De nos jours, certains centenaires sont encore très en forme et profitent de la vie. Ils se marient, ils courent le cent mètres, ils font de la plongée, du cyclisme, se forment sur Internet et d’autres par exemple, comme le canadien Charles Wymann Betts, font de la moto !
Oui mais voilà, si certains le vivent bien, pour d’autres, être centenaire est un enfer. C’est une vie qui n’en finit pas… C’est le cas d’Hélène Wuillemin, cent ans, qui vit à Laxou en Meurthe-et-Moselle. Elle n’est pas vraiment malade, mais elle souffre… Des douleurs, des problèmes d’audition, la vue qui baisse…
Lire aussi : Fin de vie, Vincent Lambert et tous les autres, tribune libre de Valérie Sugg
Rien de mortel mais un ensemble de soucis de santé qui ruine son quotidien et son envie de vivre. Certes, elle regarde la télé, elle surfe sur Internet, elle voit de temps à autre sa famille, mais ne sort plus depuis des mois à cause de ses douleurs.
La centenaire, née le 6 mars 1920, n’a pas pu avoir accès aux différents programmes d’euthanasie disponibles en Suisse ou en Belgique. Lundi dernier, cette ancienne institutrice a donc décidé d’entamer une grève de la faim.
Pour elle, parce qu’elle veut mourir, mais aussi pour d’autres qui pourraient être dans la même situation qu’elle et qui n’ont pas de solution non plus…
Sur sa porte d’entrée, elle a accroché un petit mot daté et signé (elle a encore toute sa tête) indiquant clairement : « Je ne veux pas être réanimée et je ne veux pas de soins ». Son seul désir : s’endormir. Pour toujours, assise sur son fauteuil inclinable.
Oui mais voilà, si certains le vivent bien, pour d’autres, être centenaire est un enfer. C’est une vie qui n’en finit pas… C’est le cas d’Hélène Wuillemin, cent ans, qui vit à Laxou en Meurthe-et-Moselle. Elle n’est pas vraiment malade, mais elle souffre… Des douleurs, des problèmes d’audition, la vue qui baisse…
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Rien de mortel mais un ensemble de soucis de santé qui ruine son quotidien et son envie de vivre. Certes, elle regarde la télé, elle surfe sur Internet, elle voit de temps à autre sa famille, mais ne sort plus depuis des mois à cause de ses douleurs.
La centenaire, née le 6 mars 1920, n’a pas pu avoir accès aux différents programmes d’euthanasie disponibles en Suisse ou en Belgique. Lundi dernier, cette ancienne institutrice a donc décidé d’entamer une grève de la faim.
Pour elle, parce qu’elle veut mourir, mais aussi pour d’autres qui pourraient être dans la même situation qu’elle et qui n’ont pas de solution non plus…
Sur sa porte d’entrée, elle a accroché un petit mot daté et signé (elle a encore toute sa tête) indiquant clairement : « Je ne veux pas être réanimée et je ne veux pas de soins ». Son seul désir : s’endormir. Pour toujours, assise sur son fauteuil inclinable.