
Les personnes âgées et les seniors, Marie de Hennezel les connait ! En effet, cette psychologue et psychothérapeute a travaillé dix ans au sein d'une équipe de soins palliatifs à l'institut mutualiste Montsouris, à Paris.
Elle a d’ailleurs beaucoup écrit sur l’accompagnement de la fin de vie. Dans ce livre sorti l’année dernière et intitulé Sex & Sixty (qui phonétiquement n’est pas sans rappeler le titre de la série à succès Sex in the city), le sujet est plus léger mais reste néanmoins très important puisqu’il s’agit de la sexualité après soixante ans.
La persistance d'une vie amoureuse érotique, quand on avance en âge, demande une évolution de la sexualité. La qualité de la relation compte évidemment beaucoup. Prendre son temps, en laisser à l'autre, explorer une sexualité plus sensuelle, plus ludique, ou l'émotion et l'intimité occupent une large place.
Bref, en vieillissant le sexe ne s’arrête pas forcément, il évolue. Peut-être moins de folles nuits endiablées mais plus de tendresse et de communion. Savoir prendre le plaisir tel qu'il est, tel qu'il vient, et ne pas se focaliser sur ce qu'il devrait être... Voilà ce qui caractérise cette sexualité moins pulsionnelle mais plus érotique. Qui n'est pas moins satisfaisante, loin de là !
Observant une juste mesure entre pudeur et impudeur, l’auteur sonde le mystère et la profondeur de la vie amoureuse dans ce nouveau chapitre de la vie. Au fil de ses rencontres, de ses lectures, de sa propre réflexion, et même de ses incursions sur des terres lointaines, comme celles du tantrisme ou des arts d'aimer de l'Orient, elle invite le lecteur à un voyage au coeur d'un territoire méconnu.
Comme le souligne le Dr Catherine Solano, sexologue et andrologue à l’Hôpital Cochin : « finalement, même si l’homme a des « érections de 50 ans » et la femme moins de lubrification, ce qui ne change pas c’est le plaisir, le désir, les émotions, la capacité à apprécier l’amour. On peut s’adapter, on le doit même, d’autant que des solutions existent ! Il ne faut pas sacraliser la sexualité mais plutôt dédramatiser : quand la vue change, on met des lunettes. Pour l’érection ou la ménopause, c’est pareil ! C’est important d’accepter les limites et son corps tel qu’il est pour être heureux et s’adapter. Les limites incitent aussi à se surpasser ! »
Elle a d’ailleurs beaucoup écrit sur l’accompagnement de la fin de vie. Dans ce livre sorti l’année dernière et intitulé Sex & Sixty (qui phonétiquement n’est pas sans rappeler le titre de la série à succès Sex in the city), le sujet est plus léger mais reste néanmoins très important puisqu’il s’agit de la sexualité après soixante ans.
La persistance d'une vie amoureuse érotique, quand on avance en âge, demande une évolution de la sexualité. La qualité de la relation compte évidemment beaucoup. Prendre son temps, en laisser à l'autre, explorer une sexualité plus sensuelle, plus ludique, ou l'émotion et l'intimité occupent une large place.
Bref, en vieillissant le sexe ne s’arrête pas forcément, il évolue. Peut-être moins de folles nuits endiablées mais plus de tendresse et de communion. Savoir prendre le plaisir tel qu'il est, tel qu'il vient, et ne pas se focaliser sur ce qu'il devrait être... Voilà ce qui caractérise cette sexualité moins pulsionnelle mais plus érotique. Qui n'est pas moins satisfaisante, loin de là !
Observant une juste mesure entre pudeur et impudeur, l’auteur sonde le mystère et la profondeur de la vie amoureuse dans ce nouveau chapitre de la vie. Au fil de ses rencontres, de ses lectures, de sa propre réflexion, et même de ses incursions sur des terres lointaines, comme celles du tantrisme ou des arts d'aimer de l'Orient, elle invite le lecteur à un voyage au coeur d'un territoire méconnu.
Comme le souligne le Dr Catherine Solano, sexologue et andrologue à l’Hôpital Cochin : « finalement, même si l’homme a des « érections de 50 ans » et la femme moins de lubrification, ce qui ne change pas c’est le plaisir, le désir, les émotions, la capacité à apprécier l’amour. On peut s’adapter, on le doit même, d’autant que des solutions existent ! Il ne faut pas sacraliser la sexualité mais plutôt dédramatiser : quand la vue change, on met des lunettes. Pour l’érection ou la ménopause, c’est pareil ! C’est important d’accepter les limites et son corps tel qu’il est pour être heureux et s’adapter. Les limites incitent aussi à se surpasser ! »