Le vieillissement : cela ne commence pas à la surface mais bien au cœur de l’organisme, dans les tissus, les organes, les mitochondries (centrale d’énergie à l’intérieur de chaque cellule), et même au niveau de l’ADN.
Ce vieillissement intérieur s’exprime alors de multiples façons : une baisse d’énergie, des troubles digestifs persistants, une peau qui se relâche, une concentration plus difficile, une immunité ralentie, des douleurs chroniques ou une récupération physique altérée.
En d’autres termes : le corps fonctionne moins bien, trop tôt.
L’un des principaux mécanismes à l’origine de ce vieillissement accéléré s’appelle le stress oxydatif. Il s’agit d’un déséquilibre entre les radicaux libres -molécules instables produites par notre métabolisme, mais aussi amplifiées par la pollution, les rayons UV, le stress, l’alimentation transformée, certains médicaments- et nos défenses antioxydantes naturelles.
Lorsque ces radicaux libres sont trop nombreux et mal neutralisés, ils s’attaquent à toutes les structures vivantes : membranes cellulaires, protéines, enzymes, et jusqu’au matériel génétique. On pourrait comparer cela à une forme de rouille interne, progressive, silencieuse et surtout… destructrice !
Face à ce phénomène, le corps possède une armée discrète mais puissante : les antioxydants.
Certains sont dits « endogènes » (donc produits par nous-mêmes) comme le glutathion ou les enzymes SOD.
D’autres proviennent de notre alimentation : polyphénols, vitamine C, E, caroténoïdes, quercétine, zinc, sélénium, etc. Ils ont pour mission de neutraliser les radicaux libres avant qu’ils n’endommagent les tissus. Ce sont des protecteurs de l’intégrité cellulaire, des gardiens de notre vitalité.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que nos modes de vie modernes ont fragilisé ce système de défense. Non seulement nous produisons plus de radicaux libres (parce que notre environnement est plus toxique), mais en plus, nos apports en antioxydants ont chuté.
Les végétaux cultivés aujourd’hui, issus de sols appauvris, de récoltes précoces et de transports longs, contiennent bien moins de micronutriments qu’il y a cinquante ans. Les variétés sauvages, riches en principes actifs et présentes depuis des millions d’années, ont été remplacées par des fruits et légumes calibrés pour le commerce, pas pour la santé.
Enfin, les antioxydants sont des molécules sensibles, qui s’altèrent facilement à la cuisson, à la lumière ou à l’oxygène et perdent donc en efficacité.
On comprend alors pourquoi il devient difficile, même avec une bonne hygiène alimentaire, de compenser la charge oxydative actuelle.
La complémentation raisonnée et ciblée prend alors tout son sens comme un soutien stratégique et régulier pour préserver sa vitalité, ralentir le vieillissement prématuré et restaurer l’équilibre.
Ce vieillissement intérieur s’exprime alors de multiples façons : une baisse d’énergie, des troubles digestifs persistants, une peau qui se relâche, une concentration plus difficile, une immunité ralentie, des douleurs chroniques ou une récupération physique altérée.
En d’autres termes : le corps fonctionne moins bien, trop tôt.
L’un des principaux mécanismes à l’origine de ce vieillissement accéléré s’appelle le stress oxydatif. Il s’agit d’un déséquilibre entre les radicaux libres -molécules instables produites par notre métabolisme, mais aussi amplifiées par la pollution, les rayons UV, le stress, l’alimentation transformée, certains médicaments- et nos défenses antioxydantes naturelles.
Lorsque ces radicaux libres sont trop nombreux et mal neutralisés, ils s’attaquent à toutes les structures vivantes : membranes cellulaires, protéines, enzymes, et jusqu’au matériel génétique. On pourrait comparer cela à une forme de rouille interne, progressive, silencieuse et surtout… destructrice !
Face à ce phénomène, le corps possède une armée discrète mais puissante : les antioxydants.
Certains sont dits « endogènes » (donc produits par nous-mêmes) comme le glutathion ou les enzymes SOD.
D’autres proviennent de notre alimentation : polyphénols, vitamine C, E, caroténoïdes, quercétine, zinc, sélénium, etc. Ils ont pour mission de neutraliser les radicaux libres avant qu’ils n’endommagent les tissus. Ce sont des protecteurs de l’intégrité cellulaire, des gardiens de notre vitalité.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que nos modes de vie modernes ont fragilisé ce système de défense. Non seulement nous produisons plus de radicaux libres (parce que notre environnement est plus toxique), mais en plus, nos apports en antioxydants ont chuté.
Les végétaux cultivés aujourd’hui, issus de sols appauvris, de récoltes précoces et de transports longs, contiennent bien moins de micronutriments qu’il y a cinquante ans. Les variétés sauvages, riches en principes actifs et présentes depuis des millions d’années, ont été remplacées par des fruits et légumes calibrés pour le commerce, pas pour la santé.
Enfin, les antioxydants sont des molécules sensibles, qui s’altèrent facilement à la cuisson, à la lumière ou à l’oxygène et perdent donc en efficacité.
On comprend alors pourquoi il devient difficile, même avec une bonne hygiène alimentaire, de compenser la charge oxydative actuelle.
La complémentation raisonnée et ciblée prend alors tout son sens comme un soutien stratégique et régulier pour préserver sa vitalité, ralentir le vieillissement prématuré et restaurer l’équilibre.