Avec l’âge, notre ouïe s’affaiblit… Au-delà de la perte d’audition « pure et simple », ce handicap peut avoir des conséquences (pernicieuses) beaucoup plus lourdes… La personne peut se sentir incomprise, ce qui peut entrainer un repli sur soi et in fine, de l’isolement. Mais une baisse de l’acuité auditive peut également augmenter par trois les risques de chutes et développer de la paranoïa chez les personnes concernées… Enfin, elle est aussi un facteur de risque des maladies de la mémoire !
La synergie « entendre et communiquer » est indéniable. Conserver ses capacités auditives se révèle gage de dynamisme relationnel et agit même comme un levier de l’autonomie chez les personnes âgées. Maintenir la qualité de son audition s’avère aujourd’hui un élixir du Bien Vieillir qui permet d’entretenir le lien social et de vivre plus intensément.
Naturellement, on s’en doute, la perte de l’audition augmente considérablement avec l’âge. Elle concerne 40% des 60-70 ans et plus de la moitié des plus de 80 ans. Il s’agit d’un phénomène naturel de vieillissement des cellules sensorielles de l’oreille appelé la presbyacousie.
Plusieurs études ont montré que les personnes qui en souffrent sont plus susceptibles de développer des troubles intellectuels, notamment des pertes de mémoire. Le risque en question est présent dès 25 dB de perte (deux fois plus de risques) et cinq fois plus de risques de développer une démence sénile à partir d’une perte de 40 dB.
Or, pour prévenir les maladies de la mémoire, il faut privilégier les interactions sociales et les stimulations intellectuelles, avoir des activités physiques régulières, une alimentation équilibrée, traiter les risques cardiovasculaires, prévenir et traiter les déficits sensoriels auditifs. Notre cerveau cherche constamment à trouver et donner du sens. Or, lorsqu’il ne reçoit plus de bonnes informations, il continue à chercher à donner du sens en interprétant les informations perçues. Une mauvaise audition gêne donc l’apport d’informations et provoque une moindre stimulation du cortex auditif. Lorsque les deux phénomènes se conjuguent, l’état des patients se dégrade très vite. Les neurones qui ne sont plus sollicités finissent par mourir.
A l’inverse, on peut supposer que les lésions qu’engendre la maladie d’Alzheimer aggravent la perte de l’audition. Ces lésions interviennent effectivement dans la zone temporale proche du cortex auditif.
Ce guide gratuit de 16 pages vous expliquera par le détail, les tenants et les aboutissants de la perte d’audition avec toute une partie dédiée aux solutions existantes sur le marché.
La synergie « entendre et communiquer » est indéniable. Conserver ses capacités auditives se révèle gage de dynamisme relationnel et agit même comme un levier de l’autonomie chez les personnes âgées. Maintenir la qualité de son audition s’avère aujourd’hui un élixir du Bien Vieillir qui permet d’entretenir le lien social et de vivre plus intensément.
Naturellement, on s’en doute, la perte de l’audition augmente considérablement avec l’âge. Elle concerne 40% des 60-70 ans et plus de la moitié des plus de 80 ans. Il s’agit d’un phénomène naturel de vieillissement des cellules sensorielles de l’oreille appelé la presbyacousie.
Plusieurs études ont montré que les personnes qui en souffrent sont plus susceptibles de développer des troubles intellectuels, notamment des pertes de mémoire. Le risque en question est présent dès 25 dB de perte (deux fois plus de risques) et cinq fois plus de risques de développer une démence sénile à partir d’une perte de 40 dB.
Or, pour prévenir les maladies de la mémoire, il faut privilégier les interactions sociales et les stimulations intellectuelles, avoir des activités physiques régulières, une alimentation équilibrée, traiter les risques cardiovasculaires, prévenir et traiter les déficits sensoriels auditifs. Notre cerveau cherche constamment à trouver et donner du sens. Or, lorsqu’il ne reçoit plus de bonnes informations, il continue à chercher à donner du sens en interprétant les informations perçues. Une mauvaise audition gêne donc l’apport d’informations et provoque une moindre stimulation du cortex auditif. Lorsque les deux phénomènes se conjuguent, l’état des patients se dégrade très vite. Les neurones qui ne sont plus sollicités finissent par mourir.
A l’inverse, on peut supposer que les lésions qu’engendre la maladie d’Alzheimer aggravent la perte de l’audition. Ces lésions interviennent effectivement dans la zone temporale proche du cortex auditif.
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