Si, aujourd’hui, les marques de gin encombrent les rayonnages des magasins spécialisés avec des prix souvent injustifiés, il faut savoir se recentrer sur les marques originelles qui, dans les années 90, ont assuré la renaissance du gin.
Et s’il en est une à qui l’industrie du gin doit tout, c’est au gin Bombay. Un gin relativement récent puisqu’il date du début des années 60 et, était la version rebaptisée du Warrington dry gin.
Ce n’est qu’en 1987 que le Bombay est devenu Bombay Sapphire par l’ajout de deux ingrédients. A cet égard la composition botanique du Bombay Sapphire est tout à fait conforme à l’image d’un London Dry Gin avec le genièvre, la coriandre, les racines d’angélique, de réglisse et d’iris, la cannelle, l’amande, le zeste de citron, la maniguette et les baies de cubèbe.
Peut-être aurait-on pu se passer de réglisse et d’amande. Mais, avec cette composition, nous sommes loin des recettes pharmaceutiques qui n’ont de gin que le nom. Notamment certaines marques françaises dont le seul argument est d’être trop chères et surtout, trop parfumées pour s’adapter à des recettes de cocktails.
Ce Bombay Sapphire s’annonce avec un nez délicat, légèrement poivré et des notes d’agrumes. En bouche, les agrumes s’imposent avec la belle présence du genièvre et de l’angélique.
Pour cette fin d’année, le groupe Bacardi propriétaire de Bombay, a eu l’heureuse idée de demander à l’artiste Thomas Lélu de créer une version originale des verres ballon présentés dans un coffret permettant de réaliser le parfait Bombay Tonic.
Le message « Fresh Touch » inscrit sur le verre est une référence au style de vie offerte par le gin et ses accords en cocktails.
Restons dans le chapitre des cocktails avec le Martini Rosato, le dernier né de la famille des vermouths Martini. Une robe rosée, un nez délicat de bonbon anglais voilà la première impression de ce Martini.
En bouche, la suavité laisse deviner une amertume maitrisée afin de ne pas heurter les palais délicats. Les épices apportent la rondeur et le moelleux. A déguster en piscine avec des glaçons mais surtout, à intégrer dans des cocktails faciles à boire et doux en alcool. En Spritz avec un joli crémant, cela sera parfait pour passer un moment sur une terrasse au bord des pistes de ski.
Gin Bombay Sapphire coffret Thomas Lélu comprenant deux verres et deux bouteilles de Fever Tree MediteraneanTonic, 39,99€, Martini Rosato, 8,90€. Caviste, grande/moyenne surface.
Joël Chassaing-Cuvillier
Et s’il en est une à qui l’industrie du gin doit tout, c’est au gin Bombay. Un gin relativement récent puisqu’il date du début des années 60 et, était la version rebaptisée du Warrington dry gin.
Ce n’est qu’en 1987 que le Bombay est devenu Bombay Sapphire par l’ajout de deux ingrédients. A cet égard la composition botanique du Bombay Sapphire est tout à fait conforme à l’image d’un London Dry Gin avec le genièvre, la coriandre, les racines d’angélique, de réglisse et d’iris, la cannelle, l’amande, le zeste de citron, la maniguette et les baies de cubèbe.
Peut-être aurait-on pu se passer de réglisse et d’amande. Mais, avec cette composition, nous sommes loin des recettes pharmaceutiques qui n’ont de gin que le nom. Notamment certaines marques françaises dont le seul argument est d’être trop chères et surtout, trop parfumées pour s’adapter à des recettes de cocktails.
Ce Bombay Sapphire s’annonce avec un nez délicat, légèrement poivré et des notes d’agrumes. En bouche, les agrumes s’imposent avec la belle présence du genièvre et de l’angélique.
Pour cette fin d’année, le groupe Bacardi propriétaire de Bombay, a eu l’heureuse idée de demander à l’artiste Thomas Lélu de créer une version originale des verres ballon présentés dans un coffret permettant de réaliser le parfait Bombay Tonic.
Le message « Fresh Touch » inscrit sur le verre est une référence au style de vie offerte par le gin et ses accords en cocktails.
Restons dans le chapitre des cocktails avec le Martini Rosato, le dernier né de la famille des vermouths Martini. Une robe rosée, un nez délicat de bonbon anglais voilà la première impression de ce Martini.
En bouche, la suavité laisse deviner une amertume maitrisée afin de ne pas heurter les palais délicats. Les épices apportent la rondeur et le moelleux. A déguster en piscine avec des glaçons mais surtout, à intégrer dans des cocktails faciles à boire et doux en alcool. En Spritz avec un joli crémant, cela sera parfait pour passer un moment sur une terrasse au bord des pistes de ski.
Gin Bombay Sapphire coffret Thomas Lélu comprenant deux verres et deux bouteilles de Fever Tree MediteraneanTonic, 39,99€, Martini Rosato, 8,90€. Caviste, grande/moyenne surface.
Joël Chassaing-Cuvillier