Des avancées très récentes
La recherche avance et, chaque jour, de nouveaux pas sont faits vers une meilleure compréhension de la maladie d’Alzheimer. Voici quelques données très récentes sur le sujet.
Protéine Tau : à l’origine des symptômes ?
Une étude a révélé pour la première fois, grâce à une technique d’imagerie cérébrale, que l’accumulation de protéine Tau dans le cerveau est directement associée à l’apparition des symptômes de la maladie d’Alzheimer, ce qui n’est pas le cas des agrégats de peptides bêta-amyloïdes. De quoi remettre en cause les questions sur l’origine de la maladie.
Une inflammation bénéfique ?
Une équipe française a suivi la réaction inflammatoire des cellules immunitaires qui se produit autour des plaques amyloïdes. Elle en a conclu que cette inflammation, qui apparaît précocement, avant les premiers signes de la maladie, joue un rôle protecteur sur son apparition. Elle n’exclut pas néanmoins un emballement néfaste de l’inflammation au cours de l’évolution de la maladie. La recherche avance et, chaque jour, de nouveaux pas sont faits vers une meilleure compréhension de la maladie d’Alzheimer.
Un nouveau constituant des plaques amyloïdes.
Des chercheurs ont mis en évidence la présence d’un nouveau peptide, appelé « êta-amyloïde » autour des plaques séniles chez des patients. Ce peptide, cousin du peptide bêta-amyloïde, n’avait jamais été détecté auparavant. Il semble également toxique pour les neurones, mais son rôle dans la maladie reste à déterminer.
Protéine Tau : à l’origine des symptômes ?
Une étude a révélé pour la première fois, grâce à une technique d’imagerie cérébrale, que l’accumulation de protéine Tau dans le cerveau est directement associée à l’apparition des symptômes de la maladie d’Alzheimer, ce qui n’est pas le cas des agrégats de peptides bêta-amyloïdes. De quoi remettre en cause les questions sur l’origine de la maladie.
Une inflammation bénéfique ?
Une équipe française a suivi la réaction inflammatoire des cellules immunitaires qui se produit autour des plaques amyloïdes. Elle en a conclu que cette inflammation, qui apparaît précocement, avant les premiers signes de la maladie, joue un rôle protecteur sur son apparition. Elle n’exclut pas néanmoins un emballement néfaste de l’inflammation au cours de l’évolution de la maladie. La recherche avance et, chaque jour, de nouveaux pas sont faits vers une meilleure compréhension de la maladie d’Alzheimer.
Un nouveau constituant des plaques amyloïdes.
Des chercheurs ont mis en évidence la présence d’un nouveau peptide, appelé « êta-amyloïde » autour des plaques séniles chez des patients. Ce peptide, cousin du peptide bêta-amyloïde, n’avait jamais été détecté auparavant. Il semble également toxique pour les neurones, mais son rôle dans la maladie reste à déterminer.