Allant de pair avec les transformations de la société, les jeunes générations envisagent leur retraite autrement que leurs aînés : les jeunes générations accordent ainsi une place plus importante à la retraite « par capitalisation »…
Ainsi, 18% des 18-24 ans pensent que leur revenu une fois à la retraite proviendra majoritairement de leur épargne ou de leurs placements financiers ou immobiliers, leur pension issue du système de retraite par répartition constituant un complément (contre 5% seulement sur la tranche d’âge de 50 ans et plus, 13 points d’écart).
Plus du quart (27%) des moins de 35 ans, contre 43% des 35 ans et plus (16 points d’écart) et 49% de la tranche d’âge 50 ans et plus (22 points d’écart), comptent uniquement sur une pension retraite assurée par le système de retraite par répartition.
… et elles sont moins pessimistes sur leur niveau de vie une fois à la retraite.
Ainsi, plus de la moitié (56%) des moins de 35 ans estime que leur niveau de vie va diminuer à la retraite, contre les trois-quarts pour les 35 ans et plus (19 points d’écart).
« Les jeunes générations ont bien plus intégré que les autres les limites du système de retraite par répartition et une dimension de retraite par capitalisation. Les moins de 35 ans sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à ouvrir un Plan Épargne Retraite (PER). C
ette prise de responsabilité et le temps dont ils disposent leur permet aussi d’être moins pessimistes sur le maintien de leur niveau de vie à la retraite, avec le sentiment de prendre en main leur futur », souligne Catherine Baudeneau, Directrice Marketing Offre et Communication d’Altaprofits.
Pour ce qui est de différences Hommes / Femmes
« Comme souvent sur les sujets de placements, les femmes sont encore en retrait par rapport aux hommes. Sur la préparation financière de la retraite, elles sont également moins nombreuses à avoir intégré une dimension de retraite par capitalisation pour maintenir leur niveau de vie une fois à la retraite. Mais les différences s’estompent parmi les plus jeunes générations », conclut Catherine Baudeneau.
Ainsi, 18% des 18-24 ans pensent que leur revenu une fois à la retraite proviendra majoritairement de leur épargne ou de leurs placements financiers ou immobiliers, leur pension issue du système de retraite par répartition constituant un complément (contre 5% seulement sur la tranche d’âge de 50 ans et plus, 13 points d’écart).
Plus du quart (27%) des moins de 35 ans, contre 43% des 35 ans et plus (16 points d’écart) et 49% de la tranche d’âge 50 ans et plus (22 points d’écart), comptent uniquement sur une pension retraite assurée par le système de retraite par répartition.
… et elles sont moins pessimistes sur leur niveau de vie une fois à la retraite.
Ainsi, plus de la moitié (56%) des moins de 35 ans estime que leur niveau de vie va diminuer à la retraite, contre les trois-quarts pour les 35 ans et plus (19 points d’écart).
« Les jeunes générations ont bien plus intégré que les autres les limites du système de retraite par répartition et une dimension de retraite par capitalisation. Les moins de 35 ans sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à ouvrir un Plan Épargne Retraite (PER). C
ette prise de responsabilité et le temps dont ils disposent leur permet aussi d’être moins pessimistes sur le maintien de leur niveau de vie à la retraite, avec le sentiment de prendre en main leur futur », souligne Catherine Baudeneau, Directrice Marketing Offre et Communication d’Altaprofits.
Pour ce qui est de différences Hommes / Femmes
- Les hommes jeunes sont les plus optimistes sur leur niveau de vie à la retraite en accordant une place plus importante à la constitution d’un complément de retraite « par capitalisation ». Et 21% des hommes de moins de 35 ans estiment que leur niveau de vie une fois à la retraite proviendra à parts égales de la pension du système de retraite par répartition et de leur épargne ou de leurs placements financiers ou immobiliers (10 % quant aux femmes de moins de 35 ans).
- Les femmes comptent bien plus que les hommes uniquement sur le système de retraite par répartition pour assurer leurs revenus lorsqu’elles seront retraitées. En particulier, c’est le cas des femmes de plus de 35 ans (47 % contre 40 % pour les hommes de la même catégorie d’âges, également 7 points d’écart).
« Comme souvent sur les sujets de placements, les femmes sont encore en retrait par rapport aux hommes. Sur la préparation financière de la retraite, elles sont également moins nombreuses à avoir intégré une dimension de retraite par capitalisation pour maintenir leur niveau de vie une fois à la retraite. Mais les différences s’estompent parmi les plus jeunes générations », conclut Catherine Baudeneau.