L’arrêt cardiaque : de nombreuses victimes et de faibles chances de survie
Les ACR (Arrêt Cardio Respiratoire) sont la première cause de mortalité dans les pays développés. En France, on dénombre chaque année entre 30 et 50.000 décès dus à un arrêt cardiaque soudain de l’adulte, avec des chances de survie de l’ordre de 6%.
Aux Etats-Unis où ces appareils (les défibrillateurs) sont en place dans de nombreux lieux, notamment dans les casinos, les aéroports, etc.., le taux de survie suite à un arrêt cardiaque avoisine les 30 à 50%.
Un arrêt cardiaque peut survenir à tout moment et n’importe où : en week-end, en vacances, sur un terrain de sport, à la piscine, au camping, en avion, au centre commercial ou encore chez soi. Or, face à un accident cardiaque, il est impératif d’intervenir le plus rapidement possible, car les chances de survie sans séquelles diminuent de 10% à chaque minute qui passe.
Les défibrillateurs rendus accessibles aux personnes non initiées
Ces chiffres alarmants, ajoutés aux différents cas d’arrêt cardiaque dont la presse s’est fait l’écho au cours de ces dernières années, ont démontré la nécessité de faire évoluer la législation française afin que toute personne, même non médecin, puisse utiliser un défibrillateur, ce qui est le cas depuis le décret n°2007-705 du 4 mai 2007.
Mais si les textes autorisent toute personne à utiliser un défibrillateur pour secourir une victime d’un arrêt cardiaque, il n’en demeure pas moins que le fonctionnement de ces appareils peut s’avérer stressant, notamment dans un moment de panique…
En effet, pour améliorer les chances de survie d’une personne victime d’un ACR, il est impératif de se souvenir et de respecter chaque étape de la chaîne de survie :
- Arrivée rapide sur les lieux.
- Appel des secours.
- Mise en oeuvre du massage cardiaque.
- Mise en oeuvre de la défibrillation si celle-ci s’avère nécessaire.
- Mise en oeuvre des soins spécialisés.
Si seulement environ 40% des personnes inconscientes en collapsus nécessitent une défibrillation, rendue relativement simple grâce aux appareils existants, toutes ont besoin d’un massage cardiaque qui demeure, pour sa part, difficile à effectuer pour le grand public et les secouristes occasionnels.
Assurer la chaîne de survie ne se limite donc pas à poser des électrodes sur le thorax d’un patient afin de lui délivrer un choc électrique. Le bon positionnement des électrodes, la vérification de l’absence de conscience du patient, l’évaluation des fonctions vitales (voies aériennes, respiration, circulation), la réalisation d’un massage cardiaque au rythme approprié et l’estimation de la nécessité de procéder à une défibrillation, sont autant de gestes qui ne s’inventent pas et qui requièrent certaines connaissances.
Dans cet esprit, et afin que toutes ces opérations soient réalisées dans les « règles de l’art », cet appareil guide donc le secouriste occasionnel à chaque étape de la chaîne de survie. « Les défibrillateurs classiques (constitués de deux électrodes que les secouristes risquent d’intervertir) n’apportent d’aide au sauveteur que pour la défibrillation » souligne le fabricant de ce produit
Le défibrillateur AED Plus (commercialisé à moins de 2.000 euros) s’annonce ainsi comme étant le seul défibrillateur automatisé externe capable d’accompagner le secouriste tout au long de la chaîne de survie, y compris lors du massage cardiaque, grâce aux fonctionnalités suivantes :
- Une paire d’électrode « monobloc », facilitant le positionnement sur le patient et évitant toute erreur.
- Une fonctionnalité pédiatrique intelligente permettant de détecter automatiquement l’utilisation d’une électrode pédiatrique et d’adapter l’analyse de l’ECG en conséquence.
- La fonction Real CPR Help®, exclusivité de ZOLL, capable d’évaluer en temps réel l’efficacité de la réanimation cardio-pulmonaire.
- Un métronome adaptatif intégré permettant au secouriste de trouver la fréquence et l’amplitude appropriées des compressions lors du massage cardiaque, en délivrant des messages tels que « Appuyer plus fort » ou « Bonnes compressions ».
Les ACR (Arrêt Cardio Respiratoire) sont la première cause de mortalité dans les pays développés. En France, on dénombre chaque année entre 30 et 50.000 décès dus à un arrêt cardiaque soudain de l’adulte, avec des chances de survie de l’ordre de 6%.
