Léro Doltac : nouveau complément alimentaire pour les articulations

Le Laboratoire Léro, spécialiste de la micro-nutrition, commercialise un tout un nouveau complément alimentaire, le Léro Doltac, qui s'appuie sur la synergie de plantes traditionnellement utilisées pour leurs effets bénéfiques au niveau articulaire associées ici à des minéraux.


Plus concrètement, ce nouveau complément alimentaire s’annonce plus particulièrement adapté à tous les épisodes d’inconfort articulaire. Mais aussi après un choc musculaire (béquille, étirement,…) ou en cas de fortes sollicitations des articulations et des muscles.
 
Ces pilules contiennent du saule blanc. Dès l’Antiquité, les vertus du saule été reconnues, que ce soit pour lutter contre les fièvres, mais aussi contre la douleur comme celle résultant de rhumatismes. Ainsi a pu être vérifiée la théorie des contraires selon laquelle : si les eaux stagnantes comme celles des marais entraînent les fièvres (malaria : fièvre des marais), les refroidissements, les rhumatismes, le saule qui pousse ses racines dans l’eau, est grâce à son écorce l’antidote naturelle de tous ces maux.
 
En 1828, le chimiste français, Leroux a découvert que les vertus du saule étaient en fait liées à la présence au sein de son écorce, de salicine. Ingérée, au niveau intestinal, la salicine est hydrolysée en glucose et en saligénine, avant d’être transformée en acide salicylique lors de son passage sanguin : le principe actif de ce qui allait, quelques années plus tard, sous forme acétylée, devenir l’aspirine... En dehors des 10 % de dérivés salicylés que contient l’écorce (les feuilles en sont beaucoup moins riches), on retrouve aussi des flavonoïdes, puissants anti-oxydants.
 
Autre composant de ce complément alimentaire : l’harpagophytum ou griffes du diable. Cette racine originaire d’Afrique a un fruit qui possède des griffes qui le font s’emmêler dans les sabots des bovidés. Au point que ceux-ci, ne pouvant plus s’en débarrasser, deviennent comme fous, comme endiablés. Cette plante ne pousse qu’au sud de l’Afrique précisément en Namibie, au Botswana et en Afrique du Sud. Depuis longtemps, les habitants (les Bantus notamment) utilisaient l’harpagophytum à la fois contre les douleurs rhumatismales et contre les troubles digestifs.
 
La première observation occidentale des effets de la plante, date de 1820 et c’est un Allemand qui en découvre précisément les vertus (le docteur Kock) dans les années 70. Depuis de nombreuses études ont été lancées démontrant l’efficacité de cette plante…
 
Ces deux plantes sont ici associées à du zinc et du cuivre qui vont faciliter la réparation et la cicatrisation des tissus endommagés par le biais de deux actions : d’une part, ils neutralisent les radicaux libres ; d’autre part, ils favorisent la synthèse des acides aminés, des fibres de collagène et du tissu conjonctif.

Publié le 17/02/2015 à 11:43 | Lu 3206 fois