« Brassens, l’amour des mots », le spectacle de la Compagnie du Goéland, est bien plus qu’un hommage : c’est une partition vivante et vibrante, un dialogue tendu entre hier et aujourd’hui, où chaque chanson devient une strophe de vie, chaque silence un pont entre les générations.
Une partition à trois talents
Sur scène, Nicolas Natkin, Mauro Talma et Stéphane Caroubi forment un trio aussi complice qu’inspiré.
Natkin, auteur et interprète, incarne Brassens avec passion et admiration. Pas d’imitation, pas de pastiche, mais une interprétation habitée, où la voix, la guitare et la contrebasse s’entrelacent comme les fils d’une même mélodie.
« Nous ne jouons pas Brassens, nous dialoguons avec lui », confie Natkin. Et ce dialogue, c’est une valse à trois temps : la poésie, l’humour et l’émotion.
Mauro Talma, guitariste argentin, apporte une touche de sensibilité sud-américaine, ses doigts dansant sur les cordes comme s’ils effleuraient les mots du poète.
Stéphane Caroubi, quant à lui, insuffle une chaleur rythmique, un groove discret qui rappelle que Brassens, avant tout, était un musicien populaire.
Ensemble, ils réinventent les classiques – « La Mauvaise Réputation », « Les Copains d’abord », « La Non-Demande en mariage » – sans jamais les trahir, les habillant d’arrangements jazzy ou de nuances folk, comme on retouche un vieux portrait pour en révéler de nouvelles couleurs.
Un spectacle entre théâtre et concert : l’art de la transmission
« Brassens, l’amour des mots » n’est ni un biopic, ni un simple concert. C’est une expérience scénique où le théâtre et la musique ne font qu’un, comme les mots et les notes sur une partition ».
Les scènes dialoguées, les confidences poétiques et les éclats de rire s’enchaînent avec fluidité, créant une atmosphère à la fois intime et festive. « Une déclaration d’amour aux mots, aux chansons et à la liberté », résume Natkin.
La mise en scène, sobre et rythmée, signée Philippe Nicaud, sert cet équilibre parfait. Les lumières chaudes enveloppent la scène comme une étreinte, tandis que les décors épurés laissent toute la place à l’essentiel : la musique, les textes, et cette complicité palpable entre les artistes.
On rit, on s’émeut, on se souvient, on retrouve des chansons inoubliables, c’est comme si Brassens lui-même nous racontait ses histoires, entre deux accords de guitare.
Un hommage qui dépasse les générations
Ce qui plait, dans « Brassens, l’amour des mots », c’est sa capacité à toucher tous les publics.
Les puristes y retrouvent l’esprit du poète, sa verve libertaire et son humanisme. Les plus jeunes, eux, découvrent un Brassens moderne, porté par des arrangements audacieux et une énergie scénique contagieuse.
On sort de la salle le cœur léger et l’esprit nourri ! C’est un vrai coup de cœur, presque comme après une rencontre avec Brassens lui-même. C’est bien là la magie de ce spectacle : il ne se contente pas de célébrer un artiste, il le rend vivant, présent, presque tangible.
La Compagnie du Goéland : un théâtre populaire et poétique
Ce projet a été créée par la Compagnie du Goéland, fondée par Nicolas Natkin en 2016. Depuis dix ans, elle défend un théâtre exigeant, populaire et poétique, revisitant les grands classiques (Tchekhov, Molière, Dostoïevski) tout en initiant des créations originales.
« Brassens, l’amour des mots » marque une nouvelle étape pour la compagnie, un spectacle de transmission où la mémoire et l’invention se répondent en écho. Comme aime le dire un collaborateur de longue date, « avec Brassens, nous avons voulu créer un moment où la poésie n’est pas un monument, mais une respiration. »
« Brassens, l’amour des mots » est une invitation au voyage, une balade en musique et en poésie où chaque note est un pas de plus vers l’âme d’un géant de la chanson.
Axel Kiev
Une partition à trois talents
Sur scène, Nicolas Natkin, Mauro Talma et Stéphane Caroubi forment un trio aussi complice qu’inspiré.