Aux Etats-Unis où ces appareils (les défibrillateurs) sont en place dans de nombreux lieux, notamment dans les casinos, les aéroports, etc.., le taux de survie suite à un arrêt cardiaque avoisine les 30 à 50%.
Un arrêt cardiaque peut survenir à tout moment et n’importe où : en week-end, en vacances, sur un terrain de sport, à la piscine, au camping, en avion, au centre commercial ou encore chez soi. Or, face à un accident cardiaque, il est impératif d’intervenir le plus rapidement possible, car les chances de survie sans séquelles diminuent de 10% à chaque minute qui passe.
Les défibrillateurs rendus accessibles aux personnes non initiées
Ces chiffres alarmants, ajoutés aux différents cas d’arrêt cardiaque dont la presse s’est fait l’écho au cours de ces dernières années, ont démontré la nécessité de faire évoluer la législation française afin que toute personne, même non médecin, puisse utiliser un défibrillateur, ce qui est le cas depuis le décret n°2007-705 du 4 mai 2007.
Mais si les textes autorisent toute personne à utiliser un défibrillateur pour secourir une victime d’un arrêt cardiaque, il n’en demeure pas moins que le fonctionnement de ces appareils peut s’avérer stressant, notamment dans un moment de panique…
En effet, pour améliorer les chances de survie d’une personne victime d’un ACR, il est impératif de se souvenir et de respecter chaque étape de la chaîne de survie :
- Arrivée rapide sur les lieux.
- Appel des secours.
- Mise en oeuvre du massage cardiaque.
- Mise en oeuvre de la défibrillation si celle-ci s’avère nécessaire.
- Mise en oeuvre des soins spécialisés.
Si seulement environ 40% des personnes inconscientes en collapsus nécessitent une défibrillation, rendue relativement simple grâce aux appareils existants, toutes ont besoin d’un massage cardiaque qui demeure, pour sa part, difficile à effectuer pour le grand public et les secouristes occasionnels.
Assurer la chaîne de survie ne se limite donc pas à poser des électrodes sur le thorax d’un patient afin de lui délivrer un choc électrique. Le bon positionnement des électrodes, la vérification de l’absence de conscience du patient, l’évaluation des fonctions vitales (voies aériennes, respiration, circulation), la réalisation d’un massage cardiaque au rythme approprié et l’estimation de la nécessité de procéder à une défibrillation, sont autant de gestes qui ne s’inventent pas et qui requièrent certaines connaissances.
Dans cet esprit, et afin que toutes ces opérations soient réalisées dans les « règles de l’art », cet appareil guide donc le secouriste occasionnel à chaque étape de la chaîne de survie. « Les défibrillateurs classiques (constitués de deux électrodes que les secouristes risquent d’intervertir) n’apportent d’aide au sauveteur que pour la défibrillation » souligne le fabricant de ce produit
Le défibrillateur AED Plus (commercialisé à moins de 2.000 euros) s’annonce ainsi comme étant le seul défibrillateur automatisé externe capable d’accompagner le secouriste tout au long de la chaîne de survie, y compris lors du massage cardiaque, grâce aux fonctionnalités suivantes :
- Une paire d’électrode « monobloc », facilitant le positionnement sur le patient et évitant toute erreur.
- Une fonctionnalité pédiatrique intelligente permettant de détecter automatiquement l’utilisation d’une électrode pédiatrique et d’adapter l’analyse de l’ECG en conséquence.
- La fonction Real CPR Help®, exclusivité de ZOLL, capable d’évaluer en temps réel l’efficacité de la réanimation cardio-pulmonaire.
- Un métronome adaptatif intégré permettant au secouriste de trouver la fréquence et l’amplitude appropriées des compressions lors du massage cardiaque, en délivrant des messages tels que « Appuyer plus fort » ou « Bonnes compressions ».
Un arrêt cardiaque, c'est quoi ? :
L'arrêt cardiaque inopiné est principalement causé par un trouble du rythme cardiaque appelé fibrillation ventriculaire qui peut aussi bien survenir sur un coeur sain que sur un coeur malade : le coeur ne se contracte plus normalement mais se met brutalement à vibrer - à fibriller, ne permettant plus d'envoyer du sang oxygéné à tous les organes et entraînant donc la mort en quelques minutes. La fibrillation est réversible si un massage cardiaque est effectué avec une ventilation artificielle et si un choc électrique est administré très rapidement.