Voici une bonne et une mauvaise nouvelle. Une bonne nouvelle car il s’agit d’un nouveau vaccin qui va permettre de combattre la Covid-19, mais une mauvaise nouvelle, car jusqu’à nouvel ordre, ce vaccin AZD1222 d’AstraZeneca sera réservé au moins de 65 ans.
En effet, dans un communiqué présenté le 2 février dernier, la Haute Autorité de Santé (HAS) préconise de « vacciner en priorité les personnes les plus vulnérables face à la Covid-19 ainsi que celles qui sont les plus exposées ».
Elle recommande donc de proposer « ce vaccin - dont l’efficacité et la tolérance sont satisfaisantes - à l’ensemble des professionnels du secteur de la santé et du médico-social de moins de 65 ans, ainsi qu’aux personnes âgées de 50 à 64 ans, en commençant par celles qui présentent des comorbidités ».
En revanche, elle déconseille jusqu’à nouvel ordre, d’utiliser ce vaccins chez les personnes de plus de 65 ans qui ne seraient « pas encore assez robustes pour ce vaccin ». Elle propose de vacciner ces dernières préférentiellement avec un vaccin à ARN messager.
Rappelons que le vaccin AZD1222 est un vaccin à vecteur viral recombinant. Cette technologie consiste à utiliser un virus non pathogène, modifié afin de l’empêcher de se répliquer. Ensuite est intégrée dans son génome la séquence codant la protéine S du SARS-CoV-2, et ce afin d’induire une réponse immunitaire de l’organisme dirigée spécifiquement contre la protéine S, et donc contre le SARS-CoV-2.
Pour info, ce vaccin est le troisième à avoir obtenu, le 29 janvier, une AMM conditionnelle dans l’Union européenne et il est indiqué dans l’immunisation active contre la Covid-19. Son efficacité est satisfaisante (entre 62% et 70% selon les études), sa tolérance est très bonne et ses modalités de conservation vont faciliter son déploiement sur le territoire. La deuxième dose doit être administrée entre 9 et 12 semaines après la première.
En effet, dans un communiqué présenté le 2 février dernier, la Haute Autorité de Santé (HAS) préconise de « vacciner en priorité les personnes les plus vulnérables face à la Covid-19 ainsi que celles qui sont les plus exposées ».
Elle recommande donc de proposer « ce vaccin - dont l’efficacité et la tolérance sont satisfaisantes - à l’ensemble des professionnels du secteur de la santé et du médico-social de moins de 65 ans, ainsi qu’aux personnes âgées de 50 à 64 ans, en commençant par celles qui présentent des comorbidités ».
En revanche, elle déconseille jusqu’à nouvel ordre, d’utiliser ce vaccins chez les personnes de plus de 65 ans qui ne seraient « pas encore assez robustes pour ce vaccin ». Elle propose de vacciner ces dernières préférentiellement avec un vaccin à ARN messager.
Rappelons que le vaccin AZD1222 est un vaccin à vecteur viral recombinant. Cette technologie consiste à utiliser un virus non pathogène, modifié afin de l’empêcher de se répliquer. Ensuite est intégrée dans son génome la séquence codant la protéine S du SARS-CoV-2, et ce afin d’induire une réponse immunitaire de l’organisme dirigée spécifiquement contre la protéine S, et donc contre le SARS-CoV-2.
Pour info, ce vaccin est le troisième à avoir obtenu, le 29 janvier, une AMM conditionnelle dans l’Union européenne et il est indiqué dans l’immunisation active contre la Covid-19. Son efficacité est satisfaisante (entre 62% et 70% selon les études), sa tolérance est très bonne et ses modalités de conservation vont faciliter son déploiement sur le territoire. La deuxième dose doit être administrée entre 9 et 12 semaines après la première.