Certes, il s’agit d’un simple fait divers qui concerne nos voisins helvétiques, mais cette histoire n’est pas si rare… On retrouve ce type d’abus un peu partout, qu’il s’agisse de la Suisse ou de tout autre pays confronté au vieillissement de ses populations.
Les fait sont relativement -et dramatiquement- simples : un couple de nonagénaires a été victime du chantage de ses enfants. Ces derniers ont abusé de leurs parents en leur extorquant de l’argent. Heureusement, ces ainés se sont confiés à leur pasteur qui après mûre réflexion, a décidé de prévenir la police locale.
D’une manière générale, les inspecteurs confirment qu’ils reçoivent très peu de plaintes de ce type. Malheureusement, cela ne signifie pas que ces problèmes sont rares, cela signifie simplement que les personnes âgées n’osent pas en parler. Honte, peur du quand dira-t-on, crainte de représailles, les excuses sont aussi nombreuses que les cas d’abus !
Une association suisse, Alter Ego, estime que l’argent représente un tiers des abus envers les personnes âgées et que dans 36% des cas, les auteurs sont des membres de la famille…
Bien évidemment, la maltraitance des ainés peut entraîner de graves traumatismes physiques et avoir des conséquences psychologiques à long terme. Contrairement à ce que l’on peut penser, les aînés maltraités proviennent autant de milieux aisés que défavorisés et les hommes peuvent aussi subir de la violence.
Pour mémoire, en France, le numéro de la plateforme du Défenseur des droits est lui disponible pour dénoncer toutes situations délicates : 0810 455 455 et www.defenseurdesdroits.fr.
Les fait sont relativement -et dramatiquement- simples : un couple de nonagénaires a été victime du chantage de ses enfants. Ces derniers ont abusé de leurs parents en leur extorquant de l’argent. Heureusement, ces ainés se sont confiés à leur pasteur qui après mûre réflexion, a décidé de prévenir la police locale.
D’une manière générale, les inspecteurs confirment qu’ils reçoivent très peu de plaintes de ce type. Malheureusement, cela ne signifie pas que ces problèmes sont rares, cela signifie simplement que les personnes âgées n’osent pas en parler. Honte, peur du quand dira-t-on, crainte de représailles, les excuses sont aussi nombreuses que les cas d’abus !
Une association suisse, Alter Ego, estime que l’argent représente un tiers des abus envers les personnes âgées et que dans 36% des cas, les auteurs sont des membres de la famille…
Bien évidemment, la maltraitance des ainés peut entraîner de graves traumatismes physiques et avoir des conséquences psychologiques à long terme. Contrairement à ce que l’on peut penser, les aînés maltraités proviennent autant de milieux aisés que défavorisés et les hommes peuvent aussi subir de la violence.
Pour mémoire, en France, le numéro de la plateforme du Défenseur des droits est lui disponible pour dénoncer toutes situations délicates : 0810 455 455 et www.defenseurdesdroits.fr.