En faisant le tour de l’établissement, le conseiller fédéral Didier Burkhalter s’est informé de la façon dont la prise en charge et le traitement palliatif permettaient de soulager les douleurs et de ménager la qualité de vie des pensionnaires.
L’objectif : offrir un environnement digne pour vivre et… pour mourir. Le concept de soins palliatifs concerne tous les domaines de l’établissement : de la médecine et des soins, par exemple l’analyse minutieuse et le traitement des douleurs, à l’hôtellerie. Pour relever ces défis, l’ensemble du personnel soignant suit régulièrement des formations.
Le centre de Laupen dont l’adage est « Il faut vaincre la peur de la dernière phase de vie et bien vivre avec la maladie jusqu’à la fin » a été distingué en 2009 par un Age Award. Cette distinction, remise tous les deux ans par la fondation « Age Stiftung », a récompensé l’institution bernoise pour la qualité de l’accompagnement des patients. La qualité architecturale des bâtiments qui permet à ses pensionnaires de préserver une vie privée, le service adapté aux besoins individuels ainsi que la compétence du personnel de l’institution ont particulièrement retenu l’attention du jury du prix.
En Suisse, la majorité des personnes de plus de 75 ans passent la dernière phase de leur vie dans un EMS (établissements médicaux sociaux). Au vu de l’évolution démographique, l’importance des maisons de retraite et des EMS comme lieux de fin de vie va encore croître dans les années à venir.
Rappelons qu’en Suisse, la Confédération et les cantons ont mis en place une « Stratégie nationale en matière de soins palliatifs 2010–2012 ». Elle vise à ancrer ce type de soins à l’échelle nationale –dans les soins de longue durée, mais aussi dans l’ensemble du système de santé. Pour améliorer la qualité des soins palliatifs, il faut renforcer la coordination entre les prestations offertes à l’intérieur d’une institution, comme c’est le cas à Laupen par exemple, mais aussi entre les différents acteurs de la santé (hôpitaux, soins à domicile, équipes mobiles spécialisées dans les soins palliatifs).
L’objectif : offrir un environnement digne pour vivre et… pour mourir. Le concept de soins palliatifs concerne tous les domaines de l’établissement : de la médecine et des soins, par exemple l’analyse minutieuse et le traitement des douleurs, à l’hôtellerie. Pour relever ces défis, l’ensemble du personnel soignant suit régulièrement des formations.
Le centre de Laupen dont l’adage est « Il faut vaincre la peur de la dernière phase de vie et bien vivre avec la maladie jusqu’à la fin » a été distingué en 2009 par un Age Award. Cette distinction, remise tous les deux ans par la fondation « Age Stiftung », a récompensé l’institution bernoise pour la qualité de l’accompagnement des patients. La qualité architecturale des bâtiments qui permet à ses pensionnaires de préserver une vie privée, le service adapté aux besoins individuels ainsi que la compétence du personnel de l’institution ont particulièrement retenu l’attention du jury du prix.
En Suisse, la majorité des personnes de plus de 75 ans passent la dernière phase de leur vie dans un EMS (établissements médicaux sociaux). Au vu de l’évolution démographique, l’importance des maisons de retraite et des EMS comme lieux de fin de vie va encore croître dans les années à venir.
Rappelons qu’en Suisse, la Confédération et les cantons ont mis en place une « Stratégie nationale en matière de soins palliatifs 2010–2012 ». Elle vise à ancrer ce type de soins à l’échelle nationale –dans les soins de longue durée, mais aussi dans l’ensemble du système de santé. Pour améliorer la qualité des soins palliatifs, il faut renforcer la coordination entre les prestations offertes à l’intérieur d’une institution, comme c’est le cas à Laupen par exemple, mais aussi entre les différents acteurs de la santé (hôpitaux, soins à domicile, équipes mobiles spécialisées dans les soins palliatifs).