L’action se déroule dans une petite ville, peut-être un village, au fin fond des Etats-Unis dans les années 1980. Mais le lieu et l’époque importent peu : très vite le rationnel cède la place au loufoque le plus total.
Nous sommes dans le bureau d’un commissariat où l’inspecteur Douglas et sa collègue Carrie interrogent Mike, le fils irrévérencieux du maire, soupçonné d’avoir commis un meurtre après une soirée très arrosée.
Flics complices et incorruptibles, on les sent bien décidés à le faire tomber. Il a beau être futé comme un bison, toutes les preuves l’accablent. Il est défendu par une extravagante avocate véreuse, tout de rouge vêtue, et dont les billets de 20 dollars tombent des poches comme par hasard aux pieds des deux fonctionnaires.
Nous sommes dans le bureau d’un commissariat où l’inspecteur Douglas et sa collègue Carrie interrogent Mike, le fils irrévérencieux du maire, soupçonné d’avoir commis un meurtre après une soirée très arrosée.
Flics complices et incorruptibles, on les sent bien décidés à le faire tomber. Il a beau être futé comme un bison, toutes les preuves l’accablent. Il est défendu par une extravagante avocate véreuse, tout de rouge vêtue, et dont les billets de 20 dollars tombent des poches comme par hasard aux pieds des deux fonctionnaires.
Après un moment de flottement, où l’on croit assister à une pièce policière classique, le spectateur comprend vite, dès le deuxième acte, qu’une mécanique théâtrale de répétition se met en place.
Cette astuce, parfaitement rythmée, mêle cocasserie et jeux de mots pour souligner une action totalement déréglée. Chaque acte monte en comédie pour aboutir à une apothéose d’absurdité, servie par l’acte précèdent.
Jeux de mots, gags, punchlines et mimiques font tourner à plein régime la mécanique du rire, jusqu’au fou rire.
Créée au Théâtre des Béliers Parisiens la saison dernière, la pièce a été reprise à Avignon la même année et a remporté le Molière 2025 de la meilleure comédie.
Elle est jouée ici par une troupe d’acteurs en alternance, tous dotés de l’énergie et du talent nécessaires pour maintenir un rythme effréné du début jusqu’à la fin.
Mention spéciale à Tristan Cottin qui jouait ce soir-là sa 300e représentation !
Alex Kiev
Cette astuce, parfaitement rythmée, mêle cocasserie et jeux de mots pour souligner une action totalement déréglée. Chaque acte monte en comédie pour aboutir à une apothéose d’absurdité, servie par l’acte précèdent.
Jeux de mots, gags, punchlines et mimiques font tourner à plein régime la mécanique du rire, jusqu’au fou rire.
Créée au Théâtre des Béliers Parisiens la saison dernière, la pièce a été reprise à Avignon la même année et a remporté le Molière 2025 de la meilleure comédie.
Elle est jouée ici par une troupe d’acteurs en alternance, tous dotés de l’énergie et du talent nécessaires pour maintenir un rythme effréné du début jusqu’à la fin.
Mention spéciale à Tristan Cottin qui jouait ce soir-là sa 300e représentation !
Alex Kiev
Théâtre du petit Montparnasse
31 Rue de la Gaité, 75014 Paris
Du 02 septembre 2025 au 04 janvier 2026
Du mercredi au samedi à 21h00
Les mardis à 19h00
Les dimanches à 17h00
31 Rue de la Gaité, 75014 Paris
Du 02 septembre 2025 au 04 janvier 2026
Du mercredi au samedi à 21h00
Les mardis à 19h00
Les dimanches à 17h00







