Douleurs rhumatismales et articulaires : et pourquoi pas la chiropraxie ?

Les seniors sont souvent atteints de douleurs rhumatismales et articulaires… Et si, avant de vous tourner vers les médicaments, vous tentiez de remédier à vos maux par le biais de la chiropraxie, pratique manuelle et naturelle reconnue par l’OMS et qui peut s’avérer bénéfique dans de nombreux cas…





Dans son dernier numéro en date, la revue médicale indépendante « Prescrire » dresse un nouvel état des lieux des médicaments dont le rapport bénéfice/risque apparaît défavorable.
 
On y découvre une liste de 68 médicaments jugés « plus dangereux qu’utiles », parmi lesquels six sont utilisés dans le traitement des douleurs rhumatismales ou articulaires... Certaines molécules sont même dans le viseur des experts de Prescrire.
 
Pourtant, dans de nombreux cas, « la chiropraxie peut apporter une réponse naturelle, non médicamenteuse, à ces douleurs » assure un récent communiqué de l’Association française de chiropraxie (AFC). Et de préciser : « la chiropraxie contribue en outre à restaurer la mobilité des articulations lésées ». Pour le soin des lombalgies, l’AFC rappelle en outre que le Journal of American medical association « recommande le suivi chiropratique en première intention, c’est‐à‐dire avant toute prise en charge médicamenteuse des douleurs ».
 
La chiropraxie, médecine manuelle de référence pour les soins du dos et des articulations, a pour objet le diagnostic, le traitement et la prévention des dysfonctionnements de l'appareil locomoteur (ce que l’on nomme désormais « troubles musculo‐squelettiques ») et de leurs conséquences, notamment au niveau de la colonne vertébrale et des membres.
 
Bon à savoir : reconnue au niveau international par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et en France, par le code de la santé publique, la chiropraxie est remboursée par la plupart des complémentaires santé. Cette pratique est dispensée en France par 700 chiropracteurs qui sont les seuls thérapeutes non-médecins habilités à pratiquer des manipulations vertébrales en première intention, c’est-à-dire sans avis médical préalable.
 
Rappelons que les chiropracteurs ont tous suivi un cursus de six années d’études à temps plein soit 5.500 heures dont 1.000 heures de stages cliniques. Cette formation garantit un degré maximal de qualité et de sécurité des soins dispensés. 

Article publié le 13/02/2014 à 09:18 | Lu 3378 fois