Contrairement à la douleur aiguë, expérience de douleur de courte durée généralement intense et localisée souvent décrite comme une douleur vive, aiguë, ou lancinante, la douleur chronique est une douleur qui persiste ou réapparaît pendant plus de 3 mois et ne reflète pas ou plus à une cause lésionnelle identifiable.
En France, environ 12 millions de personnes souffrent de douleurs chroniques d’intensité modérée à sévère, soit un Français sur cinq.
La douleur chronique ne se limite pas à une simple atteinte physique, elle altère profondément le bien-être mental, émotionnel et social des patients. En impactant la capacité à travailler, à pratiquer des loisirs ou à entretenir des liens sociaux, elle peut réduire considérablement la qualité de vie.
Souvent accompagnée d’anxiété, d’irritabilité, de troubles du sommeil ou encore de baisse de la libido, elle favorise aussi la fatigue chronique et la perte de motivation.
Dans le milieu professionnel, la douleur chronique a un impact considérable, constituant un enjeu économique et social majeur : 45% des patients douloureux chroniques sont concernés par des arrêts de travail dont la durée moyenne cumulée dépasse 4 mois/an.
Pourtant aujourd'hui, plus de 70% des patients sou rant de douleur chronique ne bénéficient pas d'un traitement adapté à leurs besoins. Et pire encore, moins de 3% d'entre eux accèdent à une prise en charge dans un centre spécialisé.
Depuis plusieurs années, les connaissances sur les mécanismes de la douleur ont considérablement évolué.
Il est désormais admis que celle-ci ne résulte pas uniquement d’un signal nociceptif (lésion ou inflammation) ou d’un dommage du système nerveux (douleur neuropathique), mais peut également être le reflet d’un dysfonctionnement des systèmes de modulation de la douleur au sein du système nerveux central.
Ce troisième type, la douleur nociplastique, est aujourd’hui reconnu comme un mécanisme à part entière par l’IASP (International Association for the Study of Pain).
La place grandissante de la douleur nociplastique dans la prise en charge de la douleur chronique
À côté des douleurs nociceptives et neuropathiques, la douleur nociplastique -associée aussi aux termes d’hypersensibilité centrale ou de sensibilisation centrale- est différente et représente une avancée majeure dans la compréhension de la douleur chronique : elle n’est ni liée à une lésion tissulaire visible, ni à un dommage nerveux évident.
Elle est due à une dérégulation du traitement de la douleur par le système nerveux central. Dans ce cas,
le système nerveux central et la moelle épinière deviennent anormalement sensibles, amplifiant les signaux de douleur sans cause physique proportionnelle identifiable.
Longtemps sous-estimées et méconnues, les douleurs nociplastiques sont depuis peu reconnues comme une composante importante dans de nombreuses pathologies douloureuses chroniques complexes telles que la fibromyalgie, les syndromes douloureux régionaux complexes, ou encore certains cas de lombalgies chroniques ou de douleurs liées à l'arthrose.
Comme toutes douleurs chroniques, ces pathologies nociplastiques ont des répercussions psychosociales lourdes associées à une qualité de vie très dégradée.
Ce constat souligne l'importance de reconnaître la douleur nociplastique, qu'elle soit isolée ou associée à d'autres types de douleurs, afin d'éviter l'errance médicale et d'orienter les patients vers des approches thérapeutiques innovantes, notamment non médicamenteuses, ciblant non seulement les symptômes physiques, mais aussi les mécanismes de modulation de la douleur au niveau du système nerveux central.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la technologie développée par Remedee Labs. En ciblant spécifiquement les mécanismes de modulation de la douleur via la stimulation de la production d’endorphines -les antalgiques naturels de l’organisme- la solution Remedee agit directement sur les circuits centraux impliqués dans les douleurs nociplastiques.
Grâce à sa technologie de neuromodulation par ondes millimétriques, miniaturisée dans un dispositif portable, Remedee Labs propose une alternative innovante, non-invasive et sans substance active, pour soulager efficacement les douleurs chroniques complexes.
Cependant la technologie seule ne suffit pas. Il est désormais largement démontré que la prise en charge efficace de la douleur chronique repose sur une approche globale, dite biopsychosociale.
Recommandée par la Haute Autorité de Santé depuis 2017, cette approche intègre la réalité multidimensionnelle de la douleur : ses composantes biologiques bien sûr, mais aussi psychologiques (anxiété, troubles du sommeil, catastrophisme) et sociales (isolement, retentissement professionnel).
