Considérant qu'un cadre juridique uniforme au niveau européen devrait être instauré, le CESE souligne quelques points contestables de la directive 2001/83/CE et propose une modification du règlement 726/2004 afin de garantir aux patients une plus grande protection médicale.
En effet, comme le rappelle le communiqué du CESE, « il apparaît que tout citoyen a le droit de disposer d'une information complète et compréhensible dans sa propre langue, y compris les informations sur les médicaments soumis à prescription médicale achetés sur Internet, ainsi que d'éventuels effets secondaires. Ces informations devraient être accompagnées de notices additionnelles afin d'encourager un usage rationnel ».
Lors de son intervention, Mme Renate Heinisch, l'une des rapporteuses des avis, a souligné que « le patient devait être au centre de ces modifications » car il a le droit d'être informé de manière constante et efficace, rappelant la responsabilité des Etats membres pour atteindre ce but. Il est nécessaire de mettre en place une harmonisation à l'échelle européenne et un cadre juridique uniforme, ce qui permettrait de surmonter les obstacles existant à l'heure actuelle dans le secteur pharmaceutique. De son côté, M. Carmelo Cedrone, l'auteur de deux avis adoptés, a rappelé l'importance « d'impliquer tous les acteurs tels que les patients, l'industrie pharmaceutique, les pharmacies et les mutuelles publiques et privées ».
En outre, le Comité encourage des initiatives telles que la création d’un organisme indépendant chargé de centraliser les informations sur les médicaments, d'améliorer la diffusion de l'information sur Internet et de publier une liste de médicaments génériques avec l'obligation de joindre des informations pour l'intérêt du patient.
Enfin, au niveau de la pharmacovigilance, le CESE appelle à une amélioration du système de surveillance des produits pharmaceutiques et à un marché unique des médicaments afin de garantir la protection de la santé publique. La rapporteuse Sylvia Gauci a déclaré que la priorité dans ce domaine serait d'instaurer « un partage des responsabilités plus équilibré, une prise de décision plus rapide, plus de transparence et une meilleure coordination entre les Etats membres ».
Rappelons que le Comité économique et social européen assure la représentation des différentes composantes socio-économiques de la société civile organisée. Il constitue un organe consultatif institutionnel, établi en 1957 par le traité de Rome. Grâce à sa mission de consultation, ses membres, et donc les organisations qu'ils représentent, peuvent participer au processus décisionnel de l'Union européenne. Il compte 344 membres, nommés par le Conseil.
En effet, comme le rappelle le communiqué du CESE, « il apparaît que tout citoyen a le droit de disposer d'une information complète et compréhensible dans sa propre langue, y compris les informations sur les médicaments soumis à prescription médicale achetés sur Internet, ainsi que d'éventuels effets secondaires. Ces informations devraient être accompagnées de notices additionnelles afin d'encourager un usage rationnel ».
Lors de son intervention, Mme Renate Heinisch, l'une des rapporteuses des avis, a souligné que « le patient devait être au centre de ces modifications » car il a le droit d'être informé de manière constante et efficace, rappelant la responsabilité des Etats membres pour atteindre ce but. Il est nécessaire de mettre en place une harmonisation à l'échelle européenne et un cadre juridique uniforme, ce qui permettrait de surmonter les obstacles existant à l'heure actuelle dans le secteur pharmaceutique. De son côté, M. Carmelo Cedrone, l'auteur de deux avis adoptés, a rappelé l'importance « d'impliquer tous les acteurs tels que les patients, l'industrie pharmaceutique, les pharmacies et les mutuelles publiques et privées ».
En outre, le Comité encourage des initiatives telles que la création d’un organisme indépendant chargé de centraliser les informations sur les médicaments, d'améliorer la diffusion de l'information sur Internet et de publier une liste de médicaments génériques avec l'obligation de joindre des informations pour l'intérêt du patient.
Enfin, au niveau de la pharmacovigilance, le CESE appelle à une amélioration du système de surveillance des produits pharmaceutiques et à un marché unique des médicaments afin de garantir la protection de la santé publique. La rapporteuse Sylvia Gauci a déclaré que la priorité dans ce domaine serait d'instaurer « un partage des responsabilités plus équilibré, une prise de décision plus rapide, plus de transparence et une meilleure coordination entre les Etats membres ».
Rappelons que le Comité économique et social européen assure la représentation des différentes composantes socio-économiques de la société civile organisée. Il constitue un organe consultatif institutionnel, établi en 1957 par le traité de Rome. Grâce à sa mission de consultation, ses membres, et donc les organisations qu'ils représentent, peuvent participer au processus décisionnel de l'Union européenne. Il compte 344 membres, nommés par le Conseil.