On le sait, l’odorat est un sens extraordinaire qui est intimement lié à nos émotions, à notre mémoire et même, à notre perception du goût (ceux qui ont perdu l’odorat pendant le covid s’en souviennent encore).
Pourtant, il reste très souvent négligé dans les environnements de soins. Et c’est bien dommage…
Dans ce contexte, depuis plus de vingt ans, la maison Shams imagine et conçoit des ambiances olfactives sur mesure pour ses clients, « façonnées pour révéler l’âme d’un lieu et éveiller des souvenirs précieux » assure le communiqué.
Comme on peut l’imaginer, dans les maisons de retraite, cette approche vise à instaurer des atmosphères rassurantes, apaisantes ou stimulantes, tout en respectant les besoins sensoriels et émotionnels d’un public souvent vulnérable. On estime que 20% des plus de 65 ans présentent un trouble de l’odorat.
Et dans les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson), les neurones du bulbe olfactif dégénèrent précocement, ce qui entraîne également une baisse de l’odorat. Ainsi on mémorise moins de nouvelles odeurs avec l’âge et leur pouvoir évocateur est moins efficace.
« Le parfum est le supplément d’âme d’un lieu », rappelle Akram Aschi, co-fondateur de Shams. Et d'ajouter : « En EHPAD, il devient un vecteur de bien-être, un lien subtil entre le présent et les souvenirs. »
L’odorat conserve un pouvoir émotionnel et mnésique exceptionnel, même avec l’âge. Une simple senteur de lavande évoque les draps d’enfance, celle du pain grillé réveille les souvenirs des repas du dimanche avec les parents.
Ces stimulations olfactives agissent comme une thérapie douce et non médicamenteuse, apaisant l’anxiété et favorisant un meilleur sommeil, notamment chez les résidents atteints de troubles cognitifs.
L’odorat est également indissociable du goût. Avec l’âge, une baisse de l’odorat entraîne souvent une perte d’appétit et de plaisir gustatif. Dans cet esprit, cette entreprise propose de diffuser des odeurs familières avant les repas (soupe, café, viennoiseries…) pour stimuler naturellement l’appétit et améliorer l’expérience culinaire.
Grâce à des protocoles olfactifs adaptés aux différents espaces (chambres, lieux de vie, unités Alzheimer), cela permet :
Grâce à la micronébulisation, ces fragances sont diffusées pures sous forme de microgouttelettes ultra-fines, sans eau ni chaleur.
Ce procédé garantit une diffusion sèche et homogène, idéale pour les environnements fragiles. Les fragrances, créées à Grasse et conformes aux normes IFRA, sont sélectionnées pour leur innocuité et leur effet émotionnel ciblé.
Pourtant, il reste très souvent négligé dans les environnements de soins. Et c’est bien dommage…
Dans ce contexte, depuis plus de vingt ans, la maison Shams imagine et conçoit des ambiances olfactives sur mesure pour ses clients, « façonnées pour révéler l’âme d’un lieu et éveiller des souvenirs précieux » assure le communiqué.
Comme on peut l’imaginer, dans les maisons de retraite, cette approche vise à instaurer des atmosphères rassurantes, apaisantes ou stimulantes, tout en respectant les besoins sensoriels et émotionnels d’un public souvent vulnérable. On estime que 20% des plus de 65 ans présentent un trouble de l’odorat.
Et dans les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson), les neurones du bulbe olfactif dégénèrent précocement, ce qui entraîne également une baisse de l’odorat. Ainsi on mémorise moins de nouvelles odeurs avec l’âge et leur pouvoir évocateur est moins efficace.
« Le parfum est le supplément d’âme d’un lieu », rappelle Akram Aschi, co-fondateur de Shams. Et d'ajouter : « En EHPAD, il devient un vecteur de bien-être, un lien subtil entre le présent et les souvenirs. »
L’odorat conserve un pouvoir émotionnel et mnésique exceptionnel, même avec l’âge. Une simple senteur de lavande évoque les draps d’enfance, celle du pain grillé réveille les souvenirs des repas du dimanche avec les parents.
Ces stimulations olfactives agissent comme une thérapie douce et non médicamenteuse, apaisant l’anxiété et favorisant un meilleur sommeil, notamment chez les résidents atteints de troubles cognitifs.
L’odorat est également indissociable du goût. Avec l’âge, une baisse de l’odorat entraîne souvent une perte d’appétit et de plaisir gustatif. Dans cet esprit, cette entreprise propose de diffuser des odeurs familières avant les repas (soupe, café, viennoiseries…) pour stimuler naturellement l’appétit et améliorer l’expérience culinaire.
Grâce à des protocoles olfactifs adaptés aux différents espaces (chambres, lieux de vie, unités Alzheimer), cela permet :
- Une réduction du stress et des troubles du comportement
- Une amélioration du sommeil
- Une stimulation de l’appétit et du plaisir de manger
- Une reconnexion émotionnelle par les souvenirs olfactifs
Grâce à la micronébulisation, ces fragances sont diffusées pures sous forme de microgouttelettes ultra-fines, sans eau ni chaleur.
Ce procédé garantit une diffusion sèche et homogène, idéale pour les environnements fragiles. Les fragrances, créées à Grasse et conformes aux normes IFRA, sont sélectionnées pour leur innocuité et leur effet émotionnel ciblé.