
Les concessions dites temporaires (entre 5 et 15 ans), les concessions trentenaires et les concessions cinquantenaires sont renouvelables au prix du tarif en vigueur au moment du renouvellement.
A défaut de renouvellement avec paiement de cette nouvelle redevance, le terrain concédé fait retour à la commune. Il ne peut cependant être repris par elle que deux années révolues après l’expiration de la période pour laquelle le terrain a été concédé. Dans l’intervalle de ces deux années, les titulaires de la concession, comme ceux à qui elle a été transmise, peuvent user de leur droit de renouvellement.
Lorsqu’une concession perpétuelle a cessé d’être entretenue, le maire peut, après une période de 30 ans (et 10 ans après la dernière inhumation sur le terrain concédé), constater l’état d’abandon par procès-verbal porté à la connaissance du public et des familles.
Si, trois ans après cette publicité régulièrement effectuée, la concession est toujours en état d’abandon, le maire a alors la faculté de saisir le conseil municipal, appelé à décider si la reprise de la concession est prononcée ou non.
Si tel est le cas, le maire peut prendre un arrêté confirmant la reprise des terrains affectés à cette concession par la commune. Les monuments, plaques et emblèmes sont alors enlevés. Quant aux dépouilles funèbres, elles seront prises en charge selon une réglementation strictement encadrée par le code général des collectivités territoriales.
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A défaut de renouvellement avec paiement de cette nouvelle redevance, le terrain concédé fait retour à la commune. Il ne peut cependant être repris par elle que deux années révolues après l’expiration de la période pour laquelle le terrain a été concédé. Dans l’intervalle de ces deux années, les titulaires de la concession, comme ceux à qui elle a été transmise, peuvent user de leur droit de renouvellement.
Lorsqu’une concession perpétuelle a cessé d’être entretenue, le maire peut, après une période de 30 ans (et 10 ans après la dernière inhumation sur le terrain concédé), constater l’état d’abandon par procès-verbal porté à la connaissance du public et des familles.
Si, trois ans après cette publicité régulièrement effectuée, la concession est toujours en état d’abandon, le maire a alors la faculté de saisir le conseil municipal, appelé à décider si la reprise de la concession est prononcée ou non.
Si tel est le cas, le maire peut prendre un arrêté confirmant la reprise des terrains affectés à cette concession par la commune. Les monuments, plaques et emblèmes sont alors enlevés. Quant aux dépouilles funèbres, elles seront prises en charge selon une réglementation strictement encadrée par le code général des collectivités territoriales.
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