Voiture urbaine, ne signifie pas voiture étriquée. Mazda le démontre en proposant cette citadine où chaque passager dispose d’une place confortable. C’est en jouant avec plusieurs paramètres que Mazda a réussi à offrir cette sensation d’espace dans un volume relativement restreint. Avec 4,06 m de long, la Mazda 2 gagne 14 cm par rapport au modèle précédent.
Des sièges avant au dossier moins épais permettent aux passagers arrière de disposer de plus de place pour les jambes. Quant aux réglages des sièges et du volant qui ont été optimisés, ils facilitent la position de conduite des plus grands. Précisons également que les sièges avant offrent un maintien parfait avec un confort idéal pour ceux qui souffrent du dos au fil des kilomètres.
Pour cette citadine, Mazda a privilégié un environnement haut de gamme pour l’habitacle. La finition Selection bénéficiant d’un véritable affichage tête haute et d’un réglage automatique des feux de route. Les accotements et la qualité des matériaux sont dans une bonne moyenne et l’on apprécie le dessin de la planche de bord qui privilégie la clarté des informations avec une touche de sportivité. On retrouve ainsi un gros compte-tours placé au centre des compteurs tandis que l’écran tactile GPS/media placé en hauteur offre une visibilité parfaite des informations.
Au volant, la Mazda 2 se révèle particulièrement agréable à conduire. Avec un parcours d’essai comprenant à la fois de l’autoroute et un trajet assez sinueux, le châssis présente de bonnes qualités dynamiques tout en préservant le confort des occupants en dépit d’une certaine sécheresse observée sur un mauvais revêtement. La direction électrique reste précise mais gomme néanmoins le ressenti de la chaussée. Les pneumatiques Toyo qui équipaient notre voiture d’essai se sont avérés tout à fait efficaces y compris sur un revêtement dégradé.
Pour cette citadine, Mazda a choisi une offre de quatre motorisations de la génération Skyactiv. En essence, le 1 496 cm3 est proposé en 70, 90 et 115 ch avec un taux de compression élevé (14 :1). A l’inverse, le quatre cylindres Diesel de 1 499 cm3 et 105 ch affiche une valeur faible de 14,8 :1. Un moteur qui consomme 3,4l/100km avec des émissions de 89 gr/km. Si l’habitude française de rouler au Diesel semble bien ancrée, on ne doit pas négliger les moteurs à essence. Notamment le 90 ch essence qui offre un agrément de conduite parfait et surtout bien équilibré en dépit d’une boîte de vitesses aux rapports un peu longs.
Avec un premier prix à 14.450 euros pour le modèle équipé du 1,5 L essence de 70 ch dans la version Harmonie, l’acheteur dispose du système d’arrêt-démarrage du moteur, du contrôle de pression des pneus, d’une climatisation, d’un système audio commandé au volant et d’une prise USB. Les modèles de 90 ch en essence et de 105 ch Diesel sont équipés en outre du régulateur de vitesse, de l’allumage automatique des feux et des essuie-glaces et de détecteurs d’obstacle à l’arrière. Le grand écran central fait partie de la finition Dynamique facturée 17.400 euros avec le moteur 90 ch essence qui dispose également de phares antibrouillard, de jantes alliage et d’un avertisseur de franchissement de ligne (un équipement vite agaçant).
Bien dessinée et pourvue d’un choix de motorisations très techniques, cette Mazda 2 est proposée à des prix attractifs qui feront d’elle une véritable alternative dans une offre de modèles urbains souvent sans valeurs ajoutées.
Joël Chassaing-Cuvillier
Des sièges avant au dossier moins épais permettent aux passagers arrière de disposer de plus de place pour les jambes. Quant aux réglages des sièges et du volant qui ont été optimisés, ils facilitent la position de conduite des plus grands. Précisons également que les sièges avant offrent un maintien parfait avec un confort idéal pour ceux qui souffrent du dos au fil des kilomètres.
