Article publié en partenariat avec Stuff Magazine
Les ciels nocturnes étant devenus plus clairs, Stefan Lieberman prodigue ses conseils pour faire profiter votre photographie nocturne de la diminution de la pollution lumineuse. Stefan utilise les appareils photo Sony Alpha 7S et R Sony Alpha 7 III
« Je suis photographe de ciel nocturne, donc mon activité commence à la nuit tombée. Je travaille principalement seul et je croise rarement des gens. De ce fait, très peu de choses ont immédiatement changé pour moi.
Mais j’ai pu voir la différence dans le ciel. La pollution lumineuse est l’ennemi juré de mon travail car l’excès de lumière brouille le ciel. Mais les circonstances actuelles ont réduit le trafic routier et les éclairages des entreprises. Dans l’ensemble, la pollution lumineuse a sensiblement diminué.
En attendant que le monde revienne à la normale, une chance unique nous est donnée : capturer le ciel avec moins d’interférences. Les restrictions de voyage m’obligent peut-être à rester dans ma région, mais elles m’ont permis de prendre de magnifiques photos de la forêt de Thuringe en Allemagne ».
Stefan souligne les éléments clés pour tirer le meilleur parti de la réduction de la pollution lumineuse : « Pour commencer, il est important d’éviter les sources de lumière vive. Il y en a moins actuellement, mais il est toujours préférable de s’éloigner des villes. Ensuite, vous aurez besoin d’un trépied pour stabiliser votre prise de vue.
Enfin, vous devrez faire des essais de réglage avec différentes longueurs d’exposition et idéalement utiliser un déclencheur externe. En outre, ce type de photographie peut bénéficier d’une bonne compréhension des techniques de post-traitement comme l’assemblage de clichés. C’est une occasion formidable d’acquérir ces savoirs ».
Source
« Je suis photographe de ciel nocturne, donc mon activité commence à la nuit tombée. Je travaille principalement seul et je croise rarement des gens. De ce fait, très peu de choses ont immédiatement changé pour moi.
Mais j’ai pu voir la différence dans le ciel. La pollution lumineuse est l’ennemi juré de mon travail car l’excès de lumière brouille le ciel. Mais les circonstances actuelles ont réduit le trafic routier et les éclairages des entreprises. Dans l’ensemble, la pollution lumineuse a sensiblement diminué.
En attendant que le monde revienne à la normale, une chance unique nous est donnée : capturer le ciel avec moins d’interférences. Les restrictions de voyage m’obligent peut-être à rester dans ma région, mais elles m’ont permis de prendre de magnifiques photos de la forêt de Thuringe en Allemagne ».
Stefan souligne les éléments clés pour tirer le meilleur parti de la réduction de la pollution lumineuse : « Pour commencer, il est important d’éviter les sources de lumière vive. Il y en a moins actuellement, mais il est toujours préférable de s’éloigner des villes. Ensuite, vous aurez besoin d’un trépied pour stabiliser votre prise de vue.
Enfin, vous devrez faire des essais de réglage avec différentes longueurs d’exposition et idéalement utiliser un déclencheur externe. En outre, ce type de photographie peut bénéficier d’une bonne compréhension des techniques de post-traitement comme l’assemblage de clichés. C’est une occasion formidable d’acquérir ces savoirs ».
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