Avant de présenter le PRP, rappelons que l’arthrose est une maladie articulaire qui conduit à la destruction du cartilage. Cette pathologie concerne plus de 10 millions de Français et les deux-tiers (65%) ont plus de 65 ans. Elle est causée -essentiellement- par le vieillissement, ainsi que l’hérédité ou certaines maladies (chondrocalcinose, polyarthrite rhumatoïde).
L’arthrose se caractérise par une destruction du cartilage de l’articulation, une inflammation de la membrane de celle-ci (membrane synoviale) ainsi que par le remodelage de l’os situé directement sous le cartilage.
Cette pathologie entraîne des symptômes tels que des douleurs, raideurs, inflammations, ou encore une accumulation de liquide dans la cavité articulaire. Elle peut toucher toutes les articulations, mais se déclenche essentiellement au niveau des mains, du dos, des genoux, et des hanches.
Mais qu’est-ce donc que le PRP ? Il s’agit en réalité d’un produit dérivé du sang enrichi en plaquettes, obtenu après centrifugation du sang du patient.
Cette technique de médecine régénérative s’annonce telle « une alternative thérapeutique de choix contre l’arthrose car elle favorise la production des cellules du cartilage, ralentit sa dégradation et réduit son inflammation ».
Dans la pratique, le PRP contient des facteurs de croissance et autres protéines bioactives telles que des cytokines et des chimiokines. Il s’agit d’une thérapie qui s’appuie sur les propriétés du patient, « sans effets secondaires » assurent ses responbles, et avec de rares contre-indications.
Les médecins généralistes ou les spécialistes tels que les rhumatologues, radiologues interventionnels, chirurgiens orthopédistes, médecins du sport et kinésithérapeutes peuvent faire la demande d’injection et/ou administrer le traitement.
« Avec le PRP, le patient est au cœur du traitement, car le traitement c’est lui ! Les effets bénéfiques de l’injection se font ressentir en général au bout de 4 à 6 semaines.
Ce que l’on recommande en complément pour maximiser son efficacité sur le long terme, c’est de l’assortir à un mode de vie plus sain : manger mieux, bien s’hydrater, pratiquer une activité physique régulière… » » explique le dr Etienne Dahan, rhumatologue.
Et de préciser : « le patient est vu ici dans son ensemble dans une démarche de médecine globale et préventive, il faut le convaincre qu’il a un vrai rôle à jouer pour préserver sa santé ».
L’arthrose se caractérise par une destruction du cartilage de l’articulation, une inflammation de la membrane de celle-ci (membrane synoviale) ainsi que par le remodelage de l’os situé directement sous le cartilage.
Cette pathologie entraîne des symptômes tels que des douleurs, raideurs, inflammations, ou encore une accumulation de liquide dans la cavité articulaire. Elle peut toucher toutes les articulations, mais se déclenche essentiellement au niveau des mains, du dos, des genoux, et des hanches.
Mais qu’est-ce donc que le PRP ? Il s’agit en réalité d’un produit dérivé du sang enrichi en plaquettes, obtenu après centrifugation du sang du patient.
Cette technique de médecine régénérative s’annonce telle « une alternative thérapeutique de choix contre l’arthrose car elle favorise la production des cellules du cartilage, ralentit sa dégradation et réduit son inflammation ».
Dans la pratique, le PRP contient des facteurs de croissance et autres protéines bioactives telles que des cytokines et des chimiokines. Il s’agit d’une thérapie qui s’appuie sur les propriétés du patient, « sans effets secondaires » assurent ses responbles, et avec de rares contre-indications.
Les médecins généralistes ou les spécialistes tels que les rhumatologues, radiologues interventionnels, chirurgiens orthopédistes, médecins du sport et kinésithérapeutes peuvent faire la demande d’injection et/ou administrer le traitement.
« Avec le PRP, le patient est au cœur du traitement, car le traitement c’est lui ! Les effets bénéfiques de l’injection se font ressentir en général au bout de 4 à 6 semaines.
Ce que l’on recommande en complément pour maximiser son efficacité sur le long terme, c’est de l’assortir à un mode de vie plus sain : manger mieux, bien s’hydrater, pratiquer une activité physique régulière… » » explique le dr Etienne Dahan, rhumatologue.
Et de préciser : « le patient est vu ici dans son ensemble dans une démarche de médecine globale et préventive, il faut le convaincre qu’il a un vrai rôle à jouer pour préserver sa santé ».