Près de 110 ans après la première description de la maladie par Aloïs Alzheimer, l’enjeu persiste pour connaître les causes et identifier les mécanismes de propagation de cette pathologie neurodégénérative. Le défi est de taille quand on sait qu’il y a un nouveau cas dans le monde toutes les trois secondes.
L’optimisation des outils thérapeutiques, le développement industriel de plus de cent molécules thérapeutiques, l’existence d’une cinquantaine médicaments en phase clinique sont autant de signes positifs. Si la prudence doit rester de mise, les traitements de demain commencent à se dessiner.
L’association, dont le soutien à la recherche est une de ses quatre missions prioritaires, participe au financement de nouveaux programmes scientifiques. Ils visent des objectifs à court et à long terme : l’amélioration et l’efficacité de l’accompagnement des personnes malades et des aidants au quotidien, et l’élaboration de solutions thérapeutiques.
En tous, plus de 360 projets de recherche ont ainsi été financés depuis près de trente ans donnant lieu à près de 200 publications scientifiques nationales et internationales. Actuellement, soixante projets sont en cours, dont six programmes dédiés aux maladies apparentées à Alzheimer (maladie à corps de Lewy, dégénérescence fronto-temporale…).
Pour 2017, les deux conseils scientifiques (en sciences médicales et en sciences humaines et sociales) de France Alzheimer et maladies apparentées ont sélectionné dix projets en sciences médicales et quatre en sciences humaines et sociales, parmi une centaine de projets.
Traquer la maladie dans l’intestin, en étudiant le lien entre les perturbations du microbiote et le déclin cognitif, connaitre les potentialités des probiotiques, évaluer l’effet in utero de la caféine sur le développement de la maladie d’Alzheimer ou encore mesurer l’efficacité de serious game sont quelques-unes des nouvelles pistes de recherche à découvrir sur www.francealzheimer.org
L’optimisation des outils thérapeutiques, le développement industriel de plus de cent molécules thérapeutiques, l’existence d’une cinquantaine médicaments en phase clinique sont autant de signes positifs. Si la prudence doit rester de mise, les traitements de demain commencent à se dessiner.
L’association, dont le soutien à la recherche est une de ses quatre missions prioritaires, participe au financement de nouveaux programmes scientifiques. Ils visent des objectifs à court et à long terme : l’amélioration et l’efficacité de l’accompagnement des personnes malades et des aidants au quotidien, et l’élaboration de solutions thérapeutiques.
En tous, plus de 360 projets de recherche ont ainsi été financés depuis près de trente ans donnant lieu à près de 200 publications scientifiques nationales et internationales. Actuellement, soixante projets sont en cours, dont six programmes dédiés aux maladies apparentées à Alzheimer (maladie à corps de Lewy, dégénérescence fronto-temporale…).
Pour 2017, les deux conseils scientifiques (en sciences médicales et en sciences humaines et sociales) de France Alzheimer et maladies apparentées ont sélectionné dix projets en sciences médicales et quatre en sciences humaines et sociales, parmi une centaine de projets.
Traquer la maladie dans l’intestin, en étudiant le lien entre les perturbations du microbiote et le déclin cognitif, connaitre les potentialités des probiotiques, évaluer l’effet in utero de la caféine sur le développement de la maladie d’Alzheimer ou encore mesurer l’efficacité de serious game sont quelques-unes des nouvelles pistes de recherche à découvrir sur www.francealzheimer.org