Le problème avec ce genre de médication classique ? L’accoutumance et les effets secondaires provoqués lorsque la prise est prolongée sur la durée... Aussi, la recherche s’est tournée vers de nouvelles alternatives, dont une approche par les plantes.
Parmi elles, une plante s’érige probablement comme la solution la plus puissante en matière de phytothérapie à l’heure actuelle pour combattre les douleurs d’origine inflammatoire : l’harpagophytum.
L’harpagophytum prend racine dans les régions semi-arides sud-africaines. Ses fruits à têtes couronnées d’épingles lui ont également valu le nom de « griffe du Diable »… Et pour cause ! Outre son apparence caractéristique, l’harpagophytum a démontré des propriétés naturelles antidouleur et anti-inflammatoires tout bonnement spectaculaires !
Mécanique ostéo-articulaire en brèche, douleurs lancinantes, mobilité altérée… Les rouages pro-inflammatoires reposent sur cinq critères : rougeur, douleur, chaleur, raideur, enflure. Le problème, avec l’inflammation, est qu’elle représente le point de départ de destruction du cartilage et d’apparition d’arthrose.
L’harpagophytum s’attaque à l’inflammation à la source tout en soulageant significativement les douleurs. Plus précisément, ce sont ses actifs, les harpagosides, qui une fois libérés, font de la « griffe du Diable une solution anti-inflammatoire encore inégalée et convoitée depuis des décennies !
L’harpagophytum est particulièrement prisé pour ses effets sur les douleurs rhumatismales, arthrosiques, lombaires, mais aussi contre les douleurs de genou et de hanche. En rhumatologie, on l’associe souvent à la racine de Boswellia, pour une action décuplée et aussi plus ciblée.
Les plus de 50 ans, les personnes en surpoids ou celles qui fournissent un effort inhabituel, celles qui ont une alimentation déséquilibrée ou sont prédisposées aux troubles articulaires, mais aussi les sportifs, les adeptes de bricolage ou de jardinage, sont en proie à ces douleurs et raideurs qui tenaillent le jour et réveillent au beau milieu de la nuit…
Les études menées sur ce végétal, ont démontré une diminution de la douleur et une nette amélioration de la mobilité : plus grande amplitude de mouvement, facilitation des flexions/extensions, meilleure souplesse articulaire… Autant d’arguments qui font de l’harpagophytum, un végétal d’une valeur inestimable pour la santé articulaire.
Parmi elles, une plante s’érige probablement comme la solution la plus puissante en matière de phytothérapie à l’heure actuelle pour combattre les douleurs d’origine inflammatoire : l’harpagophytum.
L’harpagophytum prend racine dans les régions semi-arides sud-africaines. Ses fruits à têtes couronnées d’épingles lui ont également valu le nom de « griffe du Diable »… Et pour cause ! Outre son apparence caractéristique, l’harpagophytum a démontré des propriétés naturelles antidouleur et anti-inflammatoires tout bonnement spectaculaires !
Mécanique ostéo-articulaire en brèche, douleurs lancinantes, mobilité altérée… Les rouages pro-inflammatoires reposent sur cinq critères : rougeur, douleur, chaleur, raideur, enflure. Le problème, avec l’inflammation, est qu’elle représente le point de départ de destruction du cartilage et d’apparition d’arthrose.
L’harpagophytum s’attaque à l’inflammation à la source tout en soulageant significativement les douleurs. Plus précisément, ce sont ses actifs, les harpagosides, qui une fois libérés, font de la « griffe du Diable une solution anti-inflammatoire encore inégalée et convoitée depuis des décennies !
L’harpagophytum est particulièrement prisé pour ses effets sur les douleurs rhumatismales, arthrosiques, lombaires, mais aussi contre les douleurs de genou et de hanche. En rhumatologie, on l’associe souvent à la racine de Boswellia, pour une action décuplée et aussi plus ciblée.
Les plus de 50 ans, les personnes en surpoids ou celles qui fournissent un effort inhabituel, celles qui ont une alimentation déséquilibrée ou sont prédisposées aux troubles articulaires, mais aussi les sportifs, les adeptes de bricolage ou de jardinage, sont en proie à ces douleurs et raideurs qui tenaillent le jour et réveillent au beau milieu de la nuit…
Les études menées sur ce végétal, ont démontré une diminution de la douleur et une nette amélioration de la mobilité : plus grande amplitude de mouvement, facilitation des flexions/extensions, meilleure souplesse articulaire… Autant d’arguments qui font de l’harpagophytum, un végétal d’une valeur inestimable pour la santé articulaire.
Le saviez-vous ?
Les antidouleurs naturels ne doivent jamais être pris ponctuellement au « coup par coup », mais en cures régulières, à horaires fixes et à intervalles réguliers.
Les études scientifiques ont pu démontrer que plus de 60% des patients souffrant de lombalgies traités par des extraits de griffe du Diable, tirent bénéfice du traitement*. Parmi eux, la diminution de la douleur était estimée à 80% au bout de 2 à 3 mois, effet qui se maintenait au cours de l’année de traitement. La plante se révèle être aussi efficace que les AINS classiques**.
Réf. Scientifiques :
*. Grant L, McBean DE, et al. A review of the biological and potential therapeutic actions of Harpagophytum procumbens. Phytother Res 2007; 21:199-209.
** Chrubasik JE, Roufogalis BD, et al. Evidence of effectiveness of herbal antiinflammatory drugs in the treatment of painful osteoarthritis and chronic low back pain. Phytother Res 2007;21:675-83.
Les études scientifiques ont pu démontrer que plus de 60% des patients souffrant de lombalgies traités par des extraits de griffe du Diable, tirent bénéfice du traitement*. Parmi eux, la diminution de la douleur était estimée à 80% au bout de 2 à 3 mois, effet qui se maintenait au cours de l’année de traitement. La plante se révèle être aussi efficace que les AINS classiques**.
Réf. Scientifiques :
*. Grant L, McBean DE, et al. A review of the biological and potential therapeutic actions of Harpagophytum procumbens. Phytother Res 2007; 21:199-209.
** Chrubasik JE, Roufogalis BD, et al. Evidence of effectiveness of herbal antiinflammatory drugs in the treatment of painful osteoarthritis and chronic low back pain. Phytother Res 2007;21:675-83.