En 2013, les ressources de l’Arrco générées par les cotisations des entreprises et des tiers (État, Unédic), représentaient donc près de 40,2 milliards d’euros.
Dans le même temps, les charges, constituées pour l’essentiel des allocations versées aux retraités, se sont montées à 44 milliards d’euros.
Ainsi, après transferts de solidarité Arrco/Agirc et contribution de l’AGFF1, ce régime a enregistré un déficit technique (c’est-à-dire la différence entre les ressources et les charges et après transferts financiers) de 3 milliards d’euros, poursuivant cette dégradation amorcée en 2009…
Toutefois, comme le précise le communiqué, « en 2013 comme en 2012, le résultat technique déficitaire a été en grande partie compensé par les produits financiers (2,6 milliards d’euros), dont la progression provient d’importantes plus-values réalisées dans un contexte de marchés financiers favorables ».
De fait, au final, le déficit global de l’Arrco est ramené à 405 millions d’euros...
Au 31 décembre 2013, le régime Arrco disposait de 55,4 milliards de réserves de financement.
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