« La prise en charge des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer est un problème de santé et de solidarité publique. Les patients, leurs proches, les aidants, les professionnels de santé ainsi que les travailleurs sociaux doivent être identifiés, aidés et soutenus. Leurs actions doivent être coordonnées dans la durée et à toutes les phases de la maladie. C’est l’ambition de notre projet. Les enseignements que nous en tirerons serviront de base à la généralisation de ces services pour une meilleure prise en charge de cette maladie » a déclaré à cette occasion Didier Lebret, président de Mondial Assistance France.
Plus concrètement, ce projet mené par l’assureur vise à prendre en charge pendant deux ans, 200 malades d’ores et déjà identifiés. 200 patients supplémentaires devraient être pris en charge lors de la deuxième année du projet.
En fait, cette initiative s’appuie sur une expérience déjà réalisée aux Pays Bas. Elle consiste à intégrer le plus étroitement possible les patients et leurs proches (familles, aidants,…) et l’ensemble des professionnels amenés à intervenir (médecins, infirmières, psychiatres et psychologues mais aussi, hôpitaux, cliniques, maisons de retraite, travailleurs sociaux et collectivités locales).
Cette intégration doit permettre :
- Un meilleur suivi du patient à toutes les étapes de cette maladie dégénérative
- Une meilleure coordination des intervenants pour une plus grande efficacité
- Une amélioration des conditions de vie des patients
- Un plus grand soutien de la famille, des aidants et des proches
Le projet qui démarrera dans le courant du premier trimestre 2009 durera deux ans, précise le communiqué de l’assureur. « Notre objectif est de définir les conditions de réplication de ce modèle en identifiant les bonnes pratiques, les outils et les méthodes à mettre en œuvre » précise le Dr Laurent Goldstein, directeur Santé et Services à la personne de Mondial Assistance.
Plus concrètement, ce projet mené par l’assureur vise à prendre en charge pendant deux ans, 200 malades d’ores et déjà identifiés. 200 patients supplémentaires devraient être pris en charge lors de la deuxième année du projet.
En fait, cette initiative s’appuie sur une expérience déjà réalisée aux Pays Bas. Elle consiste à intégrer le plus étroitement possible les patients et leurs proches (familles, aidants,…) et l’ensemble des professionnels amenés à intervenir (médecins, infirmières, psychiatres et psychologues mais aussi, hôpitaux, cliniques, maisons de retraite, travailleurs sociaux et collectivités locales).
Cette intégration doit permettre :
- Un meilleur suivi du patient à toutes les étapes de cette maladie dégénérative
- Une meilleure coordination des intervenants pour une plus grande efficacité
- Une amélioration des conditions de vie des patients
- Un plus grand soutien de la famille, des aidants et des proches
Le projet qui démarrera dans le courant du premier trimestre 2009 durera deux ans, précise le communiqué de l’assureur. « Notre objectif est de définir les conditions de réplication de ce modèle en identifiant les bonnes pratiques, les outils et les méthodes à mettre en œuvre » précise le Dr Laurent Goldstein, directeur Santé et Services à la personne de Mondial Assistance.
Alzheimer un enjeu de santé publique
La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées progressent inexorablement avec l’âge : à partir de 85 ans, une femme sur quatre et un homme sur cinq sont touchés. Face à ce triple défi scientifique, médical et social, le Président de la République a lancé le 1er février 2008 le plan Alzheimer 2008-2012 doté de moyens spécifiques et d’un financement de 1,6 milliard d’euro sur cinq ans. Centré sur la personne malade et sa famille, il a pour objectif de fournir un effort sans précédent sur la recherche, de favoriser un diagnostic plus précoce et de mieux prendre en charge les malades et leurs aidants.