Avec l’arrivée des téléphones portables équipés d’appareils-photos numériques, les prises de vue (ou vidéo) sont entrées dans une nouvelle dimension.
De nos jours, plus vraiment besoin d’un Leica, d’un Canon ou d’un Olympus de dernière génération pour prendre une bonne photo. Un simple téléphone fait souvent l’affaire.
Naturellement, le développement de ces nouveaux produits numériques à définitivement changé notre manière de prendre des photos…
Désormais, rien de plus simple. Une petite manipulation discrète et hop, la photo est prise. Et de plus, rapidement diffusée sur les réseaux sociaux où les seniors sont d’ailleurs très actifs (notamment sur Facebook).
Afin de sensibiliser le grand public à ces nouvelles pratiques qui peuvent être sources de conflits avec les autres visiteurs ou les employés, le ministère de la Culture et de la Communication vient de mettre en place la charte intitulée Tous photographes ! qui vise à fournir au grand public les choses à connaitre avant de photographier une œuvre dans un musée ou un monument. Plus concrètement, il s’agit de « concilier les nouvelles formes de visite, les règles de civilité dans l’espace public et de bonnes conditions de prise de vue ».
Dans cet esprit, cette charte (qui se veut pédagogique) détaille cinq engagements réciproques entre le visiteur-photographe et les établissements patrimoniaux. Voici donc ceux qui concernent le visiteur, donc vous, donc nous…
Article 1 : dès son arrivée, le visiteur désactive son flash et fait en sorte de ne pas gêner les autres visiteurs lorsqu’il photographie ou filme.
Article 2 : lorsqu’il photographie ou filme, le visiteur veille à ne pas porter atteinte à l’intégrité des œuvres.
Article 3 : le visiteur peut partager et diffuser ses photos et ses vidéos, spécialement sur Internet et les réseaux sociaux, dans le cadre de la législation en vigueur.
Article 4 : le visiteur évite de prendre une photographie d’un membre du personnel de l’établissement en tant que sujet principal identifiable sans son autorisation formelle.
Article 5 : pour une prise de vue nécessitant un matériel supplémentaire, le visiteur doit faire une demande d’autorisation spécifique.
Cette charte sera appliquée dans les musées et monuments nationaux et pourra inspirer les autres établissements culturels.
De nos jours, plus vraiment besoin d’un Leica, d’un Canon ou d’un Olympus de dernière génération pour prendre une bonne photo. Un simple téléphone fait souvent l’affaire.
Naturellement, le développement de ces nouveaux produits numériques à définitivement changé notre manière de prendre des photos…
Désormais, rien de plus simple. Une petite manipulation discrète et hop, la photo est prise. Et de plus, rapidement diffusée sur les réseaux sociaux où les seniors sont d’ailleurs très actifs (notamment sur Facebook).
Afin de sensibiliser le grand public à ces nouvelles pratiques qui peuvent être sources de conflits avec les autres visiteurs ou les employés, le ministère de la Culture et de la Communication vient de mettre en place la charte intitulée Tous photographes ! qui vise à fournir au grand public les choses à connaitre avant de photographier une œuvre dans un musée ou un monument. Plus concrètement, il s’agit de « concilier les nouvelles formes de visite, les règles de civilité dans l’espace public et de bonnes conditions de prise de vue ».
Dans cet esprit, cette charte (qui se veut pédagogique) détaille cinq engagements réciproques entre le visiteur-photographe et les établissements patrimoniaux. Voici donc ceux qui concernent le visiteur, donc vous, donc nous…
Article 1 : dès son arrivée, le visiteur désactive son flash et fait en sorte de ne pas gêner les autres visiteurs lorsqu’il photographie ou filme.
Article 2 : lorsqu’il photographie ou filme, le visiteur veille à ne pas porter atteinte à l’intégrité des œuvres.
Article 3 : le visiteur peut partager et diffuser ses photos et ses vidéos, spécialement sur Internet et les réseaux sociaux, dans le cadre de la législation en vigueur.
Article 4 : le visiteur évite de prendre une photographie d’un membre du personnel de l’établissement en tant que sujet principal identifiable sans son autorisation formelle.
Article 5 : pour une prise de vue nécessitant un matériel supplémentaire, le visiteur doit faire une demande d’autorisation spécifique.
Cette charte sera appliquée dans les musées et monuments nationaux et pourra inspirer les autres établissements culturels.