Actuellement, près de 46 000 seniors vivent à Bordeaux -dont près de 20.000 de plus de 75 ans. Par ailleurs, en 2013, la ville est arrivée à la deuxième place des municipalités de 140 000 à 280 000 habitants où « il fait bon vivre sa retraite » selon l’enquête réalisée par le magazine senior « Notre temps ».
Afin que Bordeaux continue d’être plébiscitée par les ainés, elle vient de signer une Convention de partenariat avec l'Agence régionale de santé d'Aquitaine (ARS) pour la mise en place du dispositif national Paerpa. Plus concrètement, indique le ministère de la Santé, « il s’agit d’améliorer la prise en charge des personnes âgées en mettant fin aux difficultés ou ruptures dans leur prise en charge ».
En partant des besoins de la personne et de ses aidants, différentes actions visent ainsi à mieux coordonner les multiples intervenants en ville, à l’hôpital ou dans le domaine médico-social. En particulier, les professionnels de santé s’organisent pour éviter un recours excessif à l’hospitalisation –souvent dommageable pour l’autonomie des personnes âgées. Et qui coûte cher à tout le monde…
Plus concrètement, Bordeaux va tester jusqu’en 2017 une trentaine de dispositifs : création d’une permanence téléphonique avec un gériatre du CHU de Bordeaux, chambres d'hébergement d'urgence en EHPAD pour ainés après une hospitalisation, mise en place de quatre infirmières d'astreinte dans les maisons de retraite locales joignables de jour comme de nuit... A noter également un intéressant « système d'évaluation à domicile » par les docteurs qui doivent poser toute une série de questions à leurs patients âgés afin de vérifier que tout va bien…
Afin que Bordeaux continue d’être plébiscitée par les ainés, elle vient de signer une Convention de partenariat avec l'Agence régionale de santé d'Aquitaine (ARS) pour la mise en place du dispositif national Paerpa. Plus concrètement, indique le ministère de la Santé, « il s’agit d’améliorer la prise en charge des personnes âgées en mettant fin aux difficultés ou ruptures dans leur prise en charge ».
En partant des besoins de la personne et de ses aidants, différentes actions visent ainsi à mieux coordonner les multiples intervenants en ville, à l’hôpital ou dans le domaine médico-social. En particulier, les professionnels de santé s’organisent pour éviter un recours excessif à l’hospitalisation –souvent dommageable pour l’autonomie des personnes âgées. Et qui coûte cher à tout le monde…
Plus concrètement, Bordeaux va tester jusqu’en 2017 une trentaine de dispositifs : création d’une permanence téléphonique avec un gériatre du CHU de Bordeaux, chambres d'hébergement d'urgence en EHPAD pour ainés après une hospitalisation, mise en place de quatre infirmières d'astreinte dans les maisons de retraite locales joignables de jour comme de nuit... A noter également un intéressant « système d'évaluation à domicile » par les docteurs qui doivent poser toute une série de questions à leurs patients âgés afin de vérifier que tout va bien…