Ce n’est pas exactement la première fois que nous avons des mamies tricoteuses ou un collectifs de grand-mères accros au tricot. Cela a déjà existé par le passé, mais à l’époque, elles tricotaient pour le compte d’associations ou pour une bonne cause (souvent des enfants malades).
Là, le concept est un peu différent, puisqu’il s’agit d’une entreprise. Certes à vocation social, mais une entreprise. Un « business ». Au départ, l’aventure a commencé avec trois mamies. Aujourd’hui, elles seraient plus d’une trentaine ! Toutes retraitées.
Elles tricotent à leur rythme, selon leurs envies et quand elles veulent, des vêtements et accessoires. Elles sont libres de partager leurs compétences, de prendre en charge une pièce, ou non.
À travers deux collections de mailles, les deux fondateurs ont imaginé un nouveau modèle économique puisque toutes les pièces sont vendues sur-commande depuis le site internet, avec la possibilité d’être ajustées aux mesures des clientes.
Au-delà de l’aspect commercial de cette aventure, il s’agit aussi et surtout, de lutter contre le gaspillage et de valoriser le fait-main en proposant une nouvelle expérience d’achat.
« Notre marque de mailles, nous la voulons avant tout solidaire et intergénérationnelle. L’ambition c’est de redonner une place aux seniors dans la société : nos mamies sont libres, et tout n’est que du kiff pour elles… » explique Aurélie de Barros, l’une des deux fondatrices des Mains de Mamie.
Et d’ajouter : « Ce projet, je l’ai construit en accord avec elles. Nos mamies sont âgées entre 49 et 94 ans. Elles ont toutes des activités en parallèle et ce qu’on leur apporte, ce sont des réponses aux enjeux de notre société : vieillissement de la population, lutte contre la solitude, création de liens, et…cerise sur le gâteau, rejoindre le gang des mamies, c’est aussi mettre du beurre dans les épinards ! »
« Pourquoi je me suis lancée dans l’aventure des Mains de Mamie ? Parce que j’aime tricoter ! Pendant des années, je tricotais au moins 10 pulls par an pour mes petits-enfants. Et puis ils ont grandi… » raconte Luce, l’une des mamies.
Et de poursuivre : « au moment où j’ai rencontré Aurélie, j’avais comme un vide de tricot, un manque. Son projet, je l’ai trouvé un peu fou, mais l’idée m’a plu. Aujourd’hui, 30 pulls plus tard, je n’ai aucun regret : je tricote comme je veux, quand je veux. Mais en dehors de l’aspect financier, c’est surtout l’occasion de rencontrer d’autres passionnées, et ça me laisse le temps de poursuivre aussi toutes mes activités et même parfois, de faire un bonnet ou une écharpe à l’un de mes petits enfants ! ».
Plus concrètement, ces mamies tricoteuses sont auto-entrepreneuses et perçoivent 30% du prix des pièces qu’elles conçoivent et bien entendu, tout le matériel et les fils sont fournis !
Là, le concept est un peu différent, puisqu’il s’agit d’une entreprise. Certes à vocation social, mais une entreprise. Un « business ». Au départ, l’aventure a commencé avec trois mamies. Aujourd’hui, elles seraient plus d’une trentaine ! Toutes retraitées.
Elles tricotent à leur rythme, selon leurs envies et quand elles veulent, des vêtements et accessoires. Elles sont libres de partager leurs compétences, de prendre en charge une pièce, ou non.
À travers deux collections de mailles, les deux fondateurs ont imaginé un nouveau modèle économique puisque toutes les pièces sont vendues sur-commande depuis le site internet, avec la possibilité d’être ajustées aux mesures des clientes.
Au-delà de l’aspect commercial de cette aventure, il s’agit aussi et surtout, de lutter contre le gaspillage et de valoriser le fait-main en proposant une nouvelle expérience d’achat.
« Notre marque de mailles, nous la voulons avant tout solidaire et intergénérationnelle. L’ambition c’est de redonner une place aux seniors dans la société : nos mamies sont libres, et tout n’est que du kiff pour elles… » explique Aurélie de Barros, l’une des deux fondatrices des Mains de Mamie.
Et d’ajouter : « Ce projet, je l’ai construit en accord avec elles. Nos mamies sont âgées entre 49 et 94 ans. Elles ont toutes des activités en parallèle et ce qu’on leur apporte, ce sont des réponses aux enjeux de notre société : vieillissement de la population, lutte contre la solitude, création de liens, et…cerise sur le gâteau, rejoindre le gang des mamies, c’est aussi mettre du beurre dans les épinards ! »
« Pourquoi je me suis lancée dans l’aventure des Mains de Mamie ? Parce que j’aime tricoter ! Pendant des années, je tricotais au moins 10 pulls par an pour mes petits-enfants. Et puis ils ont grandi… » raconte Luce, l’une des mamies.
Et de poursuivre : « au moment où j’ai rencontré Aurélie, j’avais comme un vide de tricot, un manque. Son projet, je l’ai trouvé un peu fou, mais l’idée m’a plu. Aujourd’hui, 30 pulls plus tard, je n’ai aucun regret : je tricote comme je veux, quand je veux. Mais en dehors de l’aspect financier, c’est surtout l’occasion de rencontrer d’autres passionnées, et ça me laisse le temps de poursuivre aussi toutes mes activités et même parfois, de faire un bonnet ou une écharpe à l’un de mes petits enfants ! ».
Plus concrètement, ces mamies tricoteuses sont auto-entrepreneuses et perçoivent 30% du prix des pièces qu’elles conçoivent et bien entendu, tout le matériel et les fils sont fournis !