De plus en plus de romans évoquent les affres du temps qui passe… Avec gravité pour certains, avec plus de légèreté et d’humour pour d’autres. C’est le cas de La chair (La carne en « vo » qui signifie également « viande ») de la romancière espagnole Rosa Montero qui vient de publier en France son dernier livre.
Soledad (Solitude en Français, un nom prédestiné ?) a du mal à accepter le passage des ans… D’autant qu’elle vit seule et qu’elle vient de se faire plaquer par son amant qui, coup classique, a décidé de s’e consacrer à sa femme plus jeune et… enceinte.
Histoire de le rendre jaloux, elle décide alors de se trouver un jeune et beau gigolo pour l’accompagner au spectacle (Tristan et Yseult). Mais à la sortie de la représentation, un évènement inattendu et brutal vient bousculer les plans de la sexagénaire. S’ensuit une relation trouble, volcanique voire même un peu dangereuse.
« La plupart des gens sentent à l’âge mûr qu’ils n’ont pas été assez aimés et qu’ils n’ont pas pu donner autant qu’ils le voulaient, je voulais explorer cela » indique l’auteur. Et de poursuivre : « Je me rends compte que mes personnages sont presque toujours dans un désastre existentiel, mais ils s’en sortent ! et même si l’on vieillit, on ne doit pas renoncer à la chair, à rencontrer quelqu’un. J’écris sur ce que le temps nous fait et nous défait, sur la mémoire qui est une construction imaginaire, si bien que l’identité est une création artificielle ».
De son côté, l’éditeur ajoute : « La Chair (…) nous parle du passage du temps, de la peur de la mort, de l’échec et de l’espoir, du besoin d’aimer et de l’heureuse tyrannie du sexe, de la vie comme un épisode fugace au cours duquel il faut dévorer ou être dévoré ».
Rosa Montero est née à Madrid où elle vit. Après des études de journalisme et de psychologie, elle entre au journal El País où elle est aujourd’hui chroniqueuse.
Soledad (Solitude en Français, un nom prédestiné ?) a du mal à accepter le passage des ans… D’autant qu’elle vit seule et qu’elle vient de se faire plaquer par son amant qui, coup classique, a décidé de s’e consacrer à sa femme plus jeune et… enceinte.
Histoire de le rendre jaloux, elle décide alors de se trouver un jeune et beau gigolo pour l’accompagner au spectacle (Tristan et Yseult). Mais à la sortie de la représentation, un évènement inattendu et brutal vient bousculer les plans de la sexagénaire. S’ensuit une relation trouble, volcanique voire même un peu dangereuse.
« La plupart des gens sentent à l’âge mûr qu’ils n’ont pas été assez aimés et qu’ils n’ont pas pu donner autant qu’ils le voulaient, je voulais explorer cela » indique l’auteur. Et de poursuivre : « Je me rends compte que mes personnages sont presque toujours dans un désastre existentiel, mais ils s’en sortent ! et même si l’on vieillit, on ne doit pas renoncer à la chair, à rencontrer quelqu’un. J’écris sur ce que le temps nous fait et nous défait, sur la mémoire qui est une construction imaginaire, si bien que l’identité est une création artificielle ».
De son côté, l’éditeur ajoute : « La Chair (…) nous parle du passage du temps, de la peur de la mort, de l’échec et de l’espoir, du besoin d’aimer et de l’heureuse tyrannie du sexe, de la vie comme un épisode fugace au cours duquel il faut dévorer ou être dévoré ».
Rosa Montero est née à Madrid où elle vit. Après des études de journalisme et de psychologie, elle entre au journal El País où elle est aujourd’hui chroniqueuse.