Valoriser l’estime de soi avant tout
Il y a peu de temps, nous partagions cet article qui préconisait que l’activité physique après une hospitalisation pouvait renforcer l’équilibre, l’autonomie et la confiance en soi.
C’est dans ce même objectif qu’interviennent les socio-coiffeurs et socio-esthéticiennes qui sont tout spécialement formés pour redonner une image valorisante aux personnes âgées fragilisées et/ou en rupture sociale.
Ici, il n’est pas question de réaliser la dernière coiffure à la mode mais plutôt d’accompagner et d’écouter les personnes souffrantes dans un autre contexte que l’accompagnement médical qui s’avère, de facto, moins personnel.
Quels types de soins peuvent être apportés ?
Ces coiffeurs et ces esthéticiennes proposent généralement des soins en fonction de la personne et de son environnement, au cas par cas. Des exemples concrets : après une chimiothérapie, la pose et l’entretien d’une perruque, le soin de la peau fragilisée ainsi que la reconstruction de sourcils sont autant de services qui permettent à la personne de conserver son intégrité physique après avoir subi de lourds traitements.
De même, la coiffeuse spécialisée fera aux personnes à mobilité réduite des shampoings au lit ou lui réalisera sa coloration habituelle tout en lui donnant des conseils pour pouvoir s’occuper elle-même de ses cheveux au quotidien.
Concernant les coupes de cheveux, celles-ci seront réalisées sur-mesure, au cas par cas : la coupe courte pixie permet aux femmes de plus de 60 ans de retrouver leur féminité, tout comme le révèle le magazine Schwarzkopf. Les poses d’extensions naturelles sont, quant à elles, utiles pour retrouver une chevelure fournie. De fait, pratiquement tout est envisageable, tant que le résultat permet à l’individu de retrouver une bonne dose de confiance en soi.
Un métier qui exige le secret professionnel
Contrairement au salon de coiffure qui est souvent perçu comme un lieu où circulent les potins et autres commérages, le socio-coiffeur ou la socio-esthéticienne sont tenus au secret professionnel, au même titre que le personnel médical.
Toutes les confidences échangées alors entre le professionnel et le client-patient restent entre eux. Déontologie, professionnalisme et psychologie sont donc de mise pour une bonne coopération.
Il y a peu de temps, nous partagions cet article qui préconisait que l’activité physique après une hospitalisation pouvait renforcer l’équilibre, l’autonomie et la confiance en soi.
C’est dans ce même objectif qu’interviennent les socio-coiffeurs et socio-esthéticiennes qui sont tout spécialement formés pour redonner une image valorisante aux personnes âgées fragilisées et/ou en rupture sociale.
Ici, il n’est pas question de réaliser la dernière coiffure à la mode mais plutôt d’accompagner et d’écouter les personnes souffrantes dans un autre contexte que l’accompagnement médical qui s’avère, de facto, moins personnel.
Quels types de soins peuvent être apportés ?
Ces coiffeurs et ces esthéticiennes proposent généralement des soins en fonction de la personne et de son environnement, au cas par cas. Des exemples concrets : après une chimiothérapie, la pose et l’entretien d’une perruque, le soin de la peau fragilisée ainsi que la reconstruction de sourcils sont autant de services qui permettent à la personne de conserver son intégrité physique après avoir subi de lourds traitements.
De même, la coiffeuse spécialisée fera aux personnes à mobilité réduite des shampoings au lit ou lui réalisera sa coloration habituelle tout en lui donnant des conseils pour pouvoir s’occuper elle-même de ses cheveux au quotidien.
Concernant les coupes de cheveux, celles-ci seront réalisées sur-mesure, au cas par cas : la coupe courte pixie permet aux femmes de plus de 60 ans de retrouver leur féminité, tout comme le révèle le magazine Schwarzkopf. Les poses d’extensions naturelles sont, quant à elles, utiles pour retrouver une chevelure fournie. De fait, pratiquement tout est envisageable, tant que le résultat permet à l’individu de retrouver une bonne dose de confiance en soi.
Un métier qui exige le secret professionnel
Contrairement au salon de coiffure qui est souvent perçu comme un lieu où circulent les potins et autres commérages, le socio-coiffeur ou la socio-esthéticienne sont tenus au secret professionnel, au même titre que le personnel médical.
Toutes les confidences échangées alors entre le professionnel et le client-patient restent entre eux. Déontologie, professionnalisme et psychologie sont donc de mise pour une bonne coopération.