Plus concrètement, l’allongement de la durée de cotisation « sera de 161 trimestres pour les assurés nés en 1949, de 162 trimestres pour ceux nés en 1950, de 163 trimestres pour ceux nés en 1951 et de 164 trimestres pour ceux nés en 1952 ».
Pour la CGT, « le gouvernement confirme son passage en force et refuse toujours l’engagement de la moindre négociation sur la durée de cotisations, les minima de pensions et l’équilibre financier des régimes, tel que cela était prévu dans la loi d’août 2003 ». Et d’ajouter qu’il « choisit la période des vacances pour faire passer la mesure contestée ».
Dans ce contexte, la CGT renouvelle « sa totale opposition à l’allongement de la durée de cotisations qui, socialement injuste, ne résout pas les problèmes de financement des régimes » et « entend poursuivre sa mobilisation pour garantir le niveau de retraite, assurer un droit effectif à la retraite à 60 ans et dégager de ressources nouvelles pour le financement ».
Rappelons que la commission de législation de la CNAV est une émanation de son conseil d'administration et que les syndicats sont tous opposés à ce passage à 41 ans dans les conditions actuelles.
Pour la CGT, « le gouvernement confirme son passage en force et refuse toujours l’engagement de la moindre négociation sur la durée de cotisations, les minima de pensions et l’équilibre financier des régimes, tel que cela était prévu dans la loi d’août 2003 ». Et d’ajouter qu’il « choisit la période des vacances pour faire passer la mesure contestée ».
Dans ce contexte, la CGT renouvelle « sa totale opposition à l’allongement de la durée de cotisations qui, socialement injuste, ne résout pas les problèmes de financement des régimes » et « entend poursuivre sa mobilisation pour garantir le niveau de retraite, assurer un droit effectif à la retraite à 60 ans et dégager de ressources nouvelles pour le financement ».
Rappelons que la commission de législation de la CNAV est une émanation de son conseil d'administration et que les syndicats sont tous opposés à ce passage à 41 ans dans les conditions actuelles.