Elle implique une prise en charge pluridisciplinaire, qui associe des solutions non médicamenteuses validées scientifiquement et si nécessaire des traitements médicamenteux.
En France, environ 12 millions de personnes souffrent de douleurs chroniques d’intensité modérée à sévère, soit un Français sur cinq.
La douleur chronique ne se limite pas à une simple atteinte physique, elle altère profondément le bien-être mental, émotionnel et social des patients. En impactant la capacité à travailler, à pratiquer des loisirs ou à entretenir des liens sociaux, elle peut réduire considérablement la qualité de vie.
Souvent accompagnée d’anxiété, d’irritabilité, de troubles du sommeil ou encore de baisse de la libido, elle favorise aussi la fatigue chronique et la perte de motivation.
Dans le milieu professionnel, la douleur chronique a un impact considérable, constituant un enjeu économique et social majeur : 45% des patients douloureux chroniques sont concernés par des arrêts de travail dont la durée moyenne cumulée dépasse 4 mois/an.
Pourtant aujourd'hui, plus de 70% des patients sou rant de douleur chronique ne bénéficient pas d'un traitement adapté à leurs besoins. Et pire encore, moins de 3% d'entre eux accèdent à une prise en charge dans un centre spécialisé.
Depuis plusieurs années, les connaissances sur les mécanismes de la douleur ont considérablement évolué.
Il est désormais admis que celle-ci ne résulte pas uniquement d’un signal nociceptif (lésion ou inflammation) ou d’un dommage du système nerveux (douleur neuropathique), mais peut également être le reflet d’un dysfonctionnement des systèmes de modulation de la douleur au sein du système nerveux central.
Ce troisième type, la douleur nociplastique, est aujourd’hui reconnu comme un mécanisme à part entière par l’IASP (International Association for the Study of Pain).
La place grandissante de la douleur nociplastique dans la prise en charge de la douleur chronique
À côté des douleurs nociceptives et neuropathiques, la douleur nociplastique -associée aussi aux termes d’hypersensibilité centrale ou de sensibilisation centrale- est différente et représente une avancée majeure dans la compréhension de la douleur chronique : elle n’est ni liée à une lésion tissulaire visible, ni à un dommage nerveux évident.
Elle est due à une dérégulation du traitement de la douleur par le système nerveux central. Dans ce cas,
le système nerveux central et la moelle épinière deviennent anormalement sensibles, amplifiant les signaux de douleur sans cause physique proportionnelle identifiable.
Longtemps sous-estimées et méconnues, les douleurs nociplastiques sont depuis peu reconnues comme une composante importante dans de nombreuses pathologies douloureuses chroniques complexes telles que la fibromyalgie, les syndromes douloureux régionaux complexes, ou encore certains cas de lombalgies chroniques ou de douleurs liées à l'arthrose.
Comme toutes douleurs chroniques, ces pathologies nociplastiques ont des répercussions psychosociales lourdes associées à une qualité de vie très dégradée.
Ce constat souligne l'importance de reconnaître la douleur nociplastique, qu'elle soit isolée ou associée à d'autres types de douleurs, afin d'éviter l'errance médicale et d'orienter les patients vers des approches thérapeutiques innovantes, notamment non médicamenteuses, ciblant non seulement les symptômes physiques, mais aussi les mécanismes de modulation de la douleur au niveau du système nerveux central.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la technologie développée par Remedee Labs. En ciblant spécifiquement les mécanismes de modulation de la douleur via la stimulation de la production d’endorphines -les antalgiques naturels de l’organisme- la solution Remedee agit directement sur les circuits centraux impliqués dans les douleurs nociplastiques.
Grâce à sa technologie de neuromodulation par ondes millimétriques, miniaturisée dans un dispositif portable, Remedee Labs propose une alternative innovante, non-invasive et sans substance active, pour soulager efficacement les douleurs chroniques complexes.
Cependant la technologie seule ne suffit pas. Il est désormais largement démontré que la prise en charge efficace de la douleur chronique repose sur une approche globale, dite biopsychosociale.
Recommandée par la Haute Autorité de Santé depuis 2017, cette approche intègre la réalité multidimensionnelle de la douleur : ses composantes biologiques bien sûr, mais aussi psychologiques (anxiété, troubles du sommeil, catastrophisme) et sociales (isolement, retentissement professionnel).
Elle implique une prise en charge pluridisciplinaire, qui associe des solutions non médicamenteuses validées scientifiquement et si nécessaire des traitements médicamenteux.