Comme le souligne Cécile Garcia dans son communiqué, « dans la vie, nous sommes tous amenés à connaître au moins une rupture : une perte d’emploi, le décès d’un proche, une séparation, une maladie, etc. Face à ces très nombreuses ruptures, petites et grandes, vécues parfois dès l’enfance et pour le reste de la vie, il est heureusement possible de continuer à vivre heureux »
Et de poursuivre : « mais possible ne veut pas forcément dire facile... Pour reprendre goût à la vie et en redevenir acteur, il faut développer notre résilience ». Qualité de quelqu’un qui ne se décourage pas, qui ne se laisse pas abattre. Or, il se trouve que la jeune femme, avant de devenir coach, est passée par de terribles épreuves… Et qu’elle n’a jamais baissé les bras.
En 1991, Cécile Garcia, mariée depuis six ans et déjà maman d’une petite fille, est enceinte de deux mois lorsqu’elle perd son père et son frère dans un accident de voiture. Elle débute alors une thérapie à laquelle elle met fin en octobre à la naissance de son fils Florian. Mais ce dernier décède en juin 1992 de la mort subite du nourrisson. Elle reprend alors sa thérapie et intègre l'association Naître et Vivre qui accompagne les parents en deuil. Quelques temps plus tard, Cécile est engagée par l’association pour aider les personnes confrontées au même malheur.
« J’ai réalisé qu’il fallait se préparer et se former pour pouvoir réellement aider les autres, précise Cécile Garcia. Pendant dix ans, elle se forme en analyse transactionnelle, en hypnose Ericksonnienne, en communication non violente, en décodage du non verbal, en psychologie clinique appliquée, en coaching… Dans le même temps, la jeune femme reprend goût à la vie et donne naissance à deux autres enfants.
« Au cours de toutes ces formations, j’ai engrangé des connaissances et des compétences pour me spécialiser en résilience afin de les partager avec tous ceux qui en ont besoin pour rebondir et reprendre goût à la vie quelle que soit l’épreuve traversée. Il y a dix ans, on m’a annoncé que j’étais atteinte d’une sclérose en plaques mais c’est toujours cette même résilience que je développe, applique au quotidien et enseigne depuis 2000. »
Dans son e-book « Les 7 portes de sortie du deuil », la spécialiste propose à ses lecteurs une traversée intérieure et livre ses clés pour franchir ces sept portes qui permettent de développer les capacités de rebondir, redevenir maître de sa vie et retrouver le chemin du bonheur. Si cela peut aider certains… A télécharger sur www.zestup.fr
Et de poursuivre : « mais possible ne veut pas forcément dire facile... Pour reprendre goût à la vie et en redevenir acteur, il faut développer notre résilience ». Qualité de quelqu’un qui ne se décourage pas, qui ne se laisse pas abattre. Or, il se trouve que la jeune femme, avant de devenir coach, est passée par de terribles épreuves… Et qu’elle n’a jamais baissé les bras.
En 1991, Cécile Garcia, mariée depuis six ans et déjà maman d’une petite fille, est enceinte de deux mois lorsqu’elle perd son père et son frère dans un accident de voiture. Elle débute alors une thérapie à laquelle elle met fin en octobre à la naissance de son fils Florian. Mais ce dernier décède en juin 1992 de la mort subite du nourrisson. Elle reprend alors sa thérapie et intègre l'association Naître et Vivre qui accompagne les parents en deuil. Quelques temps plus tard, Cécile est engagée par l’association pour aider les personnes confrontées au même malheur.
« J’ai réalisé qu’il fallait se préparer et se former pour pouvoir réellement aider les autres, précise Cécile Garcia. Pendant dix ans, elle se forme en analyse transactionnelle, en hypnose Ericksonnienne, en communication non violente, en décodage du non verbal, en psychologie clinique appliquée, en coaching… Dans le même temps, la jeune femme reprend goût à la vie et donne naissance à deux autres enfants.
« Au cours de toutes ces formations, j’ai engrangé des connaissances et des compétences pour me spécialiser en résilience afin de les partager avec tous ceux qui en ont besoin pour rebondir et reprendre goût à la vie quelle que soit l’épreuve traversée. Il y a dix ans, on m’a annoncé que j’étais atteinte d’une sclérose en plaques mais c’est toujours cette même résilience que je développe, applique au quotidien et enseigne depuis 2000. »
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