Une large majorité (70%) des répondants à ce sondage affirme se sentir bien sur le plan psychologique et qu’ils sont satisfaits de leurs relations sociales.
On le sait depuis quelques années déjà mais cela se confirme : « les interactions sociales jouent un rôle essentiel dans la prévention de la dépression et de l’anxiété, le maintien des fonctions cognitives, l’estime de soi et le sentiment d’appartenance », souligne Constance Laennec, chargée d’études marketing chez Alptis.
Au-delà de ce constat, on remarque que plus les relations sociales sont satisfaisantes, plus l’état psychologique est bon, tout comme la perception globale de l’état de santé qui s’améliore de façon significative.
Ainsi, parmi l’ensemble des répondants à l’enquête, ceux qui sont adhérents (57%) ou bénévoles
(30%) au sein d’une association sont plus nombreux à juger leurs relations sociales meilleures.
Pour Constance Laennec, « l’engagement associatif est bien plus qu’une activité : c’est un moteur de lien social, de reconnaissance et de vie active pour les seniors ». Là encore, cela fait déjà une dizaine d’années que l’on connait l’importance de l’engagement des ainés pour leur santé.
Autre information intéressante : toujours selon cette étude, les personnes qui se disent satisfaites de leurs relations sociales et en bonne santé psychologique sont aussi celles qui ont tendance à avoir une alimentation plus équilibrée.
Autre point : les aidants (11 millions de personnes en France) ont un rôle essentiel dans le soutien des personnes en perte d’autonomie ou en situation de handicap. Ils contribuent à améliorer leur qualité de vie.
Comme le montre l’enquête, il arrive que les seniors endossent également ce rôle. Parmi eux, seuls un tiers estime avoir besoin d’un accompagnement dans certains domaines : bien-être, soutien psychologique et informations sur les démarches administratives.
Ce sondage révèle également que le rôle d’aidant affecte négativement la perception de leur état de santé physique (-10 points) et psychologique (-14 points).
A ce titre, les répondants qui sont des aidants sont plus exposés à un sentiment d’anxiété (+12 points), notamment en lien avec la santé de leurs proches (pour les deux-tiers des aidants vs un tiers des non-aidants) ou encore la gestion du quotidien (pour 18% des aidants vs 9% des non-aidants).
Et Constance Laennec de conclure qu’« être aidant engendre souvent de l’anxiété, de la fatigue, voire de l’épuisement et parfois un sentiment d’isolement. Il est important de prendre en compte cette réalité pour les soutenir à leur tour ».
On le sait depuis quelques années déjà mais cela se confirme : « les interactions sociales jouent un rôle essentiel dans la prévention de la dépression et de l’anxiété, le maintien des fonctions cognitives, l’estime de soi et le sentiment d’appartenance », souligne Constance Laennec, chargée d’études marketing chez Alptis.
Au-delà de ce constat, on remarque que plus les relations sociales sont satisfaisantes, plus l’état psychologique est bon, tout comme la perception globale de l’état de santé qui s’améliore de façon significative.
Ainsi, parmi l’ensemble des répondants à l’enquête, ceux qui sont adhérents (57%) ou bénévoles
(30%) au sein d’une association sont plus nombreux à juger leurs relations sociales meilleures.
Pour Constance Laennec, « l’engagement associatif est bien plus qu’une activité : c’est un moteur de lien social, de reconnaissance et de vie active pour les seniors ». Là encore, cela fait déjà une dizaine d’années que l’on connait l’importance de l’engagement des ainés pour leur santé.
Autre information intéressante : toujours selon cette étude, les personnes qui se disent satisfaites de leurs relations sociales et en bonne santé psychologique sont aussi celles qui ont tendance à avoir une alimentation plus équilibrée.
Autre point : les aidants (11 millions de personnes en France) ont un rôle essentiel dans le soutien des personnes en perte d’autonomie ou en situation de handicap. Ils contribuent à améliorer leur qualité de vie.
Comme le montre l’enquête, il arrive que les seniors endossent également ce rôle. Parmi eux, seuls un tiers estime avoir besoin d’un accompagnement dans certains domaines : bien-être, soutien psychologique et informations sur les démarches administratives.
Ce sondage révèle également que le rôle d’aidant affecte négativement la perception de leur état de santé physique (-10 points) et psychologique (-14 points).
A ce titre, les répondants qui sont des aidants sont plus exposés à un sentiment d’anxiété (+12 points), notamment en lien avec la santé de leurs proches (pour les deux-tiers des aidants vs un tiers des non-aidants) ou encore la gestion du quotidien (pour 18% des aidants vs 9% des non-aidants).
Et Constance Laennec de conclure qu’« être aidant engendre souvent de l’anxiété, de la fatigue, voire de l’épuisement et parfois un sentiment d’isolement. Il est important de prendre en compte cette réalité pour les soutenir à leur tour ».
