À l’approche des municipales de mars 2026, l’Association des maires de France (AMF) alerte : notre démocratie locale a besoin de nouvelles forces vives. Et si cette énergie venait en grande partie… des seniors ?
Pourquoi eux ? Parce qu’ils sont les plus ancrés dans leur commune : 38% des Français vivent depuis plus de 20 ans dans leur ville, un attachement qui grimpe à près de la moitié (47%) dans les grandes communes.
Parce qu’ils accordent une confiance forte aux maires (plus des deux-tiers ; 69%), perçus comme honnêtes (61 %) et capables de tenir leurs engagements (la moitié).
Parce qu’ils représentent un vivier d’engagement disponible : près du quart (24%) des Français se disent prêts à siéger dans un conseil municipal, et ce chiffre atteint près du tiers (31%) dans les petites communes.
On le sait, les seniors d’aujourd’hui, par leur expérience et leur disponibilité, sont déjà les chevilles ouvrières d’innombrables associations locales.
L’enquête AMF–CEVIPOF révèle que près de 12 millions de citoyens pourraient, théoriquement, devenir conseillers municipaux. Un réservoir démocratique considérable, au moment où plus de 2 000 maires ont démissionné lors du mandat qui s’achève.
Des enjeux qui parlent aux plus âgés comme aux plus jeunes : sécurité (43% en tête des priorités dans un pays où l’insécurité est devenue un enjeu national), maintien des services de proximité (38%) et transition écologique (38%) figurent dans les premières attentes.
Autant de thèmes où l’expérience des seniors peut nourrir des solutions locales concrètes. À l’heure où la défiance nationale s’accentue, la commune reste le socle de confiance et de proximité. Mettre en lumière l’engagement des seniors, c’est raconter une France qui croit encore à l’action collective et à l’efficacité locale.
Pourquoi eux ? Parce qu’ils sont les plus ancrés dans leur commune : 38% des Français vivent depuis plus de 20 ans dans leur ville, un attachement qui grimpe à près de la moitié (47%) dans les grandes communes.
Parce qu’ils accordent une confiance forte aux maires (plus des deux-tiers ; 69%), perçus comme honnêtes (61 %) et capables de tenir leurs engagements (la moitié).
Parce qu’ils représentent un vivier d’engagement disponible : près du quart (24%) des Français se disent prêts à siéger dans un conseil municipal, et ce chiffre atteint près du tiers (31%) dans les petites communes.
On le sait, les seniors d’aujourd’hui, par leur expérience et leur disponibilité, sont déjà les chevilles ouvrières d’innombrables associations locales.
L’enquête AMF–CEVIPOF révèle que près de 12 millions de citoyens pourraient, théoriquement, devenir conseillers municipaux. Un réservoir démocratique considérable, au moment où plus de 2 000 maires ont démissionné lors du mandat qui s’achève.
Des enjeux qui parlent aux plus âgés comme aux plus jeunes : sécurité (43% en tête des priorités dans un pays où l’insécurité est devenue un enjeu national), maintien des services de proximité (38%) et transition écologique (38%) figurent dans les premières attentes.
Autant de thèmes où l’expérience des seniors peut nourrir des solutions locales concrètes. À l’heure où la défiance nationale s’accentue, la commune reste le socle de confiance et de proximité. Mettre en lumière l’engagement des seniors, c’est raconter une France qui croit encore à l’action collective et à l’efficacité locale.






