Depuis quelques années, la phytothérapie rencontre un succès croissant auprès des Français. Ainsi, selon un sondage de 2011 (mais toujours d’actualité) réalisé par la Sofres, près des deux-tiers (63%) des Français plébiscitent la phytothérapie. Plusieurs raisons à cela : la prévention pour 43% des consommateurs et un complément à la « médecine classique » pour plus du tiers (35%) d’entre eux.
Avant d’aller plus loin, rappelons que la phytothérapie est une pratique millénaire basée sur un savoir empirique transmis et enrichi au fil des générations. Ainsi, 3.000 ans av. J-C, les Sumériens utilisaient déjà des plantes telles que le myrte, le chanvre, le thym, le saule en décoctions filtrées.
Dans la pratique, la phytothérapie s'appuie à la fois sur la sagesse traditionnelle et sur les découvertes de la médecine moderne. Depuis une quarantaine d’années, l'efficacité de la médecine « par les plantes » est reconnue et démontrée scientifiquement. Ainsi, dans les années 1980, le ministère de la Santé a reconnu officiellement la phytothérapie comme étant une médecine à part entière en attribuant le statut de médicament à certaines plantes. Aujourd’hui, sa popularité grandissante a amené les scientifiques à entreprendre de nouvelles recherches.
Bien qu’il existe, selon l’OMS, plus de 20.000 plantes utilisées dans le monde pour leurs propriétés médicinales, seulement 2.000 à 3.000 plantes médicinales ont été véritablement étudiées au niveau scientifique. Ce qui à ce jour est largement suffisant pour répondre à nos différents maux, en appui des traitements classiques.
Rappelons que les plantes médicinales contiennent des principes actifs qui exercent une action biologique directe sur l'organisme. C’est la raison pour laquelle il convient de faire attention à ce que l’on fait avec…
En réalité, chacune d'elle offrirait deux à trois cents composants différents. Selon les phytothérapeutes, c'est de l'interaction entre ces différentes substances que naîtrait l'efficacité thérapeutique. La multiplicité des plantes et leurs nombreux domaines d’indication permettent une adaptation aux problèmes spécifiques de la personne traitée. Un rapide tour d'horizon montre l'ampleur de leurs bienfaits
Un coup de pouce pour mincir ? Le thé vert aux propriétés diurétiques et lipolytiques pour l'élimination des graisses et le fucus véritable coupe-faim. Anxiété, stress, manque de sommeil ? Nombreuses sont les plantes qui peuvent aider à retrouver le calme et le sommeil, citons entre autres la fleur de la passion, qui restaure progressivement le sommeil, la valériane et son effet calmant, l’escholtzia aux propriétés anxiolytiques et légèrement analgésiques, la mélisse pour lutter contre l’agitation nerveuse, pur aider à recouvrer le sommeil et enfin, la lavande, l’une des plantes reines très utile pour détendre les muscles.
Douleur s articulaires, problèmes osseux ? Les feuilles de cassis et leurs propriétés anti-inflammatoires agissent sur les douleurs articulaires, troubles rhumatismaux et arthrose. Le curcuma qui, selon les études de l'Institut Européen de Physionutrition, permet de soulager les douleurs liées à des processus inflammatoires comme l'arthrite rhumatoïde. Le saule dont l’écorce possède des vertus antalgiques, calme les douleurs lombaires et articulaires, les névralgies, les maux de tête et les tendinites.
Baisse de moral, légère dépression ? Le millepertuis est un anti-dépresseur naturel pour les troubles de l'humeur, pour la baisse de moral ou pour l’anxiété. Le ginkobiloba lui, agit sur le cerveau. Ses feuilles sont utilisées pour traiter les états de faiblesse comme les pertes de mémoire, la dépression ou les troubles de concentration et de la vigilance.
Combattre un rhume, une grippe ou de l'asthme ? L'échinacée est efficace à la fois en prévention et en traitement des rhumes et rhinites, des sinusites et laryngites, des grippes, des angines et amygalites. Quant à l’eucalyptus, il agit comme un fluidifiant et un expectorant. Le thym possède quant à lui, entre autres, des propriétés expectorantes. Le sureau noir prévient et soigne les maladies respiratoires et pulmonaires. Le pin sylvestre, aux vertus antiseptiques et décongestionnantes, agit particulièrement sur les voies respiratoires, notamment en tant que fluidifiant.
Une chute, un coup, une ecchymose ? L'arnica montana est célèbre depuis longtemps pour soulager les ecchymoses, les hématomes, les piqures d'insectes, les entorses... mais aussi les gingivites et les aphtes. Le millepertuis est doté entre autres, de propriétés antibactériennes et cicatrisantes. En application externe sous forme de pommade il désinfecte et soigne les contusions, les douleurs musculaires et les brûlures mineures.
Jambes lourdes ou problèmes veineux ? Le cyprès est indiqué pour soigner les pathologies veineuses telles que les varices, les jambes lourdes et douloureuses, les oedèmes des membres inférieurs. Le marron d'Inde soulage pour sa part les symptômes d'inconfort et la sensation des jambes lourdes liés à des troubles bénins de la circulation veineuse.
