Le vieillissement des populations en milieu rural a parfois d’étonnantes conséquences… L’histoire se déroule dans un petit village du sud-ouest de l’Angleterre. A Lydiard Millicent. La rédactrice en chef du journal local, Constance Reed, 87 ans est fatiguée d’avoir à rédiger les nécrologies de ses compatriotes.
En effet, ce village possède un nombre élevé des personnes âgées, et malheureusement, des décès –proportionnellement- plus nombreux qu’ailleurs. « Avec une rubrique nécrologique à faire chaque mois, il serait utile pour ceux qui restent que les gens préparent leur propre nécrologie avant de mourir » a indiqué la vieille dame à la BBC ; info reprise dans la dépêche de l’AFP. D’autant que lorsque les familles sont en deuil, elles n’ont pas tellement la tête à écrire sur la vie du défunt…
Dans ce contexte, dans le dernier numéro de son journal, Mme Reed, a demandé aux habitants de son village de rédiger eux-mêmes leur nécrologie en 400 mots et de lui remettre le papier « en temps utile ». Elle n’aurait reçu aucune réponse jusqu’à maintenant… Peut-être aurait-elle du donner un exemple. Avec la sienne ?
En effet, ce village possède un nombre élevé des personnes âgées, et malheureusement, des décès –proportionnellement- plus nombreux qu’ailleurs. « Avec une rubrique nécrologique à faire chaque mois, il serait utile pour ceux qui restent que les gens préparent leur propre nécrologie avant de mourir » a indiqué la vieille dame à la BBC ; info reprise dans la dépêche de l’AFP. D’autant que lorsque les familles sont en deuil, elles n’ont pas tellement la tête à écrire sur la vie du défunt…
Dans ce contexte, dans le dernier numéro de son journal, Mme Reed, a demandé aux habitants de son village de rédiger eux-mêmes leur nécrologie en 400 mots et de lui remettre le papier « en temps utile ». Elle n’aurait reçu aucune réponse jusqu’à maintenant… Peut-être aurait-elle du donner un exemple. Avec la sienne ?