Natkin, auteur et interprète, incarne Brassens avec passion et admiration. Pas d’imitation, pas de pastiche, mais une interprétation habitée, où la voix, la guitare et la contrebasse s’entrelacent comme les fils d’une même mélodie.
« Nous ne jouons pas Brassens, nous dialoguons avec lui », confie Natkin. Et ce dialogue, c’est une valse à trois temps : la poésie, l’humour et l’émotion.
Mauro Talma, guitariste argentin, apporte une touche de sensibilité sud-américaine, ses doigts dansant sur les cordes comme s’ils effleuraient les mots du poète.
Stéphane Caroubi, quant à lui, insuffle une chaleur rythmique, un groove discret qui rappelle que Brassens, avant tout, était un musicien populaire.
Ensemble, ils réinventent les classiques – « La Mauvaise Réputation », « Les Copains d’abord », « La Non-Demande en mariage » – sans jamais les trahir, les habillant d’arrangements jazzy ou de nuances folk, comme on retouche un vieux portrait pour en révéler de nouvelles couleurs.
Un spectacle entre théâtre et concert : l’art de la transmission
« Brassens, l’amour des mots » n’est ni un biopic, ni un simple concert. C’est une expérience scénique où le théâtre et la musique ne font qu’un, comme les mots et les notes sur une partition ».
Les scènes dialoguées, les confidences poétiques et les éclats de rire s’enchaînent avec fluidité, créant une atmosphère à la fois intime et festive. « Une déclaration d’amour aux mots, aux chansons et à la liberté », résume Natkin.
La mise en scène, sobre et rythmée, signée Philippe Nicaud, sert cet équilibre parfait. Les lumières chaudes enveloppent la scène comme une étreinte, tandis que les décors épurés laissent toute la place à l’essentiel : la musique, les textes, et cette complicité palpable entre les artistes.
On rit, on s’émeut, on se souvient, on retrouve des chansons inoubliables, c’est comme si Brassens lui-même nous racontait ses histoires, entre deux accords de guitare.
Un hommage qui dépasse les générations
Ce qui plait, dans « Brassens, l’amour des mots », c’est sa capacité à toucher tous les publics.
Les puristes y retrouvent l’esprit du poète, sa verve libertaire et son humanisme. Les plus jeunes, eux, découvrent un Brassens moderne, porté par des arrangements audacieux et une énergie scénique contagieuse.
On sort de la salle le cœur léger et l’esprit nourri ! C’est un vrai coup de cœur, presque comme après une rencontre avec Brassens lui-même. C’est bien là la magie de ce spectacle : il ne se contente pas de célébrer un artiste, il le rend vivant, présent, presque tangible.
La Compagnie du Goéland : un théâtre populaire et poétique
Ce projet a été créée par la Compagnie du Goéland, fondée par Nicolas Natkin en 2016. Depuis dix ans, elle défend un théâtre exigeant, populaire et poétique, revisitant les grands classiques (Tchekhov, Molière, Dostoïevski) tout en initiant des créations originales.
« Brassens, l’amour des mots » marque une nouvelle étape pour la compagnie, un spectacle de transmission où la mémoire et l’invention se répondent en écho. Comme aime le dire un collaborateur de longue date, « avec Brassens, nous avons voulu créer un moment où la poésie n’est pas un monument, mais une respiration. »
« Brassens, l’amour des mots » est une invitation au voyage, une balade en musique et en poésie où chaque note est un pas de plus vers l’âme d’un géant de la chanson.
Axel Kiev
Infos pratiques
« Brassens, l’amour des mots »
Distribution : Nicolas Natkin (chant, guitare), Mauro Talma (guitare), Stéphane Caroubi (contrebasse)
Durée : 1h30
Public : Tout public à partir de 12 ans
Prochaines dates : à l’affiche à La Scène Parisienne et en tournée en France.
Réservations
Distribution : Nicolas Natkin (chant, guitare), Mauro Talma (guitare), Stéphane Caroubi (contrebasse)
Durée : 1h30
Public : Tout public à partir de 12 ans
Prochaines dates : à l’affiche à La Scène Parisienne et en tournée en France.
Réservations