Les enfants, grâce à leur innocence et leur spontanéité, disent des vérités plus facilement que les adultes qui sont soumis aux règles de la bienséance. Ils révèlent ainsi parfois ce que les plus âgés taisent ou préfèrent ne pas savoir.
Ce proverbe nous rappelle que les enfants avec leur « regard neuf » perçoivent les choses qui échappent aux adultes et les formulent en toute simplicité… En ce début du mois de septembre, synonyme de reprise de l’école l’entreprise Assystel (spécialisée dans la téléassistance) fait elle aussi sa rentrée en confiant son message à Camille, petite fille qui se soucie de ceux qu’elle aime et qui l’entourent.
Les « bonnes questions » de Camille sont les vraies questions qu’il faut se poser face aux situations à risques que peuvent vivre nos aînés lorsqu’ils veulent continuer à vivre, parfois seuls, à domicile. Par ces questions –parfois- dérangeantes, Camille nous met face à ce qui n’est pas facile à entendre, qu’on préfère finalement ne pas savoir et qui n’a souvent que des sourires gênés comme réponse.
Ces sourires sur nos visages nous rappellent que nous ne sommes pas toujours en mesure d’apporter des réponses ni aux questions des enfants ni aux situations à risques que peuvent vivre nos aînés à leur domicile.
Avec cette campagne, Assystel innove et prend aujourd’hui l’initiative de communiquer autrement. Il s’agit là, au travers des enfants, d’utiliser le lien intergénérationnel afin de créer une prise de conscience générale.
Ce proverbe nous rappelle que les enfants avec leur « regard neuf » perçoivent les choses qui échappent aux adultes et les formulent en toute simplicité… En ce début du mois de septembre, synonyme de reprise de l’école l’entreprise Assystel (spécialisée dans la téléassistance) fait elle aussi sa rentrée en confiant son message à Camille, petite fille qui se soucie de ceux qu’elle aime et qui l’entourent.
Les « bonnes questions » de Camille sont les vraies questions qu’il faut se poser face aux situations à risques que peuvent vivre nos aînés lorsqu’ils veulent continuer à vivre, parfois seuls, à domicile. Par ces questions –parfois- dérangeantes, Camille nous met face à ce qui n’est pas facile à entendre, qu’on préfère finalement ne pas savoir et qui n’a souvent que des sourires gênés comme réponse.
Ces sourires sur nos visages nous rappellent que nous ne sommes pas toujours en mesure d’apporter des réponses ni aux questions des enfants ni aux situations à risques que peuvent vivre nos aînés à leur domicile.
Avec cette campagne, Assystel innove et prend aujourd’hui l’initiative de communiquer autrement. Il s’agit là, au travers des enfants, d’utiliser le lien intergénérationnel afin de créer une prise de conscience générale.