Et ce ne sont là que quelques exemples bien connus…
Avant d’aller plus loin, rappelons que la phytothérapie est une pratique millénaire basée sur un savoir empirique transmis et enrichi au fil des générations. Ainsi, 3.000 ans av. J-C, les Sumériens utilisaient déjà des plantes telles que le myrte, le chanvre, le thym, le saule en décoctions filtrées.
Dans la pratique, la phytothérapie s'appuie à la fois sur la sagesse traditionnelle et sur les découvertes de la médecine moderne. Depuis une quarantaine d’années, l'efficacité de la médecine « par les plantes » est reconnue et démontrée scientifiquement. Ainsi, dans les années 1980, le ministère de la Santé a reconnu officiellement la phytothérapie comme étant une médecine à part entière en attribuant le statut de médicament à certaines plantes. Aujourd’hui, sa popularité grandissante a amené les scientifiques à entreprendre de nouvelles recherches.
Bien qu’il existe, selon l’OMS, plus de 20.000 plantes utilisées dans le monde pour leurs propriétés médicinales, seulement 2.000 à 3.000 plantes médicinales ont été véritablement étudiées au niveau scientifique. Ce qui à ce jour est largement suffisant pour répondre à nos différents maux, en appui des traitements classiques.
Rappelons que les plantes médicinales contiennent des principes actifs qui exercent une action biologique directe sur l'organisme. C’est la raison pour laquelle il convient de faire attention à ce que l’on fait avec…
En réalité, chacune d'elle offrirait deux à trois cents composants différents. Selon les phytothérapeutes, c'est de l'interaction entre ces différentes substances que naîtrait l'efficacité thérapeutique. La multiplicité des plantes et leurs nombreux domaines d’indication permettent une adaptation aux problèmes spécifiques de la personne traitée. Un rapide tour d'horizon montre l'ampleur de leurs bienfaits
Un coup de pouce pour mincir ? Le thé vert aux propriétés diurétiques et lipolytiques pour l'élimination des graisses et le fucus véritable coupe-faim. Anxiété, stress, manque de sommeil ? Nombreuses sont les plantes qui peuvent aider à retrouver le calme et le sommeil, citons entre autres la fleur de la passion, qui restaure progressivement le sommeil, la valériane et son effet calmant, l’escholtzia aux propriétés anxiolytiques et légèrement analgésiques, la mélisse pour lutter contre l’agitation nerveuse, pur aider à recouvrer le sommeil et enfin, la lavande, l’une des plantes reines très utile pour détendre les muscles.
Douleur s articulaires, problèmes osseux ? Les feuilles de cassis et leurs propriétés anti-inflammatoires agissent sur les douleurs articulaires, troubles rhumatismaux et arthrose. Le curcuma qui, selon les études de l'Institut Européen de Physionutrition, permet de soulager les douleurs liées à des processus inflammatoires comme l'arthrite rhumatoïde. Le saule dont l’écorce possède des vertus antalgiques, calme les douleurs lombaires et articulaires, les névralgies, les maux de tête et les tendinites.
Baisse de moral, légère dépression ? Le millepertuis est un anti-dépresseur naturel pour les troubles de l'humeur, pour la baisse de moral ou pour l’anxiété. Le ginkobiloba lui, agit sur le cerveau. Ses feuilles sont utilisées pour traiter les états de faiblesse comme les pertes de mémoire, la dépression ou les troubles de concentration et de la vigilance.
Combattre un rhume, une grippe ou de l'asthme ? L'échinacée est efficace à la fois en prévention et en traitement des rhumes et rhinites, des sinusites et laryngites, des grippes, des angines et amygalites. Quant à l’eucalyptus, il agit comme un fluidifiant et un expectorant. Le thym possède quant à lui, entre autres, des propriétés expectorantes. Le sureau noir prévient et soigne les maladies respiratoires et pulmonaires. Le pin sylvestre, aux vertus antiseptiques et décongestionnantes, agit particulièrement sur les voies respiratoires, notamment en tant que fluidifiant.
Une chute, un coup, une ecchymose ? L'arnica montana est célèbre depuis longtemps pour soulager les ecchymoses, les hématomes, les piqures d'insectes, les entorses... mais aussi les gingivites et les aphtes. Le millepertuis est doté entre autres, de propriétés antibactériennes et cicatrisantes. En application externe sous forme de pommade il désinfecte et soigne les contusions, les douleurs musculaires et les brûlures mineures.
Jambes lourdes ou problèmes veineux ? Le cyprès est indiqué pour soigner les pathologies veineuses telles que les varices, les jambes lourdes et douloureuses, les oedèmes des membres inférieurs. Le marron d'Inde soulage pour sa part les symptômes d'inconfort et la sensation des jambes lourdes liés à des troubles bénins de la circulation veineuse.
Et ce ne sont là que quelques exemples bien connus…