Rauno Rämekorpi fête ses 60 ans. A cette occasion il reçoit une foultitude de cadeaux provenant le plus souvent de clients, de fournisseurs ou d’institutions, accompagnés d’autant de bouquets de fleurs.
Seulement voilà, Anniki, son épouse, est allergique au pollen.
Plutôt que de porter ses fleurs à la décharge, notre industriel décide de les distribuer qui, à des collaboratrices, qui à des connaissances qui sont toutes d’anciennes maîtresses.
Le voici donc parti sur les routes finlandaises, flanqué d’un chauffeur de taxi qui lui sert de factotum.
En 24 heures, il rencontre ses maîtresses, et quelles maîtresses ! L’une est alcoolique, l’autre stalinienne, il y a aussi une psychiatre dépressive, quant à la féministe, à la fin de sa diatribe elle a cette réflexion : « En même temps, pourquoi ne pas coucher avec son patron, le frisson est le même qu’avec n’importe qui d’autre ».
On le voit, en signant cette comédie qui frise le délire, Arto Paasilina brosse le tableau de la Finlande à grands coups d’ironie et d’exaspérations.
Ça, c’est pour la première partie du livre. Dans la seconde, on retrouve tous nos personnages alors que Rauno Rämekorpi, toujours en taxi, retourne voir ses maîtresses à l’occasion des fêtes de Noël. Mais de ça, on n’en dira rien…
Les Dix Femmes de l’industriel Rauno Rämekorpi
Arto Paasilinna
(traduit du finnois par Anne Colin du Terrail)
Editions Denoël
258 pages
19.50 euros
Seulement voilà, Anniki, son épouse, est allergique au pollen.
Plutôt que de porter ses fleurs à la décharge, notre industriel décide de les distribuer qui, à des collaboratrices, qui à des connaissances qui sont toutes d’anciennes maîtresses.
Le voici donc parti sur les routes finlandaises, flanqué d’un chauffeur de taxi qui lui sert de factotum.
En 24 heures, il rencontre ses maîtresses, et quelles maîtresses ! L’une est alcoolique, l’autre stalinienne, il y a aussi une psychiatre dépressive, quant à la féministe, à la fin de sa diatribe elle a cette réflexion : « En même temps, pourquoi ne pas coucher avec son patron, le frisson est le même qu’avec n’importe qui d’autre ».
On le voit, en signant cette comédie qui frise le délire, Arto Paasilina brosse le tableau de la Finlande à grands coups d’ironie et d’exaspérations.
Ça, c’est pour la première partie du livre. Dans la seconde, on retrouve tous nos personnages alors que Rauno Rämekorpi, toujours en taxi, retourne voir ses maîtresses à l’occasion des fêtes de Noël. Mais de ça, on n’en dira rien…
Les Dix Femmes de l’industriel Rauno Rämekorpi
Arto Paasilinna
(traduit du finnois par Anne Colin du Terrail)
Editions Denoël
258 pages
19.50 euros
