Dans un monde où le paraître et le « rester jeune » revêtent de plus en plus d’importance - dans toutes les tranches d’âge -, paradoxalement, une étude canadienne du département de psychologie de l’Université de Toronto montre que les techniques anti-âge de type Botox ou autres chirurgies esthétiques sont encore relativement mal perçues, contrairement aux méthodes plus « douces » (crèmes, lotions, sérums, toniques, épilation, etc.)
Les chercheurs ont suivi plus de 300 participants de toutes les tranches d’âge (dont 123 seniors de 70 ans en moyenne) afin d’évaluer leurs perceptions des méthodes anti-vieillissements. Certains des sondés utilisaient des crèmes antirides ou autres produits de beauté anti-âge, tandis que d’autres avaient eu recours à des injections de Botox ou à la chirurgie esthétique.
« Les résultats suggèrent que malgré la croissance rapide de l’industrie cosmétique anti-âge, la dissimulation de l’âge n’est pas encore quelque chose d’universellement accepté », indique Alison Chasteen, responsable de cette étude dans un récent communiqué. Et de préciser : « C’est intéressant, car cela illustre bien que, malgré l’importance du « rester jeune » dans notre société, il peut encore exister des images négatives à vouloir combattre à tout prix, les signes du vieillissement ».
Précisons toutefois que les sondés plus âgés étaient tout de même moins enclins à juger sévèrement l’utilisation de techniques anti-âge, disons, plus radicales que les crèmes…
Les résultats de cette étude ont été publiés dans le Journal of Gerontology: Psychological Sciences en juillet dernier.
Les chercheurs ont suivi plus de 300 participants de toutes les tranches d’âge (dont 123 seniors de 70 ans en moyenne) afin d’évaluer leurs perceptions des méthodes anti-vieillissements. Certains des sondés utilisaient des crèmes antirides ou autres produits de beauté anti-âge, tandis que d’autres avaient eu recours à des injections de Botox ou à la chirurgie esthétique.
« Les résultats suggèrent que malgré la croissance rapide de l’industrie cosmétique anti-âge, la dissimulation de l’âge n’est pas encore quelque chose d’universellement accepté », indique Alison Chasteen, responsable de cette étude dans un récent communiqué. Et de préciser : « C’est intéressant, car cela illustre bien que, malgré l’importance du « rester jeune » dans notre société, il peut encore exister des images négatives à vouloir combattre à tout prix, les signes du vieillissement ».
Précisons toutefois que les sondés plus âgés étaient tout de même moins enclins à juger sévèrement l’utilisation de techniques anti-âge, disons, plus radicales que les crèmes…
Les résultats de cette étude ont été publiés dans le Journal of Gerontology: Psychological Sciences en juillet dernier.