n’est plus simplement un loisir du week-end. C’est un fil conducteur, parfois même un moteur de décision dans le choix d’un pays ou d’un lieu de séjour.
Certains parcours, nichés dans des paysages d’exception, ont cette capacité d’associer le silence, la beauté et l’effort avec une rare intensité. Le swing devient alors un prétexte à la contemplation, l’adrénaline s’accorde à la sérénité et le parcours prend des airs de sanctuaire naturel.
C’est ce potentiel que de nombreuses destinations ont bien compris. De l’Île Maurice au Costa Rica, en passant par l’Espagne, la Corse ou le Maroc, des resorts golfiques ont fleuri un peu partout, intégrant terrains, hébergements haut de gamme, espaces bien-être et expériences culturelles.
Le voyage golfique ne se résume plus à une suite de trous, mais à une immersion complète mêlant détente, raffinement et ancrage local.
Derrière cette évolution se cache une réalité positive : le golf est aujourd’hui l’un des sports individuels les plus pratiqués au monde, avec près de 90 millions de joueurs répartis sur plus de 40 000 parcours.
Rien qu’en Europe, on en compte plus de 10 millions dont de très nombreux quinquas et plus. Ce n’est donc pas un marché niche, bien au contraire, c’est un marché solide, structuré et en pleine mutation.
Ce qui séduit ? La possibilité de vivre un moment suspendu, entre sport et contemplation. Les resorts de nouvelle génération l’ont bien compris : ils proposent des séjours clés en main, avec parcours de prestige, restauration gastronomique, soins, stages, compétitions ou encore événements d’entreprise.
Certaines destinations en font même leur ADN. C’est le cas du sud du Portugal, de l’Andalousie ou encore de la République Dominicaine, qui allient attractivité climatique, qualité des parcours et excellence hôtelière.
Mais ce n’est pas seulement une affaire de standing. La golf attire aussi parce qu’il incarne une forme de voyage lente, connectée et consciente. On traverse un paysage, on prend le temps, on respire. C’est aussi un terrain où les générations se croisent, où les cultures se rencontrent et où les émotions circulent.
En toile de fond, les tendances du secteur touristique confirment cet élan : la montée des expériences personnalisées, le retour à la nature, la quête de sens dans les déplacements, la volonté de mieux consommer son temps et son argent.
Le tourisme golfique s’inscrit pleinement dans cette nouvelle manière d’explorer. C’est un tourisme d'exigence paisible, de luxe sans ostentation, d’harmonie entre mouvement et contemplation.
A l’horizon 2030, les prévisions annoncent une croissance régulière du tourisme golfique à l’échelle mondiale, portée par l’Asie, les Amériques mais aussi par l’Europe, qui commence à se réinventer. L’innovation technologique, l’intégration d’offres bien-être, la construction de parcours durables et l’ouverture vers des zones plus reculées, plus inédites, redessinent la carte du golf mondial.
Car le golf, lorsqu’il se met au service du voyage, devient bien plus qu’un sport. Il devient une expérience, une passion qui relie des lieux, des personnes, des émotions. Et surtout, une autre façon de voyager et de voir le monde.
Pour certains, c’est la cuisine. Pour d’autres, la randonnée, la plongée ou l’art. Et pour une communauté grandissante -et notamment chez les seniors-, c’est le golf.
Car au-delà de la pratique sportive, le golf est devenu un véritable levier de voyage. Un lien entre exploration, plaisir et exigence. Pratiquement, un art de vivre.
Le golf n’est plus simplement un loisir du week-end. C’est un fil conducteur, parfois même un moteur de décision dans le choix d’un pays ou d’un lieu de séjour.
Certains parcours, nichés dans des paysages d’exception, ont cette capacité d’associer le silence, la beauté et l’effort avec une rare intensité. Le swing devient alors un prétexte à la contemplation, l’adrénaline s’accorde à la sérénité et le parcours prend des airs de sanctuaire naturel.
C’est ce potentiel que de nombreuses destinations ont bien compris. De l’Île Maurice au Costa Rica, en passant par l’Espagne, la Corse ou le Maroc, des resorts golfiques ont fleuri un peu partout, intégrant terrains, hébergements haut de gamme, espaces bien-être et expériences culturelles.
Le voyage golfique ne se résume plus à une suite de trous, mais à une immersion complète mêlant détente, raffinement et ancrage local.
Derrière cette évolution se cache une réalité positive : le golf est aujourd’hui l’un des sports individuels les plus pratiqués au monde, avec près de 90 millions de joueurs répartis sur plus de 40 000 parcours.
Rien qu’en Europe, on en compte plus de 10 millions dont de très nombreux quinquas et plus. Ce n’est donc pas un marché niche, bien au contraire, c’est un marché solide, structuré et en pleine mutation.
Ce qui séduit ? La possibilité de vivre un moment suspendu, entre sport et contemplation. Les resorts de nouvelle génération l’ont bien compris : ils proposent des séjours clés en main, avec parcours de prestige, restauration gastronomique, soins, stages, compétitions ou encore événements d’entreprise.
Certaines destinations en font même leur ADN. C’est le cas du sud du Portugal, de l’Andalousie ou encore de la République Dominicaine, qui allient attractivité climatique, qualité des parcours et excellence hôtelière.
Mais ce n’est pas seulement une affaire de standing. La golf attire aussi parce qu’il incarne une forme de voyage lente, connectée et consciente. On traverse un paysage, on prend le temps, on respire. C’est aussi un terrain où les générations se croisent, où les cultures se rencontrent et où les émotions circulent.
En toile de fond, les tendances du secteur touristique confirment cet élan : la montée des expériences personnalisées, le retour à la nature, la quête de sens dans les déplacements, la volonté de mieux consommer son temps et son argent.
Le tourisme golfique s’inscrit pleinement dans cette nouvelle manière d’explorer. C’est un tourisme d'exigence paisible, de luxe sans ostentation, d’harmonie entre mouvement et contemplation.
A l’horizon 2030, les prévisions annoncent une croissance régulière du tourisme golfique à l’échelle mondiale, portée par l’Asie, les Amériques mais aussi par l’Europe, qui commence à se réinventer. L’innovation technologique, l’intégration d’offres bien-être, la construction de parcours durables et l’ouverture vers des zones plus reculées, plus inédites, redessinent la carte du golf mondial.
Car le golf, lorsqu’il se met au service du voyage, devient bien plus qu’un sport. Il devient une expérience, une passion qui relie des lieux, des personnes, des émotions. Et surtout, une autre façon de voyager et de voir le monde.