Chaque année à l’approche de la Toussaint, les informations concernant les assurances obsèques fleurissent. 
    
Le fait est que la France vieillit. Ce n’est pas un scoop, on le sait depuis une trentaine d’années déjà…
   
Ainsi, les projections de l’INSEE sont claires : la part des 60 et plus ne cesse de croître en France, avec un cap symbolique franchi en 2025 : 28% de la population a désormais 60 ans ou plus (on a plus de « vieux » que « d’enfants »).
    
Dans ce contexte de vieillissement démographique (inédit au niveau mondial), la demande en assurance obsèques progresse naturellement et mathématiquement, portée par une génération plus attentive à l’idée d’anticiper sa fin de vie pour aider ses proches.
    
En parallèle, le nombre de contrats obsèques a été multiplié par 4 depuis 2003 (+13% depuis 2020), pour atteindre près de 5,7 millions en 2024 d'après France Assureurs ; preuve que les Français veulent désormais décider eux-mêmes, de leur vivant, pour éviter à leurs enfants ou leurs conjoints une charge financière et administrative lourde.
    
Comme le souligne Townley le Guénédal, co-fondateur de Skarlett : « les 60 et plus souhaitent aujourd’hui reprendre la main sur la question de la fin de vie en prenant une longueur d’avance pour anticiper et alléger la charge pour leurs proches ».
    
Et de préciser : « cette génération aborde désormais la fin de vie sans tabou. Développer des offres d’assurance obsèques adaptées et transparentes, c’est leur permettre d’anticiper sereinement, dans un esprit de liberté et de transmission ».
    
Pour rappel et selon les dernières données du marché, le coût moyen d’une assurance obsèques s’établit à 334 euros par an, pour un capital garanti autour de 4.350 euros pour les contrats vie entière.
			 Le fait est que la France vieillit. Ce n’est pas un scoop, on le sait depuis une trentaine d’années déjà…
Ainsi, les projections de l’INSEE sont claires : la part des 60 et plus ne cesse de croître en France, avec un cap symbolique franchi en 2025 : 28% de la population a désormais 60 ans ou plus (on a plus de « vieux » que « d’enfants »).
Dans ce contexte de vieillissement démographique (inédit au niveau mondial), la demande en assurance obsèques progresse naturellement et mathématiquement, portée par une génération plus attentive à l’idée d’anticiper sa fin de vie pour aider ses proches.
En parallèle, le nombre de contrats obsèques a été multiplié par 4 depuis 2003 (+13% depuis 2020), pour atteindre près de 5,7 millions en 2024 d'après France Assureurs ; preuve que les Français veulent désormais décider eux-mêmes, de leur vivant, pour éviter à leurs enfants ou leurs conjoints une charge financière et administrative lourde.
Comme le souligne Townley le Guénédal, co-fondateur de Skarlett : « les 60 et plus souhaitent aujourd’hui reprendre la main sur la question de la fin de vie en prenant une longueur d’avance pour anticiper et alléger la charge pour leurs proches ».
Et de préciser : « cette génération aborde désormais la fin de vie sans tabou. Développer des offres d’assurance obsèques adaptées et transparentes, c’est leur permettre d’anticiper sereinement, dans un esprit de liberté et de transmission ».
Pour rappel et selon les dernières données du marché, le coût moyen d’une assurance obsèques s’établit à 334 euros par an, pour un capital garanti autour de 4.350 euros pour les contrats vie entière.

 
					  
					  
					  




 
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					 
