Cette enquête Ipsos Santé/Fondation Pfizer en regards croisés ados-adultes sur les relations intergénérationnelles, réalisée pour le Forum Adolescences, révèle que 85% des jeunes ont besoin de leurs aînés pour devenir adultes.
Une opinion que peu d’adultes partagent : en effet, les trois-quarts 73% sont persuadés que les adolescents peuvent se passer d’eux. Cet écart flagrant de perception illustre les malentendus et incompréhensions entre les générations…
Pendant cinq mois, au sein de leurs lycées, 500 jeunes ont réfléchi, échangé leurs idées et confronté leurs opinions sur ces différents thèmes afin de partager leurs points de vue lors du 8ème Forum national organisé par la Fondation Pfizer présidée par le professeur Philippe Jeammet, psychanalyste et psychiatre et ses partenaires**
Selon cette enquête inédite, les ados communiquent relativement peu avec leurs grands-parents : ils sont ainsi 58% à échanger en face-à-face avec leurs aînés contre 84% avec leurs parents. Parmi les moyens de communication utilisés, le téléphone fixe reste privilégié par 37% des adolescents interviewés. Néanmoins, 6% des grands-parents ont déjà eu recours à des « médias ados » type SMS, portable, réseaux sociaux pour converser avec leurs petits-enfants.
Contrairement à l’impression que peuvent avoir les adultes, la satisfaction que les adolescents expriment dans leur relation avec eux, en général, est réelle : 86% des jeunes interrogés sont contents de leur relation avec les adultes. Néanmoins, 55% d’adolescents regrettent de ne pas nourrir davantage d’échanges avec eux. Un comble sachant que 59% des adultes souhaiteraient également partager plus avec la jeune génération.
Cette étude révèle aussi que ces échanges intergénérationnels auraient des répercussions positives sur le bien-être des adolescents. Ainsi, 51% d’entre eux considèrent même que les adolescents pourraient leur apporter beaucoup, voire énormément.
Si la tradition est jugée importante pour 71% des adolescents, les grands-parents sont au cœur de la problématique de la transmission puisque, selon les adolescents interviewés, les grands-parents sont les mieux placés, après les parents, en tant que transmetteurs de valeurs (41%), de tradition (38%) et de savoir-vivre
(37%).
*Enquête Ipsos Santé réalisée auprès de 807 adolescents de 15 à 18 ans et de 822 adultes de 25 ans et plus interrogés Online du 12 au 19 janvier 2012
**le ministère de l’Éducation nationale, l’Inserm et France Télévisions/Curiosphère.tv.
Une opinion que peu d’adultes partagent : en effet, les trois-quarts 73% sont persuadés que les adolescents peuvent se passer d’eux. Cet écart flagrant de perception illustre les malentendus et incompréhensions entre les générations…
Pendant cinq mois, au sein de leurs lycées, 500 jeunes ont réfléchi, échangé leurs idées et confronté leurs opinions sur ces différents thèmes afin de partager leurs points de vue lors du 8ème Forum national organisé par la Fondation Pfizer présidée par le professeur Philippe Jeammet, psychanalyste et psychiatre et ses partenaires**
Selon cette enquête inédite, les ados communiquent relativement peu avec leurs grands-parents : ils sont ainsi 58% à échanger en face-à-face avec leurs aînés contre 84% avec leurs parents. Parmi les moyens de communication utilisés, le téléphone fixe reste privilégié par 37% des adolescents interviewés. Néanmoins, 6% des grands-parents ont déjà eu recours à des « médias ados » type SMS, portable, réseaux sociaux pour converser avec leurs petits-enfants.
Contrairement à l’impression que peuvent avoir les adultes, la satisfaction que les adolescents expriment dans leur relation avec eux, en général, est réelle : 86% des jeunes interrogés sont contents de leur relation avec les adultes. Néanmoins, 55% d’adolescents regrettent de ne pas nourrir davantage d’échanges avec eux. Un comble sachant que 59% des adultes souhaiteraient également partager plus avec la jeune génération.
Cette étude révèle aussi que ces échanges intergénérationnels auraient des répercussions positives sur le bien-être des adolescents. Ainsi, 51% d’entre eux considèrent même que les adolescents pourraient leur apporter beaucoup, voire énormément.
Si la tradition est jugée importante pour 71% des adolescents, les grands-parents sont au cœur de la problématique de la transmission puisque, selon les adolescents interviewés, les grands-parents sont les mieux placés, après les parents, en tant que transmetteurs de valeurs (41%), de tradition (38%) et de savoir-vivre
(37%).
*Enquête Ipsos Santé réalisée auprès de 807 adolescents de 15 à 18 ans et de 822 adultes de 25 ans et plus interrogés Online du 12 au 19 janvier 2012
**le ministère de l’Éducation nationale, l’Inserm et France Télévisions/Curiosphère.tv.