Le point sur les injections de comblement : les inducteurs tissulaires

Le Centre Laser Sorbonne, installé à Paris depuis 2003, propose une solution globale pour traiter le relâchement cutané. De fait il propose désormais des injections de comblement qui complètent son « arsenal » de lutte contre le vieillissement de la peau. Le point sur les inducteurs tissulaires.


Désormais, en plus des traitements tels que l’HIFU, la radiofréquence et le laser, ce centre inclut maintenant dans ses programmes, des injections de toxine botulique, d’acide hyaluronique et d’inducteurs tissulaires, afin de mieux répondre aux attentes de ses patients.
 
Ces injections pratiquées par des médecins expérimentés -elles ne sont jamais déléguées aux assistantes- sont ainsi devenues incontournables pour contrer le vieillissement et relâchement cutané. Elles sont réalisées avec des produits injectables de dernière génération, faisant référence dans le milieu des injections de comblement, qui sont associés à des équipements à la pointe de la technologie.
 
Les inducteurs tissulaires
Les inducteurs tissulaires sont composés de polycaprolactone et de gel de carboxyméthylcellulose. Le premier est un polymère ancien et bien connu, qui entre dans la composition du Monocryl, un fil de suture à résorption lente. Le carboxyméthylcellulose est composé de particules sphériques, totalement lisses, de 25-50 µm.
 
Elles ont ainsi la taille et la forme idéales pour être bien tolérées. Comme le carboxyméthylcellulose est non immunogène, il n’entraîne pas la formation de granulomes. Ces injectables ont une double fonction : ce sont à la fois des produits de comblement et des inducteurs tissulaires progressifs.
 
Alors que les injections de comblement par l’acide hyaluronique corrigent rides et volumes, les inducteurs tissulaires stimulent le collagène pour obtenir une correction naturelle et prolongée. Ces inducteurs tissulaires se résorbent complètement mais lentement.

Un effet volumateur est obtenu par le vecteur de l’inducteur immédiatement. Celui-ci est ensuite éliminé progressivement en quelques semaines, et remplacé par le propre collagène du patient produit sous l’effet de l’inducteur.
 
Lors de la consultation préalable, le médecin analyse soigneusement les zones à traiter. Dans certains cas, une anesthésie locale est pratiquée, pour un meilleur confort. Le médecin effectue ensuite les injections, qu’il suit d’un massage vigoureux de la zone injectée pour que le produit se répartisse uniformément.
 
Bon à savoir : les prix sont consignés dans le devis par le médecin en fonction des zones. Il est dégressif en fonction du nombre de seringues utilisées : inducteur tissulaire : à partir de 370 euros.
 
Rappelons que le Centre Laser Sorbonne a ouvert ses portes à Paris en 2003. En quatorze années d’activité, il a traité plus de 26 000 patients et effectué plus de 120 000 traitements.

Publié le 08/11/2017 à 01:00 | Lu 2688 fois