Pour cette citadine, Mazda a privilégié un environnement haut de gamme pour l’habitacle. La finition Selection bénéficiant d’un véritable affichage tête haute et d’un réglage automatique des feux de route. Les accotements et la qualité des matériaux sont dans une bonne moyenne et l’on apprécie le dessin de la planche de bord qui privilégie la clarté des informations avec une touche de sportivité. On retrouve ainsi un gros compte-tours placé au centre des compteurs tandis que l’écran tactile GPS/media placé en hauteur offre une visibilité parfaite des informations.
Au volant, la Mazda 2 se révèle particulièrement agréable à conduire. Avec un parcours d’essai comprenant à la fois de l’autoroute et un trajet assez sinueux, le châssis présente de bonnes qualités dynamiques tout en préservant le confort des occupants en dépit d’une certaine sécheresse observée sur un mauvais revêtement. La direction électrique reste précise mais gomme néanmoins le ressenti de la chaussée. Les pneumatiques Toyo qui équipaient notre voiture d’essai se sont avérés tout à fait efficaces y compris sur un revêtement dégradé.
Pour cette citadine, Mazda a choisi une offre de quatre motorisations de la génération Skyactiv. En essence, le 1 496 cm3 est proposé en 70, 90 et 115 ch avec un taux de compression élevé (14 :1). A l’inverse, le quatre cylindres Diesel de 1 499 cm3 et 105 ch affiche une valeur faible de 14,8 :1. Un moteur qui consomme 3,4l/100km avec des émissions de 89 gr/km. Si l’habitude française de rouler au Diesel semble bien ancrée, on ne doit pas négliger les moteurs à essence. Notamment le 90 ch essence qui offre un agrément de conduite parfait et surtout bien équilibré en dépit d’une boîte de vitesses aux rapports un peu longs.
Avec un premier prix à 14.450 euros pour le modèle équipé du 1,5 L essence de 70 ch dans la version Harmonie, l’acheteur dispose du système d’arrêt-démarrage du moteur, du contrôle de pression des pneus, d’une climatisation, d’un système audio commandé au volant et d’une prise USB. Les modèles de 90 ch en essence et de 105 ch Diesel sont équipés en outre du régulateur de vitesse, de l’allumage automatique des feux et des essuie-glaces et de détecteurs d’obstacle à l’arrière. Le grand écran central fait partie de la finition Dynamique facturée 17.400 euros avec le moteur 90 ch essence qui dispose également de phares antibrouillard, de jantes alliage et d’un avertisseur de franchissement de ligne (un équipement vite agaçant).
Bien dessinée et pourvue d’un choix de motorisations très techniques, cette Mazda 2 est proposée à des prix attractifs qui feront d’elle une véritable alternative dans une offre de modèles urbains souvent sans valeurs ajoutées.
Joël Chassaing-Cuvillier
La Mazda 2 en chiffres
Moteur essence 4 cylindres en ligne – 1 496 cm3 – 75, 90 et 115 ch à 6 000 tr/min – 135 et 148 Nm
Boîte manuelle à 5 et 6 rapports, automatique à 6 rapports
Dimensions : 406 x 169,5 x 149,5 cm, empattement : 257 cm
Poids : 970 à 1040 kg
Pneumatiques 185/60 R 16
Vitesse : 171/183/200 km/h – Accélération de 0 à 100 km/h : de 12,1 à 8,7 s
Émissions de CO2 : 105/110/115 gr/km
Prix : de 14 450 à 19 750 euros
Boîte manuelle à 5 et 6 rapports, automatique à 6 rapports
Dimensions : 406 x 169,5 x 149,5 cm, empattement : 257 cm
Poids : 970 à 1040 kg
Pneumatiques 185/60 R 16
Vitesse : 171/183/200 km/h – Accélération de 0 à 100 km/h : de 12,1 à 8,7 s
Émissions de CO2 : 105/110/115 gr/km
Prix : de 14 450 à 19 750 euros
