D’une manière générale, les douaniers français sont extrêmement vigilants lorsque les vols en provenance d’Amérique du sud arrivent à l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle. Et contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, les douaniers ne se focalisent pas uniquement sur les voyageurs qui ont le look « passeurs de drogue ».
Non, depuis quelques temps, les forces de l’ordre s’intéressent également à ceux qui ont justement l’air totalement innocent, à l’antithèse de la « mule », à ceux qui semblent a priori au-dessus de tout soupçon !
Ils savent très bien que les narcotrafiquants emploient désormais des « mules » aux profils très variés afin d’éloigner les soupçons des douaniers. Une tendance qui se confirme, puisque la police chilienne vient d’arrêter seize personnes âgées de 60 à 80 ans (principalement des femmes) impliquées dans un trafic de drogue. Des grands-mères qui vivent pour la plupart dans les quartiers pauvres de Santiago du Chili, la capitale chilienne.
« Ceux qui financent les opérations recrutent des personnes âgées parce qu'elles ne correspondent pas aux délinquants-types » explique l’un des responsables local de la lutte contre les narcotrafiquants dans le quotidien El Mercurio. Et d’ajouter « le trafic de drogues les aide à sortir de la pauvreté et à avoir un revenu pour vivre. Les voisins ne les dénoncent pas car ils savent qu'elles se retrouveraient dans la précarité ».
Non, depuis quelques temps, les forces de l’ordre s’intéressent également à ceux qui ont justement l’air totalement innocent, à l’antithèse de la « mule », à ceux qui semblent a priori au-dessus de tout soupçon !
Ils savent très bien que les narcotrafiquants emploient désormais des « mules » aux profils très variés afin d’éloigner les soupçons des douaniers. Une tendance qui se confirme, puisque la police chilienne vient d’arrêter seize personnes âgées de 60 à 80 ans (principalement des femmes) impliquées dans un trafic de drogue. Des grands-mères qui vivent pour la plupart dans les quartiers pauvres de Santiago du Chili, la capitale chilienne.
« Ceux qui financent les opérations recrutent des personnes âgées parce qu'elles ne correspondent pas aux délinquants-types » explique l’un des responsables local de la lutte contre les narcotrafiquants dans le quotidien El Mercurio. Et d’ajouter « le trafic de drogues les aide à sortir de la pauvreté et à avoir un revenu pour vivre. Les voisins ne les dénoncent pas car ils savent qu'elles se retrouveraient dans la précarité ».