« Le but de ces courts-métrages n’est pas de documenter les activités de Connaissance 3, ni de coller à la réalité, mais plutôt de faire confiance à un regard frais ; un regard qui introduise un certain recul, afin de questionner le monde actuel et d’interroger le lien entre les générations » indique Patricia Dubois, secrétaire générale de Connaissance 3.
L’une des perceptions largement diffusées d’une personne à la retraite est celle de quelqu’un qui perd petit à petit son autonomie et dont la société devra assumer le coût grandissant en matière de soins. La nécessité de lutter contre cette stigmatisation a motivé la coproduction de ces courts-métrages qui soulignent et mettent en avant les compétences sociales et culturelles des seniors, citoyens à part entière (incroyable d’ailleurs, qu’il faille encore le souligner…).
« Parler de l’âge, du fait de vieillir, de mûrir, d’avoir d’autres expériences de vie après l’expérience professionnelle est quelque chose de très éloigné de nos étudiants, souligne de son côté le réalisateur Lionel Baier, responsable du Département cinéma de l’ECAL. Cela ne les touche pas du tout par principe, puisqu’eux, sont en train d’essayer d’entrer dans la vie active ! ».
Et L. Baier de poursuivre : « s’intéresser à des personnes d’une autre génération force les étudiants à se demander quels sont les intangibles qui leur permettront de porter sur les seniors les mêmes sentiments qu’ils peuvent avoir sur eux-mêmes, et ainsi, à se dire qu’une personne à la retraite a aussi des désirs, des peurs, de l’anxiété, ne sait pas, se trompe et a de la peine à être comprise… Au fond, ces deux générations éloignées sont très proches : elles coûtent cher et n’apportent économiquement plus rien ou rien encore à la société… ».
Avec ce projet, Connaissance 3 et l’ECAL ont fait le pari que ceux qui entrent dans la vie active et ceux qui en sortent ont peut-être quelque chose à se dire, notamment parce que la stigmatisation liée à l’âge concerne autant les jeunes que les seniors.
Redonner confiance aux seniors -confiance en leur valeur et en leur utilité-, véhiculer une image d’eux-mêmes qui les motive à rester intégrés dans la société, voilà l’objectif de ces courts-métrages.
L’une des perceptions largement diffusées d’une personne à la retraite est celle de quelqu’un qui perd petit à petit son autonomie et dont la société devra assumer le coût grandissant en matière de soins. La nécessité de lutter contre cette stigmatisation a motivé la coproduction de ces courts-métrages qui soulignent et mettent en avant les compétences sociales et culturelles des seniors, citoyens à part entière (incroyable d’ailleurs, qu’il faille encore le souligner…).
« Parler de l’âge, du fait de vieillir, de mûrir, d’avoir d’autres expériences de vie après l’expérience professionnelle est quelque chose de très éloigné de nos étudiants, souligne de son côté le réalisateur Lionel Baier, responsable du Département cinéma de l’ECAL. Cela ne les touche pas du tout par principe, puisqu’eux, sont en train d’essayer d’entrer dans la vie active ! ».
Et L. Baier de poursuivre : « s’intéresser à des personnes d’une autre génération force les étudiants à se demander quels sont les intangibles qui leur permettront de porter sur les seniors les mêmes sentiments qu’ils peuvent avoir sur eux-mêmes, et ainsi, à se dire qu’une personne à la retraite a aussi des désirs, des peurs, de l’anxiété, ne sait pas, se trompe et a de la peine à être comprise… Au fond, ces deux générations éloignées sont très proches : elles coûtent cher et n’apportent économiquement plus rien ou rien encore à la société… ».
Avec ce projet, Connaissance 3 et l’ECAL ont fait le pari que ceux qui entrent dans la vie active et ceux qui en sortent ont peut-être quelque chose à se dire, notamment parce que la stigmatisation liée à l’âge concerne autant les jeunes que les seniors.
Redonner confiance aux seniors -confiance en leur valeur et en leur utilité-, véhiculer une image d’eux-mêmes qui les motive à rester intégrés dans la société, voilà l’objectif de ces courts-métrages.