Face à la forte augmentation du trafic aérien et face aux départs en retraite massifs prévus dans les années à venir de pilotes de ligne qui atteignent –pour beaucoup- la soixantaine, la compagnie aérienne Thai Airways International envisage donc de repousser l’âge légal du départ en retraite de ses commandants de bord de 60 à 65 ans.
Et la compagnie de préciser que sur ses 1.300 pilotes de ligne, 24 prendront leur retraite en septembre 2008. Actuellement, la Thai est équipée de 80 appareils et d’autres avions sont en commande dans les années à venir pour faire face à la demande croissante en matière de transport aérien. D’où un besoin de plus en plus pressant de pilotes…
Comme le remarque également le responsable de cette compagnie aérienne asiatique, cité par la presse thaïlandaise, cette extension de l’âge de la retraite de 60 à 65 ans est par ailleurs préconisée par l’Internationanl Civil Aviation Organisation (OACI), structure officielle qui édicte les normes internationales en matière d’aviation civile. Selon cet organisme, en matière de transport commercial international, la limite d'âge des commandants de bord devrait être de soixante-cinq ans sous réserve que le copilote soit âgé de moins de soixante ans.
Le responsable de la compagnie aérienne thaïlandaise souligne encore que lorsque les pilotes de la Thai prennent leur retraite, ils se font généralement engager par des compagnies concurrentes locales ou étrangères.
Notons par ailleurs que fin 2006, lors d'une conférence de presse, l'un des responsables de Federal Aviation Administration, organisme qui régule le transport aérien aux Etats-Unis, remarquait : « L'expérience d'un pilote de ligne compte. C'est une marge de sécurité en plus. Les compagnies aériennes étrangères ont démontré que l'expérience d'un commandant de bord en bonne santé lui permet de voler au-delà des 60 ans sans nuire à la sécurité des passagers ».
Rappelons également les résultats d'une étude réalisée par des scientifiques d'une clinique spécialisée dans la recherche sur le vieillissement de Palo Alto en Californie qui va dans ce sens. Selon elle, « les connaissances accumulées grâce aux expériences antérieures (également connue sous le nom d'intelligence cristallisée) permettent à ces pilotes expérimentés de conserver pendant longtemps des compétences optimales ».
Et la compagnie de préciser que sur ses 1.300 pilotes de ligne, 24 prendront leur retraite en septembre 2008. Actuellement, la Thai est équipée de 80 appareils et d’autres avions sont en commande dans les années à venir pour faire face à la demande croissante en matière de transport aérien. D’où un besoin de plus en plus pressant de pilotes…
Comme le remarque également le responsable de cette compagnie aérienne asiatique, cité par la presse thaïlandaise, cette extension de l’âge de la retraite de 60 à 65 ans est par ailleurs préconisée par l’Internationanl Civil Aviation Organisation (OACI), structure officielle qui édicte les normes internationales en matière d’aviation civile. Selon cet organisme, en matière de transport commercial international, la limite d'âge des commandants de bord devrait être de soixante-cinq ans sous réserve que le copilote soit âgé de moins de soixante ans.
Le responsable de la compagnie aérienne thaïlandaise souligne encore que lorsque les pilotes de la Thai prennent leur retraite, ils se font généralement engager par des compagnies concurrentes locales ou étrangères.
Notons par ailleurs que fin 2006, lors d'une conférence de presse, l'un des responsables de Federal Aviation Administration, organisme qui régule le transport aérien aux Etats-Unis, remarquait : « L'expérience d'un pilote de ligne compte. C'est une marge de sécurité en plus. Les compagnies aériennes étrangères ont démontré que l'expérience d'un commandant de bord en bonne santé lui permet de voler au-delà des 60 ans sans nuire à la sécurité des passagers ».
Rappelons également les résultats d'une étude réalisée par des scientifiques d'une clinique spécialisée dans la recherche sur le vieillissement de Palo Alto en Californie qui va dans ce sens. Selon elle, « les connaissances accumulées grâce aux expériences antérieures (également connue sous le nom d'intelligence cristallisée) permettent à ces pilotes expérimentés de conserver pendant longtemps des compétences optimales ».