Diabliss : une alternative « sucre » pour les diabétiques

Le sucre de canne aux herbes Diabliss permet aux diabétiques de retrouver le goût du vrai sucre… En effet, selon la marque, ce nouveau produit alimentaire (ce n’est pas un médicament) affiche un index glycémique inférieur à 45, soit le taux de sucre d’un légume… Détails.





Diabliss, sucre de canne aux herbes

Voici donc un tout nouveau sucre (issu de dix années de recherche et de quatre ans de tests) qui va peut-être redonner aux diabétiques le goût et le plaisir du sucre… En effet, Diabliss (qui n’a rien de diabolique) est un véritable sucre de canne qui selon la marque, « convient aux diabétiques » grâce à son index glycémique inférieur à 45 (identique au taux de sucre d’un légume).
 
En réalité, ce pur sucre de canne aux herbes (c’est sa dénomination) est « associé à des propriétés extraites de certains fruits et épices reconnus pour leur effet anti glycémique dans le système de santé millénaire Indien (Gingembre, Curcuma, Cannelle, Grenade, Fenugrec, Poivre, Amla) ». Il est sans produits chimiques assure le fabricant.
 
« La structure de la concentration issue des plantes est normalisée et soumise aux contrôles de qualité HPLC. Cette substance incolore, sans goût, sans arôme, rend le sucre convivial aux diabétiques et facilite l’absorption du sucre dans le sang à un niveau cellulaire » souligne encore la marque.
 
Naturellement, ce nouveau produit alimentaire (il ne s’agit pas d’un médicament, répétons-le) permet de sucrer les boissons, les desserts, les fruits, etc... Il peut être employer en l’état ou cuit. Il affiche les mêmes propriétés qu’un sucre de canne « normal ».
 
Toujours selon le fabricant, des tests ont « été effectués sur de nombreuses personnes depuis environ 4 ans et en particulier sur des personnes diabétiques de l’âge de 8 à 82 ans et de diabète type 1 et type 2. L’utilisation du sucre de canne par ces personnes n’ont vu ni l’index de sucre à jeun, ni le niveau de glycémie postprandiale, ni le niveau HBA1c augmenter ». En cas de doute, demandez conseil à votre médecin… 

Article publié le 22/05/2014 à 02:44 | Lu 5916 fois