Aux Etats-Unis, il devient assez facile de se « rouler un joint ». Légalement et de bonne qualité en plus, puisque de nos jours, le cannabis est autorisé dans 29 états du pays. Ce, qu’il s’agisse du cannabis récréatif ou médical.
Cette modification de la loi vis-à-vis de cette drogue douce a modifié le comportement des consommateurs, mais a également vu l’arrivée d’une nouvelle génération d’amateurs « d’herbe »… Celle des seniors et des personnes âgées.
C’est en tout cas ce qu’indique le Huffington Post dans un récent article qui assure que le nombre de seniors consommant de la marijuana a explosé ces derniers mois. Ces consommateurs âgés semblent de fait, rassurés par les contrôles de qualité qui régissent désormais la vente de ces produits un peu particuliers.
Toutefois, ces nouveaux consommateurs ne consomment par le cannabis de la même manière que les plus jeunes. Ils ne se roulent pas leur joint ou ne fument pas leur pipe à eau autour d’une bière en écoutant les Pink Floyd, même si bien évidemment, une bonne partie d’entre eux (les baby-boomers) a eu sa période « peace and love » et hippie !
Non, ils recherchent d’autres modes de consommation et de petites doses de THC (la molécule qui « fait du bien »). On voit ainsi se développer les cours de cuisine spécialisés « cannabis » ce qui permet par exemple de se préparer des cookies « maison » qui font du bien. Il faut en effet savoir que cette drogue peut autant se cuisiner « salée » que « sucrée ». C’est selon vos goûts, vos choix et vos envies ! Les ainés privilégient aussi les sprays, les gouttes prises sous la langue, les gélules ou les patches transdermiques.
Le marché est en tel développement que des séances d’informations et de formations sont organisées dans des maisons de retraite. Ainsi, certains établissements comme la Hebrew Home dans le Bronx propose à ses résidents d’avoir accès au cannabis pour soulager certaines douleurs.
Rappelons que cette drogue est particulièrement (re)connue pour ses propriétés anti-douleur ou comme stimulateur d'appétit et anti-nauséeux chez des personnes sous chimiothérapie. Toutefois elle serait aussi efficace dans le cas de traitement de certaines maladies comme la sclérose en plaque, le glaucome, l’arthrite, les maladies de Parkinson ou d’Alzheimer…
Cependant, que le choses soient claires, il ne s’agit en aucun cas d’inciter à fumer du cannabis. L’action du THC ne fonctionne qu’à un dosage faible très précis, bien moins élevé que celui d’un joint, qui de plus, contient de par sa fumée, de nombreux produits toxiques…
Mais clairement, l’utilisation du cannabis comme médicine alternative (non prise en charge, faut pas exagérer tout de même), semble avoir le vent en poupe auprès des seniors américains.
Cette modification de la loi vis-à-vis de cette drogue douce a modifié le comportement des consommateurs, mais a également vu l’arrivée d’une nouvelle génération d’amateurs « d’herbe »… Celle des seniors et des personnes âgées.
C’est en tout cas ce qu’indique le Huffington Post dans un récent article qui assure que le nombre de seniors consommant de la marijuana a explosé ces derniers mois. Ces consommateurs âgés semblent de fait, rassurés par les contrôles de qualité qui régissent désormais la vente de ces produits un peu particuliers.
Toutefois, ces nouveaux consommateurs ne consomment par le cannabis de la même manière que les plus jeunes. Ils ne se roulent pas leur joint ou ne fument pas leur pipe à eau autour d’une bière en écoutant les Pink Floyd, même si bien évidemment, une bonne partie d’entre eux (les baby-boomers) a eu sa période « peace and love » et hippie !
Non, ils recherchent d’autres modes de consommation et de petites doses de THC (la molécule qui « fait du bien »). On voit ainsi se développer les cours de cuisine spécialisés « cannabis » ce qui permet par exemple de se préparer des cookies « maison » qui font du bien. Il faut en effet savoir que cette drogue peut autant se cuisiner « salée » que « sucrée ». C’est selon vos goûts, vos choix et vos envies ! Les ainés privilégient aussi les sprays, les gouttes prises sous la langue, les gélules ou les patches transdermiques.
Le marché est en tel développement que des séances d’informations et de formations sont organisées dans des maisons de retraite. Ainsi, certains établissements comme la Hebrew Home dans le Bronx propose à ses résidents d’avoir accès au cannabis pour soulager certaines douleurs.
Rappelons que cette drogue est particulièrement (re)connue pour ses propriétés anti-douleur ou comme stimulateur d'appétit et anti-nauséeux chez des personnes sous chimiothérapie. Toutefois elle serait aussi efficace dans le cas de traitement de certaines maladies comme la sclérose en plaque, le glaucome, l’arthrite, les maladies de Parkinson ou d’Alzheimer…
Cependant, que le choses soient claires, il ne s’agit en aucun cas d’inciter à fumer du cannabis. L’action du THC ne fonctionne qu’à un dosage faible très précis, bien moins élevé que celui d’un joint, qui de plus, contient de par sa fumée, de nombreux produits toxiques…
Mais clairement, l’utilisation du cannabis comme médicine alternative (non prise en charge, faut pas exagérer tout de même), semble avoir le vent en poupe auprès des seniors américains.
